Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a indiqué que la distinction des deux jeunes réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui lors du 31e Festival du film méditerranéen d'Alexandrie, était un succès pour le cinéma algérien lui permettant de reconquérir sa place. Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi a indiqué que la distinction des deux jeunes réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui lors du 31e Festival du film méditerranéen d'Alexandrie, était un succès pour le cinéma algérien lui permettant de reconquérir sa place. Dans un communiqué publié jeudi par le ministère, M. Mihoubi a estimé que la distinction de la fiction "Le puits" et du documentaire "Akher Kalam" (Les dernières paroles) des réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui, constituait "un succès pour le cinéma algérien", rappelant que l'Etat oeuvrait "à relancer et à développer le 7e art à travers la prise en charge des différents chaînons de la production cinématographique". Pour le ministre, "la distinction de deux jeunes réalisateurs de la nouvelle génération avec deux oeuvres engagées, dans un festival aussi prestigieux, reflète le talent que recèle la scène artistique nationale et devant permettre au 7e art algérien de reconquérir sa place". M. Mihoubi s'est dit "fier" de cette distinction "méritée". La fiction "Le puits" et le documentaire "Akher Kalam", des réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui ont remporté mardi soir les prix du meilleur film et du meilleur documentaire arabes au 31e Festival du film méditerranéen d'Alexandrie (Egypte, 2-8 septembre), l'un des plus prestigieux festivals du cinéma dans le monde arabe. Première fiction de Lotfi Bouchouchi, "Le puits" (90mn, 2014) drame sur le siège d'un village du sud de l'Algérie par des militaires français durant la guerre d'indépendance en compétition dans la section "Nour-al-Sharif du meilleur film arabe", a également reçu les prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario ainsi que le prix du meilleur rôle féminin, attribué à l'actrice algérienne Nadia Kaci. Dans "Akhir Kalam" le journaliste et documentariste Mohamed Zaoui filme, quant à lui, une rencontre avec l'écrivain algérien Tahar Ouattar (1936- 2010) réalisée peu avant sa disparition. Fondé en 1979 par l'association égyptienne des auteurs et critiques de cinéma, le Festival du film méditerranéen d'Alexandrie est considéré comme un des plus vieux festivals de cinéma dans le monde arabe. Trente-trois films (entre longs, courts métrages et documentaires) en provenance de plusieurs pays méditerranéens étaient en compétition lors de cette 31e édition du Festival dont la compétition internationale a été dominée par le film albanais "Aksamtou An takouni âadra" (Je jure que tu seras vierge). Dans un communiqué publié jeudi par le ministère, M. Mihoubi a estimé que la distinction de la fiction "Le puits" et du documentaire "Akher Kalam" (Les dernières paroles) des réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui, constituait "un succès pour le cinéma algérien", rappelant que l'Etat oeuvrait "à relancer et à développer le 7e art à travers la prise en charge des différents chaînons de la production cinématographique". Pour le ministre, "la distinction de deux jeunes réalisateurs de la nouvelle génération avec deux oeuvres engagées, dans un festival aussi prestigieux, reflète le talent que recèle la scène artistique nationale et devant permettre au 7e art algérien de reconquérir sa place". M. Mihoubi s'est dit "fier" de cette distinction "méritée". La fiction "Le puits" et le documentaire "Akher Kalam", des réalisateurs algériens Lotfi Bouchouchi et Mohamed Zaoui ont remporté mardi soir les prix du meilleur film et du meilleur documentaire arabes au 31e Festival du film méditerranéen d'Alexandrie (Egypte, 2-8 septembre), l'un des plus prestigieux festivals du cinéma dans le monde arabe. Première fiction de Lotfi Bouchouchi, "Le puits" (90mn, 2014) drame sur le siège d'un village du sud de l'Algérie par des militaires français durant la guerre d'indépendance en compétition dans la section "Nour-al-Sharif du meilleur film arabe", a également reçu les prix du meilleur réalisateur, du meilleur scénario ainsi que le prix du meilleur rôle féminin, attribué à l'actrice algérienne Nadia Kaci. Dans "Akhir Kalam" le journaliste et documentariste Mohamed Zaoui filme, quant à lui, une rencontre avec l'écrivain algérien Tahar Ouattar (1936- 2010) réalisée peu avant sa disparition. Fondé en 1979 par l'association égyptienne des auteurs et critiques de cinéma, le Festival du film méditerranéen d'Alexandrie est considéré comme un des plus vieux festivals de cinéma dans le monde arabe. Trente-trois films (entre longs, courts métrages et documentaires) en provenance de plusieurs pays méditerranéens étaient en compétition lors de cette 31e édition du Festival dont la compétition internationale a été dominée par le film albanais "Aksamtou An takouni âadra" (Je jure que tu seras vierge).