Des dizaines d'habitants du site des chalets Derriche ont observé, sous un soleil de plomb, un sit-in devant le siège de la daïra de Boumerdes pour réclamer leur relogement dans des habitations en dur. Près d'une centaine de familles ont été relogées ces derniers temps mais il reste une trentaine d'autres attendant leur tour à un recasement qui mettra fin à leur calvaire. Des dizaines d'habitants du site des chalets Derriche ont observé, sous un soleil de plomb, un sit-in devant le siège de la daïra de Boumerdes pour réclamer leur relogement dans des habitations en dur. Près d'une centaine de familles ont été relogées ces derniers temps mais il reste une trentaine d'autres attendant leur tour à un recasement qui mettra fin à leur calvaire. Le site situé à quelques mètres du la RN 24 offre une image fantomique de fait que des habitants relogés et les chalets qu'ils occupaient detruits par les responsables , nous dira un manifestant qui avoue habiter un chalet depuis 2008. Les habitants ont accédé aux chalets dans le cadre social. Il reste une centaine de familles sinistrées du séisme de 2003, qui ne sont pas encore relogées dans des habitations en dur. Les manifestants ont protesté dans le calme et une délégation a été reçue par les responsables locaux. Le site situé à quelques mètres du la RN 24 offre une image fantomique de fait que des habitants relogés et les chalets qu'ils occupaient detruits par les responsables , nous dira un manifestant qui avoue habiter un chalet depuis 2008. Les habitants ont accédé aux chalets dans le cadre social. Il reste une centaine de familles sinistrées du séisme de 2003, qui ne sont pas encore relogées dans des habitations en dur. Les manifestants ont protesté dans le calme et une délégation a été reçue par les responsables locaux.