Des travailleurs d'Algérie Telecom au niveau de la wilaya d'Alger se sont rassemblés, hier, au niveau de la centrale Syndicale, Place du 1er-Mai pour dénoncer les « coups bas » et autres malversations qui entourent la désignation des délégués devant voter pour la section syndicale de la wilaya d'Alger. Des travailleurs d'Algérie Telecom au niveau de la wilaya d'Alger se sont rassemblés, hier, au niveau de la centrale Syndicale, Place du 1er-Mai pour dénoncer les « coups bas » et autres malversations qui entourent la désignation des délégués devant voter pour la section syndicale de la wilaya d'Alger. Selon le président du conseil de participation de cette entreprise qui s'est déplacé à notre rédaction, c'est le syndicat UGTAde l'Union de la wilaya d'Alger qui est en train de manipuler afin de favoriser les anciens syndicalistes et d'empêcher le libre choix des travailleurs d'Algérie Telecom. « il ya des structures d'AT qui possèdent moins de 11 employés et qui possèdent des délégués syndicaux alors que c'est illégal, c'est interdit par la loi. C'est le cas de la cantine du complexe Aissat Idir fermée depuis des années alors qu'il existe un PV de désignation de délégué ou encore la crèche avec quatre employées. C'est le cas aussi du service EVideo qui possède trois employés et à qui on a installé un PV de section syndicale avec un délégué des travailleurs. La loi est claire à ce sujet. Il vous faudra plus de 11 employés pour avoir un délégué syndical», dira notre interlocuteur. Paradoxalement, poursuivra t-il, « plus de 1800 employés et pas moins de 1100 cartes d'adhérents à l'UGTA au niveau de la DG et on nous refuse la désignation de délégués et la création d'une section syndicale », dénonce-t- il. Au niveau de la DOT d'Alger-Centre, on veut imposer l'ancienne équipe syndicale avec un ancien PV alors que les travailleurs ont exigé le renouvellement de la section syndicale. « Sur l'ensemble du territoire national, le vote se déroule le plus normalement du monde sauf au niveau de la wilaya d'Alger où des personnes veulent imposer leurs listes et installer leurs hommes afin de pérenniser le privilèges. Nous n'allons pas nous taire et nous demandons au secrétaire général de l'UGTA, Madjid Sidi Said, d'intervenir et d'ouvrir une enquête afin de mettre un terme à cette mascarade. Le temps des cooptations est terminé", dénonce notre vis-à-vis. Quoi qu'il en soit, le secrétaire national chargé de l'organisation au niveau de l'UGTA dépêché in extremis par Sidi Said, Tayeb Hmar Enniya, a promis de faire toute la lumière sur ces dépassements et malversations et de procéder à un vote des délégués au niveau de l'UGTA. Selon le président du conseil de participation de cette entreprise qui s'est déplacé à notre rédaction, c'est le syndicat UGTAde l'Union de la wilaya d'Alger qui est en train de manipuler afin de favoriser les anciens syndicalistes et d'empêcher le libre choix des travailleurs d'Algérie Telecom. « il ya des structures d'AT qui possèdent moins de 11 employés et qui possèdent des délégués syndicaux alors que c'est illégal, c'est interdit par la loi. C'est le cas de la cantine du complexe Aissat Idir fermée depuis des années alors qu'il existe un PV de désignation de délégué ou encore la crèche avec quatre employées. C'est le cas aussi du service EVideo qui possède trois employés et à qui on a installé un PV de section syndicale avec un délégué des travailleurs. La loi est claire à ce sujet. Il vous faudra plus de 11 employés pour avoir un délégué syndical», dira notre interlocuteur. Paradoxalement, poursuivra t-il, « plus de 1800 employés et pas moins de 1100 cartes d'adhérents à l'UGTA au niveau de la DG et on nous refuse la désignation de délégués et la création d'une section syndicale », dénonce-t- il. Au niveau de la DOT d'Alger-Centre, on veut imposer l'ancienne équipe syndicale avec un ancien PV alors que les travailleurs ont exigé le renouvellement de la section syndicale. « Sur l'ensemble du territoire national, le vote se déroule le plus normalement du monde sauf au niveau de la wilaya d'Alger où des personnes veulent imposer leurs listes et installer leurs hommes afin de pérenniser le privilèges. Nous n'allons pas nous taire et nous demandons au secrétaire général de l'UGTA, Madjid Sidi Said, d'intervenir et d'ouvrir une enquête afin de mettre un terme à cette mascarade. Le temps des cooptations est terminé", dénonce notre vis-à-vis. Quoi qu'il en soit, le secrétaire national chargé de l'organisation au niveau de l'UGTA dépêché in extremis par Sidi Said, Tayeb Hmar Enniya, a promis de faire toute la lumière sur ces dépassements et malversations et de procéder à un vote des délégués au niveau de l'UGTA.