Lors d'une réunion, tenue récemment dans la ville d'Akbou, les dissidents du FFS ont entériné leur choix. Le Front El Moutakbal enregistre ainsi de nouvelles adhésions Lors d'une réunion, tenue récemment dans la ville d'Akbou, les dissidents du FFS ont entériné leur choix. Le Front El Moutakbal enregistre ainsi de nouvelles adhésions En effet des dissidents du FFS ont annoncé avoir rejoint la formation politique que préside Abdelaziz Belaiz. Cette annonce a été faite par le député Khaled Tazaghart qui a animé récemment une conférence de presse à Béjaïa. Cela ne fait que confirmer de manière officielle cette adhésion qui était dans l'air depuis quelques semaines déjà. En effet lors d'une réunion tenue récemment dans la ville d'Akbou ces dissidents ont entériné leur choix. Ces dissidents, regroupés au sein du Forum socialiste pour la liberté et la démocratie, ont donc choisi finalement de rejoindre le Front El Moustakbal. Car auparavant, ils ont tenté d'abord de rejoindre d'autres partis politiques. Il a été question ainsi du Mouvement populaire algérien (MPA) que préside Amara Benyounès, le Parti des travailleurs de Louisa Hanoune et l'Union démocratique et sociale, un parti non agréé formé par un autre dissident du FFS, Karim Tabou en l'occurrence. Emmenés par le député Khaled Tazaghart, qui en est d'ailleurs le porte-parole, ces dissidents ont indiqué avoir conditionné leur adhésion par la préservation de leur "cohésion politique" et leur "identité politique". Une manière à eux de justifier un choix qui a quelque peu dérouté plus d'un observateur. Au cours de cette rencontre avec la presse Khaled Tazaghart a encore une fois tiré à boulets rouges sur son ancien parti, le FFS. Un parti qu'il a quitté au mois de décembre 2013 en compagnie de plusieurs membres de la fédération FFS de Béjaïa, dont il était d'ailleurs le premier secrétaire. "J'assume toutes les positions du FFS depuis 1963 jusqu'au 31 décembre 2013" a indiqué Tazaghart dans une de ses déclarations. Ce député, élu dans la circonscription de Béjaïa sur la liste du FFS, reproche à son ancien parti d'avoir trahi les militants de 1963. De plus, il suspectait à l'époque le plus vieux parti de l'opposition d'être en contact avec le pouvoir en vue d'intégrer le gouvernement. Durant la période d'avant l'élection présidentielle d'avril 2014 beaucoup de bruit a été fait autour d'un supposé deal entre le FFS et le pouvoir. Le FFS, comme pour répliquer aux attaques de cet ancien cadre avait, pour rappel et par le biais de son groupe parlementaire à l'APN, élaboré un projet de loi visant à réhabiliter les martyrs et leur consacrer un statut digne de ce nom. De nombreux anciens militants du FFS de 1963 ont quitté le parti avec Khaled Tazaghart. En tout cas, c'est le Front El Moustakbal qui peut tirer bénéfice de cette adhésion de militants et cadres aguerris aux joutes politiques. Ce parti a été créé par Abdekaziz Belaid à la veille des élections législatives de 2012. Son président, Abdelaziz Belaid, qui est uu ancien cadre du FLN, s'est présenté, pour rappel, à l'élection présidetielle du 17 avril 2014 mais il a refusé par la suite d'intégrer le gouvernement. En effet des dissidents du FFS ont annoncé avoir rejoint la formation politique que préside Abdelaziz Belaiz. Cette annonce a été faite par le député Khaled Tazaghart qui a animé récemment une conférence de presse à Béjaïa. Cela ne fait que confirmer de manière officielle cette adhésion qui était dans l'air depuis quelques semaines déjà. En effet lors d'une réunion tenue récemment dans la ville d'Akbou ces dissidents ont entériné leur choix. Ces dissidents, regroupés au sein du Forum socialiste pour la liberté et la démocratie, ont donc choisi finalement de rejoindre le Front El Moustakbal. Car auparavant, ils ont tenté d'abord de rejoindre d'autres partis politiques. Il a été question ainsi du Mouvement populaire algérien (MPA) que préside Amara Benyounès, le Parti des travailleurs de Louisa Hanoune et l'Union démocratique et sociale, un parti non agréé formé par un autre dissident du FFS, Karim Tabou en l'occurrence. Emmenés par le député Khaled Tazaghart, qui en est d'ailleurs le porte-parole, ces dissidents ont indiqué avoir conditionné leur adhésion par la préservation de leur "cohésion politique" et leur "identité politique". Une manière à eux de justifier un choix qui a quelque peu dérouté plus d'un observateur. Au cours de cette rencontre avec la presse Khaled Tazaghart a encore une fois tiré à boulets rouges sur son ancien parti, le FFS. Un parti qu'il a quitté au mois de décembre 2013 en compagnie de plusieurs membres de la fédération FFS de Béjaïa, dont il était d'ailleurs le premier secrétaire. "J'assume toutes les positions du FFS depuis 1963 jusqu'au 31 décembre 2013" a indiqué Tazaghart dans une de ses déclarations. Ce député, élu dans la circonscription de Béjaïa sur la liste du FFS, reproche à son ancien parti d'avoir trahi les militants de 1963. De plus, il suspectait à l'époque le plus vieux parti de l'opposition d'être en contact avec le pouvoir en vue d'intégrer le gouvernement. Durant la période d'avant l'élection présidentielle d'avril 2014 beaucoup de bruit a été fait autour d'un supposé deal entre le FFS et le pouvoir. Le FFS, comme pour répliquer aux attaques de cet ancien cadre avait, pour rappel et par le biais de son groupe parlementaire à l'APN, élaboré un projet de loi visant à réhabiliter les martyrs et leur consacrer un statut digne de ce nom. De nombreux anciens militants du FFS de 1963 ont quitté le parti avec Khaled Tazaghart. En tout cas, c'est le Front El Moustakbal qui peut tirer bénéfice de cette adhésion de militants et cadres aguerris aux joutes politiques. Ce parti a été créé par Abdekaziz Belaid à la veille des élections législatives de 2012. Son président, Abdelaziz Belaid, qui est uu ancien cadre du FLN, s'est présenté, pour rappel, à l'élection présidetielle du 17 avril 2014 mais il a refusé par la suite d'intégrer le gouvernement.