Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a affirmé dimanche à Alger qu'une enquête a été ouverte suite aux heurts ayant éclaté dans la nuit de vendredi à samedi à Ghardaïa faisant un mort assurant que la justice "suivra son cours". Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a affirmé dimanche à Alger qu'une enquête a été ouverte suite aux heurts ayant éclaté dans la nuit de vendredi à samedi à Ghardaïa faisant un mort assurant que la justice "suivra son cours". "Une enquête a été ouverte et la justice suivra son cours avec toute la rigueur juridique nécessaire au sujet des heurts survenus dans la wilaya de Ghardaïa faisant un mort", a précisé le ministre en marge de la visite qu'il a effectuée à la direction des titres et documents sécurisés relevant du ministère de l'Intérieur. Nouredine Bedoui a ajouté que des "mesures juridiques rigoureuses seront prises contre quiconque porterait atteinte à la stabilité ou aux valeurs de la société algérienne". Le ministre n'a pas manqué de présenter ses condoléances à la famille de la victime et a adressé un message aux habitants de Ghardaïa pour faire valoir les valeurs enracinées dans cette région affirmant que ces incidents ne sont pas dans l'intérêt du citoyen et encore moins de la société algérienne. "Une enquête a été ouverte et la justice suivra son cours avec toute la rigueur juridique nécessaire au sujet des heurts survenus dans la wilaya de Ghardaïa faisant un mort", a précisé le ministre en marge de la visite qu'il a effectuée à la direction des titres et documents sécurisés relevant du ministère de l'Intérieur. Nouredine Bedoui a ajouté que des "mesures juridiques rigoureuses seront prises contre quiconque porterait atteinte à la stabilité ou aux valeurs de la société algérienne". Le ministre n'a pas manqué de présenter ses condoléances à la famille de la victime et a adressé un message aux habitants de Ghardaïa pour faire valoir les valeurs enracinées dans cette région affirmant que ces incidents ne sont pas dans l'intérêt du citoyen et encore moins de la société algérienne.