Malgré les rumeurs de fraude via les réseaux sociaux, les candidats poursuivent leurs examens pour le 2e jour. L'erreur dans le sujet de langue arabe pour la filière gestion et sciences ne paraît aucunement affecter le moral des troupes. Malgré les rumeurs de fraude via les réseaux sociaux, les candidats poursuivent leurs examens pour le 2e jour. L'erreur dans le sujet de langue arabe pour la filière gestion et sciences ne paraît aucunement affecter le moral des troupes. Pour rassurer les candidats, la ministre de l'Education a souligné avant-hier que « l'erreur relevée dans le sujet de langue arabe n'influera pas sur l'évaluation du candidat etsera prise en considération lors de la correction ». Ce faux pas reste du ressort de l'Office national des examens et concours selon la ministre. Toutefois, il n'y a pas lieu « d'angoisser les candidats en cette période sensible qui exige que chacun assume ses responsabilités » ajoute-t-elle. NouriaBenghebrit a souhaité que cette erreur « ne soit pas trop amplifiée par la presse ». Quant à la rumeur concernant la « triche », le ministère de l'Education, par le biais de son chargé de communication, affirme ne pas détenir tous les éléments sur l'existence de la fraude via Internet. Rappelons qu'une information judiciaire sur ce sujet a été ouverte par le procureur de la Républiqueprès le tribunal de Sidi M'hamed d'Alger. Mais tout de même si la première journée s'est déroulée dans des conditions normales, rien n'a empêché les candidats de poursuivre le deuxième jour dans les différentes filières. Il est à retenir que cette session a vu 11 filières soit 339.022 candidats pour les sciences expérimentales, 304.207 candidats pour la filière philosophie et lettres, 95.868 pour la filière gestion et économie et quelques 69.177 pour leslangues étrangères. On retient ainsi que les candidats lettres et ceux des sciences expérimentales sont proportionnés. Il est évident que la majorité de ces candidats puisse chacun dans sa filière avoir les notes maximum pour les matières à fort coefficient. Pour les lettres, c'est le sujet de philosophie abordé hier qui reste déterminant alors que pour les candidats de sciences expérimentales, c'est l'épreuve de sciences naturelles qui est à conquérir. En attendant de poursuive aujourd'hui les autres épreuves, les candidats doivent redoubler d'efforts et bien se concentrer sur leurs sujets. Après l'erreur du sujet de littérature : la tutelle réagit Medjadi Messegem, inspecteur général au ministère de l'Education, est intervenu, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la Radio algérienne, sur le déroulement des épreuves du baccalauréatqui ont débuté, avant-hier, à travers le pays. Commentant une erreur « inadmissible » constatée dans le sujet de littérature consacré à un poème sur la Palestine, il explique que dans la copie remise aux lauréats, le nom de l'auteur, Nizar Kabbani, a été remplacé, par inadvertance, par celui de Mahmoud Derwiche. Cette méprise, à propos de laquelle il dit son « étonnement » n'a, selon lui, pas eu d'effet majeur sur le traitement du sujet, « la question posée à propos de ce poème étant indépendante de la biographie de l'auteur ». A la suite de cet incident, il assure que le dispositif d'élaboration des sujets du Bac va être revu en profondeur, ajoutant qu'une enquête va être diligentée pour cerner toutes les responsabilités. Des tentatives de fraude à la 3G aux examens, ayant été éventées, il a mis en cause « certaines personnes » qui, déclare-t-il, tentent de déstabiliser les candidats et l'institution. Du déroulement de la session dans les 2.550 centres d'examens, M. Messegem, «sur la foi des rapports transmis », affirme qu'il a n'a été relevé aucune « situation délicate » observant, néanmoins, qu'il a été observé des cas de fraude dont les auteurs, des candidats libres, « ont été expulsés ». Concernant les examens des trois cycles d'enseignement, l'invité fait état, dans les années qui vont suivre, de l'introduction d'un système d'épreuves anticipées destinées à alléger la durée de déroulement des examens. De la correction des épreuves du baccalauréat pour lesquelles 71 centres ont été installés, l'inspecteur du ministère de l'Education signale qu'elle se fait par deux fois, étant entendu, précise-t-il, que c'est la note la plus avantageuse pour l'élève qui est finalement prise en compte. M. Messeguem fait, enfin, savoir que lesrésultats du Bac seront communiqués le 10 juillet, « peut être même avant », ajoute-t-il, précisant que les lauréats pourront les découvrir par voie d'affichage mais également par le biais de l'Internet. Pour rassurer les candidats, la ministre de l'Education a souligné avant-hier que « l'erreur relevée dans le sujet de langue arabe n'influera pas sur l'évaluation du candidat etsera prise en considération lors de la correction ». Ce faux pas reste du ressort de l'Office national des examens et concours selon la ministre. Toutefois, il n'y a pas lieu « d'angoisser les candidats en cette période sensible qui exige que chacun assume ses responsabilités » ajoute-t-elle. NouriaBenghebrit a souhaité que cette erreur « ne soit pas trop amplifiée par la presse ». Quant à la rumeur concernant la « triche », le ministère de l'Education, par le biais de son chargé de communication, affirme ne pas détenir tous les éléments sur l'existence de la fraude via Internet. Rappelons qu'une information judiciaire sur ce sujet a été ouverte par le procureur de la Républiqueprès le tribunal de Sidi M'hamed d'Alger. Mais tout de même si la première journée s'est déroulée dans des conditions normales, rien n'a empêché les candidats de poursuivre le deuxième jour dans les différentes filières. Il est à retenir que cette session a vu 11 filières soit 339.022 candidats pour les sciences expérimentales, 304.207 candidats pour la filière philosophie et lettres, 95.868 pour la filière gestion et économie et quelques 69.177 pour leslangues étrangères. On retient ainsi que les candidats lettres et ceux des sciences expérimentales sont proportionnés. Il est évident que la majorité de ces candidats puisse chacun dans sa filière avoir les notes maximum pour les matières à fort coefficient. Pour les lettres, c'est le sujet de philosophie abordé hier qui reste déterminant alors que pour les candidats de sciences expérimentales, c'est l'épreuve de sciences naturelles qui est à conquérir. En attendant de poursuive aujourd'hui les autres épreuves, les candidats doivent redoubler d'efforts et bien se concentrer sur leurs sujets. Après l'erreur du sujet de littérature : la tutelle réagit Medjadi Messegem, inspecteur général au ministère de l'Education, est intervenu, hier, à l'émission l'Invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la Radio algérienne, sur le déroulement des épreuves du baccalauréatqui ont débuté, avant-hier, à travers le pays. Commentant une erreur « inadmissible » constatée dans le sujet de littérature consacré à un poème sur la Palestine, il explique que dans la copie remise aux lauréats, le nom de l'auteur, Nizar Kabbani, a été remplacé, par inadvertance, par celui de Mahmoud Derwiche. Cette méprise, à propos de laquelle il dit son « étonnement » n'a, selon lui, pas eu d'effet majeur sur le traitement du sujet, « la question posée à propos de ce poème étant indépendante de la biographie de l'auteur ». A la suite de cet incident, il assure que le dispositif d'élaboration des sujets du Bac va être revu en profondeur, ajoutant qu'une enquête va être diligentée pour cerner toutes les responsabilités. Des tentatives de fraude à la 3G aux examens, ayant été éventées, il a mis en cause « certaines personnes » qui, déclare-t-il, tentent de déstabiliser les candidats et l'institution. Du déroulement de la session dans les 2.550 centres d'examens, M. Messegem, «sur la foi des rapports transmis », affirme qu'il a n'a été relevé aucune « situation délicate » observant, néanmoins, qu'il a été observé des cas de fraude dont les auteurs, des candidats libres, « ont été expulsés ». Concernant les examens des trois cycles d'enseignement, l'invité fait état, dans les années qui vont suivre, de l'introduction d'un système d'épreuves anticipées destinées à alléger la durée de déroulement des examens. De la correction des épreuves du baccalauréat pour lesquelles 71 centres ont été installés, l'inspecteur du ministère de l'Education signale qu'elle se fait par deux fois, étant entendu, précise-t-il, que c'est la note la plus avantageuse pour l'élève qui est finalement prise en compte. M. Messeguem fait, enfin, savoir que lesrésultats du Bac seront communiqués le 10 juillet, « peut être même avant », ajoute-t-il, précisant que les lauréats pourront les découvrir par voie d'affichage mais également par le biais de l'Internet.