Qui a dit que le nombre des kidnappings a chuté dans notre pays ? La preuve que ce phénomène reste d'actualité est ce nombre d'affaires traitées par les services de la Gendarmerie nationale ces derniers temps. Qui a dit que le nombre des kidnappings a chuté dans notre pays ? La preuve que ce phénomène reste d'actualité est ce nombre d'affaires traitées par les services de la Gendarmerie nationale ces derniers temps. Selon, en effet, la cellule de communication de la GN, une douzaine de victimes ont été recensées depuis le début de ce mois de mai, marqué par le traitement de six affaires et l'arrestation de 15 personnes. Le bilan fait état malheureusement de plusieurs cas de viol dont ont été victimes les femmes qui subissent de plein fouet cette forme horrible de criminalité. A Tlemcen, 4 filles ont été enlevées dont deux ont été malheureusement violées après avoir été rouées de coups par leurs ravisseurs. L'affaire a été résolue et les victimes libérées grâce au numéro vert de la GN, le 10 55. Ces dernières ont en effet sollicité le conducteur d'un véhicule pour les conduire de Sebdou où elles ont assisté à une fête de mariage vers la ville de Tlemcen. En cours de route, le chauffeur indélicat a détourné le chemin et les a conduites vers une habitation abandonnée, sise dans la commune de Béni-Mester. Alertés donc par l'appel d'un citoyen, les éléments de la Gendarmerie nationale se sont déplacés sur les lieux. Après des recherches poussées, ils ont réussi à libérer les quatre femmes qui étaient séquestrées dans la dite habitation et à interpellé deux suspects en état d'ébriété alors que six autres acolytes sont parvenus à prendre la fuite. A Alger, une étudiante nigérianne de l'université d'Annaba a été enlevée de force par quatre individus. La malheureuse s'apprêtait à quitter la gare de Tafourah vers celle du Caroubier à bord du véhicule d'un transporteur clandestin quand ce dernier a changé d'itinéraire pour la conduire dans une habitation inoccupée située dans un endroit isolé où elle sera ensuite violée à tour de rôle par le mis en cause ainsi que deux autres acolytes. Ces derniers ne se sont pas contentés de cela et ils l'ont ainsi dépossédée par la suite d'une tablette I-PAD, d'un téléphone portable, d'une bague et de boucles d'oreilles en or ainsi que d'une somme de 10.000 DA, avant de l'abandonner non loin des lieux. Après avoir parcouru une demi-heure de marche, la victime, âgée de 20 ans, a été prise en autostop par un usager de la route qui l'a déposée près de Staoueli, d'où elle a été évacuée vers l'hôpital de Zeralda pour recevoir les soins nécessaires. Les investigations entreprises par les gendarmes de la section de recherches d'Alger ont abouti à l'interpellation au centre-ville d'El-Harrach des auteurs du méfait dont le transporteur clandestin, dénoncés au cours de l'enquête. Par ailleurs, trois autres individus ont été ensuite interpellés, toujours à El Harrach, où ils géraient des locaux de vente de téléphones portables, chose qui a permis la récupération du téléphone cellulaire ainsi que de la tablette I-Pad. Présenté devant le procureur de la République près le tribunal d'El-Harrach pour association de malfaiteurs, enlèvement suivi de viol, complicité, non dénonciation d'un crime, vol et recel, trois des mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt, deux ont été mis sous contrôle judiciaire alors que les deux derniers ont bénéficié de la liberté provisoire. Même les bébés n'échappent pas à cette mascarade puisque les services de la GN signalent l'enlèvement à Blida d'un enfant de 2 ans seulement dont la disparition a été révélée par sa maman. Cette dernière, une femme divorcée âgée de 25 ans, s'est présentée à la brigade de la Gendarmerie nationale de Zabana, pour déposer une plainte contre son amant qu'elle a soupçonné d'être derrière ce coup en profitant de son absence durant une nuit. Le mis en cause, 27 ans, et demeurant dans le même quartier, a en effet agressé le père du bébé dans sa demeure pour ensuite enlever l'enfant. Aussitôt, les recherches entreprises par les gendarmes de la compagnie territoriale de Blida ont abouti à l'interpellation du mis en cause le même jour et la libération de l'enfant enlevé, à hauteur de la ville de Chréa. Selon, en effet, la cellule de communication de la GN, une douzaine de victimes ont été recensées depuis le début de ce mois de mai, marqué par le traitement de six affaires et l'arrestation de 15 personnes. Le bilan fait état malheureusement de plusieurs cas de viol dont ont été victimes les femmes qui subissent de plein fouet cette forme horrible de criminalité. A Tlemcen, 4 filles ont été enlevées dont deux ont été malheureusement violées après avoir été rouées de coups par leurs ravisseurs. L'affaire a été résolue et les victimes libérées grâce au numéro vert de la GN, le 10 55. Ces dernières ont en effet sollicité le conducteur d'un véhicule pour les conduire de Sebdou où elles ont assisté à une fête de mariage vers la ville de Tlemcen. En cours de route, le chauffeur indélicat a détourné le chemin et les a conduites vers une habitation abandonnée, sise dans la commune de Béni-Mester. Alertés donc par l'appel d'un citoyen, les éléments de la Gendarmerie nationale se sont déplacés sur les lieux. Après des recherches poussées, ils ont réussi à libérer les quatre femmes qui étaient séquestrées dans la dite habitation et à interpellé deux suspects en état d'ébriété alors que six autres acolytes sont parvenus à prendre la fuite. A Alger, une étudiante nigérianne de l'université d'Annaba a été enlevée de force par quatre individus. La malheureuse s'apprêtait à quitter la gare de Tafourah vers celle du Caroubier à bord du véhicule d'un transporteur clandestin quand ce dernier a changé d'itinéraire pour la conduire dans une habitation inoccupée située dans un endroit isolé où elle sera ensuite violée à tour de rôle par le mis en cause ainsi que deux autres acolytes. Ces derniers ne se sont pas contentés de cela et ils l'ont ainsi dépossédée par la suite d'une tablette I-PAD, d'un téléphone portable, d'une bague et de boucles d'oreilles en or ainsi que d'une somme de 10.000 DA, avant de l'abandonner non loin des lieux. Après avoir parcouru une demi-heure de marche, la victime, âgée de 20 ans, a été prise en autostop par un usager de la route qui l'a déposée près de Staoueli, d'où elle a été évacuée vers l'hôpital de Zeralda pour recevoir les soins nécessaires. Les investigations entreprises par les gendarmes de la section de recherches d'Alger ont abouti à l'interpellation au centre-ville d'El-Harrach des auteurs du méfait dont le transporteur clandestin, dénoncés au cours de l'enquête. Par ailleurs, trois autres individus ont été ensuite interpellés, toujours à El Harrach, où ils géraient des locaux de vente de téléphones portables, chose qui a permis la récupération du téléphone cellulaire ainsi que de la tablette I-Pad. Présenté devant le procureur de la République près le tribunal d'El-Harrach pour association de malfaiteurs, enlèvement suivi de viol, complicité, non dénonciation d'un crime, vol et recel, trois des mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt, deux ont été mis sous contrôle judiciaire alors que les deux derniers ont bénéficié de la liberté provisoire. Même les bébés n'échappent pas à cette mascarade puisque les services de la GN signalent l'enlèvement à Blida d'un enfant de 2 ans seulement dont la disparition a été révélée par sa maman. Cette dernière, une femme divorcée âgée de 25 ans, s'est présentée à la brigade de la Gendarmerie nationale de Zabana, pour déposer une plainte contre son amant qu'elle a soupçonné d'être derrière ce coup en profitant de son absence durant une nuit. Le mis en cause, 27 ans, et demeurant dans le même quartier, a en effet agressé le père du bébé dans sa demeure pour ensuite enlever l'enfant. Aussitôt, les recherches entreprises par les gendarmes de la compagnie territoriale de Blida ont abouti à l'interpellation du mis en cause le même jour et la libération de l'enfant enlevé, à hauteur de la ville de Chréa.