Le bras de fer se poursuit entre le président de la JS Kabylie, Moh-Cherif Hannachi, et le Comité de sauvegarde de la JS Kabylie, sans aucune perspective de sortie de crise afin de permettre au club de préparer sa nouvelle saison. Le bras de fer se poursuit entre le président de la JS Kabylie, Moh-Cherif Hannachi, et le Comité de sauvegarde de la JS Kabylie, sans aucune perspective de sortie de crise afin de permettre au club de préparer sa nouvelle saison. Composé d'anciens joueurs de la JS Kabylie, dont Djamel Menad, Mouloud Iboud... le Comité de sauvegarde de la JS Kabylie continue d'exercer une forte pression sur le président Hannachi afin de quitter le club. Les anciens enfants de cette formation phare du Djurdjura multiplient leurs rencontres afin de convaincre l'opinion publique sur leur projet. Organisant des marches et des rencontres avec les médias, Iboud et compagnie sont déterminés à aller au bout de leur objectif, à savoir forcer Hannachi à quitter la JS Kabylie. « La JS Kabylie est le symbole de toute la Kabylie. Ça fait mal au coeur de voir la JS Kabylie jouer pour le maintien. Les responsables actuels du club ne font que du bricolage. Ça ne peut plus fonctionner comme ça. Nous n'allons pas s'arrêter en si bon chemin. Nous allons poursuivre notre démarche jusqu'au bout », a indiqué l'ancien Canaris Djamel Menad lors du meeting devant le musée de la wilaya. Pour Mouloud Iboud, les membres du comité sont tous déterminés à poursuivre leur combat et rien ne pourra les arrêter. « Si Hannachi quitte le club le matin, un actionnaire majoritaire prendra le club le soir. Nous ne voulons pas le détrôner mais nous cherchons l'intérêt du club cher à toute la Kabylie. Notre principale revendication est très claire, on exige le départ du président actuel de la JSK. La JS Kabylie est en ce moment en danger réel. On ne compte pas faire marche arrière », a indiqué, de son côté, l'ancien président de la JSK Iboud. Les membres du comité de sauvegarde de la JS Kabylie confirment que d'autres actions sont dans leur programme. La prochaine fois, ils se déplaceront chez le wali de Tizi- Ouzou pour demander une audience en urgence. Les opposants de Hannachi veulent demander au premier magistrat de la wilaya d'intervenir pour l'ouverture du capital de la SSPA/JSK, conformément à ce que stipule la loi. Malgré tout ce mouvement, l'actuel patron des Jaune et Vert, Moh-Cherif Hannachi, refuse de quitter la JS Kabylie. Par ailleurs, l'homme fort de cette formation phare de Djurdjura veut aller jusqu'au bout. « J'ai pris la décision de quitter la JSK en fin de saison, mais j'ai changé d'avis. Je laisserai le club entre de bonnes mains. Pas question de le céder à n'importe qui. J'ai tout donné pour la JSK. je ne quitterai pas la JS Kabylie », a indiqué, de son côté, le président Hannachi. En tout cas, le bras de fer entre les deux parties se poursuivra encore. Cela a déjà mal influencé sur le club et continuera à le faire. La prochaine saison s'annonce, donc, très délicate pour cette formation phare de Djurdjura. « Le mouvement nous a perturbé dans notre recrutement. On ne peut pas gérer plusieurs choses à la fois », a confirmé Hannachi. La JS Kabylie, qui n'a assuré son maintien qu'après l'avant- dernière journée de championnat, pourra vivre encore une fois une saison très difficile. Composé d'anciens joueurs de la JS Kabylie, dont Djamel Menad, Mouloud Iboud... le Comité de sauvegarde de la JS Kabylie continue d'exercer une forte pression sur le président Hannachi afin de quitter le club. Les anciens enfants de cette formation phare du Djurdjura multiplient leurs rencontres afin de convaincre l'opinion publique sur leur projet. Organisant des marches et des rencontres avec les médias, Iboud et compagnie sont déterminés à aller au bout de leur objectif, à savoir forcer Hannachi à quitter la JS Kabylie. « La JS Kabylie est le symbole de toute la Kabylie. Ça fait mal au coeur de voir la JS Kabylie jouer pour le maintien. Les responsables actuels du club ne font que du bricolage. Ça ne peut plus fonctionner comme ça. Nous n'allons pas s'arrêter en si bon chemin. Nous allons poursuivre notre démarche jusqu'au bout », a indiqué l'ancien Canaris Djamel Menad lors du meeting devant le musée de la wilaya. Pour Mouloud Iboud, les membres du comité sont tous déterminés à poursuivre leur combat et rien ne pourra les arrêter. « Si Hannachi quitte le club le matin, un actionnaire majoritaire prendra le club le soir. Nous ne voulons pas le détrôner mais nous cherchons l'intérêt du club cher à toute la Kabylie. Notre principale revendication est très claire, on exige le départ du président actuel de la JSK. La JS Kabylie est en ce moment en danger réel. On ne compte pas faire marche arrière », a indiqué, de son côté, l'ancien président de la JSK Iboud. Les membres du comité de sauvegarde de la JS Kabylie confirment que d'autres actions sont dans leur programme. La prochaine fois, ils se déplaceront chez le wali de Tizi- Ouzou pour demander une audience en urgence. Les opposants de Hannachi veulent demander au premier magistrat de la wilaya d'intervenir pour l'ouverture du capital de la SSPA/JSK, conformément à ce que stipule la loi. Malgré tout ce mouvement, l'actuel patron des Jaune et Vert, Moh-Cherif Hannachi, refuse de quitter la JS Kabylie. Par ailleurs, l'homme fort de cette formation phare de Djurdjura veut aller jusqu'au bout. « J'ai pris la décision de quitter la JSK en fin de saison, mais j'ai changé d'avis. Je laisserai le club entre de bonnes mains. Pas question de le céder à n'importe qui. J'ai tout donné pour la JSK. je ne quitterai pas la JS Kabylie », a indiqué, de son côté, le président Hannachi. En tout cas, le bras de fer entre les deux parties se poursuivra encore. Cela a déjà mal influencé sur le club et continuera à le faire. La prochaine saison s'annonce, donc, très délicate pour cette formation phare de Djurdjura. « Le mouvement nous a perturbé dans notre recrutement. On ne peut pas gérer plusieurs choses à la fois », a confirmé Hannachi. La JS Kabylie, qui n'a assuré son maintien qu'après l'avant- dernière journée de championnat, pourra vivre encore une fois une saison très difficile.