Le réseau social américain Twitter et le géant internet Google ont étendu un partenariat permettant aux messages publiés sur le premier d'apparaître dans les résultats de recherche du second Les premiers "tweets" avaient commencé courant mai à être inclus dans les résultats de Google Search quand la recherche était effectuée depuis un smartphone. Le réseau social américain Twitter et le géant internet Google ont étendu un partenariat permettant aux messages publiés sur le premier d'apparaître dans les résultats de recherche du second Les premiers "tweets" avaient commencé courant mai à être inclus dans les résultats de Google Search quand la recherche était effectuée depuis un smartphone. Cette pratique s'étend désormais aux recherches faites depuis un ordinateur de bureau. Cela a été confirmé par un échange sur Twitter entre les deux sociétés : "Hey @twitter, fête pour la recherche chez nous. Rendez-vous sur les ordinateurs de bureau ?", a écrit le géant internet sur son compte officiel, et Twitter a accepté l'invitation sur le sien en promettant "d'apporter les tweets". Les deux groupes avaient déjà eu un arrangement similaire entre 2009 et 2011. La reconduite du partenariat intervient alors que Twitter tente d'élargir son audience afin de rassurer les marchés inquiets de ses perspectives de croissance. Twitter revendiquait 316 millions d'abonnés fin juin et seulement 44 % se connectent tous les jours sur les 20 principaux marchés du réseau social. A titre de comparaison, 65 % des 1,49 milliard d'utilisateurs de Facebook dans le monde y accèdent de manière quotidienne. Lors des derniers résultats trimestriels fin juillet, le directeur financier, Anthony Noto, a en outre avoué qu'il n'y aurait pas de croissance importante et durable du nombre d'utilisateurs tant que Twitter ne toucherait pas le grand public, ce qui "prendra un temps considérable". La situation est encore compliquée par les incertitudes créées par la recherche depuis trois mois d'un nouveau patron pour Twitter après la démission du directeur général Dick Costolo, remplacé pour l'instant à titre intérimaire par le cofondateur Jack Dorsey, également à la tête de la société de paiements mobiles Square. L'action du réseau social a depuis perdu environ 30 % de sa valeur depuis fin juillet et elle a clôturé pour la première fois vendredi soir en-dessous de son prix d'introduction en Bourse, fixé début novembre 2013 à 26 dollars, sur fond de déroute généralisée sur les marchés. Cette pratique s'étend désormais aux recherches faites depuis un ordinateur de bureau. Cela a été confirmé par un échange sur Twitter entre les deux sociétés : "Hey @twitter, fête pour la recherche chez nous. Rendez-vous sur les ordinateurs de bureau ?", a écrit le géant internet sur son compte officiel, et Twitter a accepté l'invitation sur le sien en promettant "d'apporter les tweets". Les deux groupes avaient déjà eu un arrangement similaire entre 2009 et 2011. La reconduite du partenariat intervient alors que Twitter tente d'élargir son audience afin de rassurer les marchés inquiets de ses perspectives de croissance. Twitter revendiquait 316 millions d'abonnés fin juin et seulement 44 % se connectent tous les jours sur les 20 principaux marchés du réseau social. A titre de comparaison, 65 % des 1,49 milliard d'utilisateurs de Facebook dans le monde y accèdent de manière quotidienne. Lors des derniers résultats trimestriels fin juillet, le directeur financier, Anthony Noto, a en outre avoué qu'il n'y aurait pas de croissance importante et durable du nombre d'utilisateurs tant que Twitter ne toucherait pas le grand public, ce qui "prendra un temps considérable". La situation est encore compliquée par les incertitudes créées par la recherche depuis trois mois d'un nouveau patron pour Twitter après la démission du directeur général Dick Costolo, remplacé pour l'instant à titre intérimaire par le cofondateur Jack Dorsey, également à la tête de la société de paiements mobiles Square. L'action du réseau social a depuis perdu environ 30 % de sa valeur depuis fin juillet et elle a clôturé pour la première fois vendredi soir en-dessous de son prix d'introduction en Bourse, fixé début novembre 2013 à 26 dollars, sur fond de déroute généralisée sur les marchés.