La majorité des appels reçus par le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada) se rapportent à la maltraitance et aux abus sexuels, a indiqué lundi le président de Nada, Abderrahmane Arar. La majorité des appels reçus par le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada) se rapportent à la maltraitance et aux abus sexuels, a indiqué lundi le président de Nada, Abderrahmane Arar. Entre juillet 2014 et mai 2015, le réseau Nada a reçu 18.322 appels téléphoniques sur la ligne verte (30-33) dont la majorité se rapporte à la violence contre les enfants, particulièrement la maltraitance, les abus sexuels et la mendicité. 750 enfants ont été entraînés dans la prostitution et 4.890 autres ont été victimes de maltraitance et de travail des enfants, a précisé M. Arar, indiquant que des adolescentes ont été entraînées dans des réseaux de prostitution encadrés par des gangs. Certaines ont été, par la suite, impliquées dans des affaires de drogue et de vol. 1.025 autres enfants ont été victimes d'abus sexuels, dont 55 ont été victimes d'inceste, selon M. Arar. Des études nationales ont récemment révélé que 5 % des enfants n'étaient pas scolarisés en Algérie, a fait savoir le président de Nada. Dans ce cadre, M. Arar a rappelé que le projet de loi sur la protection de l'enfance renfermait des solutions aux questions liées à l'enfance en Algérie, insistant sur la nécessité de créer des mécanismes permettant sa mise en oeuvre. Le texte de ce projet de loi, qui a été soumis à l'Assemblée populaire nationale (APN), comprend plusieurs axes liés à la protection de l'enfance, a-t-il ajouté, précisant que le réseau Nada "mobilisera tous ses moyens pour contribuer à sa mise en application". Le responsable a, dans ce sens, souligné la nécessité de "réviser la coordination" entre les acteurs et les instances concernées par les mesures prises pour faire face à la violence et renforcer la protection des enfants. Acet effet, il a appelé à mettre un terme à la violence à travers le renforcement de la justice sociale à l'égard des enfants et l'élimination des obstacles qui entravent leur scolarisation. Entre juillet 2014 et mai 2015, le réseau Nada a reçu 18.322 appels téléphoniques sur la ligne verte (30-33) dont la majorité se rapporte à la violence contre les enfants, particulièrement la maltraitance, les abus sexuels et la mendicité. 750 enfants ont été entraînés dans la prostitution et 4.890 autres ont été victimes de maltraitance et de travail des enfants, a précisé M. Arar, indiquant que des adolescentes ont été entraînées dans des réseaux de prostitution encadrés par des gangs. Certaines ont été, par la suite, impliquées dans des affaires de drogue et de vol. 1.025 autres enfants ont été victimes d'abus sexuels, dont 55 ont été victimes d'inceste, selon M. Arar. Des études nationales ont récemment révélé que 5 % des enfants n'étaient pas scolarisés en Algérie, a fait savoir le président de Nada. Dans ce cadre, M. Arar a rappelé que le projet de loi sur la protection de l'enfance renfermait des solutions aux questions liées à l'enfance en Algérie, insistant sur la nécessité de créer des mécanismes permettant sa mise en oeuvre. Le texte de ce projet de loi, qui a été soumis à l'Assemblée populaire nationale (APN), comprend plusieurs axes liés à la protection de l'enfance, a-t-il ajouté, précisant que le réseau Nada "mobilisera tous ses moyens pour contribuer à sa mise en application". Le responsable a, dans ce sens, souligné la nécessité de "réviser la coordination" entre les acteurs et les instances concernées par les mesures prises pour faire face à la violence et renforcer la protection des enfants. Acet effet, il a appelé à mettre un terme à la violence à travers le renforcement de la justice sociale à l'égard des enfants et l'élimination des obstacles qui entravent leur scolarisation.