L'Algérie pourra souscrire à l'Internationale de développement (IDA), filiale de la Banque mondiale (BM-17e reconstitution des ressources de l'Association), en vertu d'un décret présidentiel publié hier au Journal officiel numéro 32. L'Algérie pourra souscrire à l'Internationale de développement (IDA), filiale de la Banque mondiale (BM-17e reconstitution des ressources de l'Association), en vertu d'un décret présidentiel publié hier au Journal officiel numéro 32. Le décret précise que l'Algérie est autorisée à souscrire à la dix-septième reconstitution des ressources de l'Association internationale de développement. « Le versement de la souscription est opéré sur les fonds du Trésor public dans les formes fixées par la résolution 234 approuvée par le conseil des gouverneurs de l'IDA le 5 mai 2014, relative à l'augmentation des ressources de cette institution », précise le texte. Il est à rappeler que l'Association internationale de développement (IDA) est l'institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, l'IDA vise à réduire la pauvreté en accordant des prêts et des dons destinés à des programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire les inégalités et à améliorer la vie des plus démunis. L'action de l'IDA complète celle de l'autre guichet de prêt de la Banque mondiale, la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD). L'IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 77 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique, et représente la plus importante source de fonds contribués par des donateurs aux services sociaux de base dans ces pays. Les opérations financées par l'IDA bénéficient à quelque 2,8 milliards de personnes, dont la plupart vivent avec moins de 2 dollars par jour. Depuis sa création, cette filiale de la BM soutenu des activités dans 112 pays. Le volume annuel des engagements est en constante augmentation et s'est élevé en moyenne à 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années. Pour l'exercice budgétaire achevé le 30 juin 2014, les engagements de l'IDA ont atteint 22,2 milliards de dollars. Le décret précise que l'Algérie est autorisée à souscrire à la dix-septième reconstitution des ressources de l'Association internationale de développement. « Le versement de la souscription est opéré sur les fonds du Trésor public dans les formes fixées par la résolution 234 approuvée par le conseil des gouverneurs de l'IDA le 5 mai 2014, relative à l'augmentation des ressources de cette institution », précise le texte. Il est à rappeler que l'Association internationale de développement (IDA) est l'institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, l'IDA vise à réduire la pauvreté en accordant des prêts et des dons destinés à des programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire les inégalités et à améliorer la vie des plus démunis. L'action de l'IDA complète celle de l'autre guichet de prêt de la Banque mondiale, la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD). L'IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 77 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique, et représente la plus importante source de fonds contribués par des donateurs aux services sociaux de base dans ces pays. Les opérations financées par l'IDA bénéficient à quelque 2,8 milliards de personnes, dont la plupart vivent avec moins de 2 dollars par jour. Depuis sa création, cette filiale de la BM soutenu des activités dans 112 pays. Le volume annuel des engagements est en constante augmentation et s'est élevé en moyenne à 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années. Pour l'exercice budgétaire achevé le 30 juin 2014, les engagements de l'IDA ont atteint 22,2 milliards de dollars.