C'est aujourd'hui que s'ouvrira la 7e édition du Festival culturel international de musique symphonique au théâtre national MahieddineBachtarzi à Alger. C'est aujourd'hui que s'ouvrira la 7e édition du Festival culturel international de musique symphonique au théâtre national MahieddineBachtarzi à Alger. La manifestation se transformera sûrement en un sommet culturel international, dont l'objectif principal est de remettre, d'une façon très forte, l'Algérie au-devant de la scène internationale, et de renforcer sa diversité culturelle. Pas moins de 19 orchestres étrangers de musique classique, sont conviés à participer, aux côtés de l'Orchestre symphonique national, à cette septième édition, dont les Pays-Bas, qui seront présents à cette manifestation pour la 1re fois pendant que la Tunisie sera invitée d'honneur. Les autres pays participants sont l'Afrique du Sud, l'Autriche, la Belgique, la Chine, l'Egypte, l'Espagne, la France, l'Italie, le Japon, le Maroc, le Mexique, la Pologne, la Russie, la Suède, la Syrie, la République Tchèque et l'Ukraine. Le commissaire du festival, Abdelkader Bouazzara, a indiqué que cette manifestation "veut être représentative de la situation et du niveau atteint par la musique universelle aussi bien chez nous, en Algérie, qu ́au-delà de nos frontières". Il a ajouté que le festival "s'inscrit dans l'ambition de renforcer la connaissance et l ́intérêt porté par nos concitoyens à la musique universelle, il représente aussi une consécration des efforts menés, jusqu ́à présent, pour inculquer la musique universelle dans la vie culturelle de nos citoyens". C'est "un domaine infiniment riche et diversifié", at- il précisé. Mieux, cet art savant est élargi à notre patrimoine musical. L'ambition est de pouvoir transformer nos chants traditionnels sous forme de musique symphonique. Ecrits sur partitions et joués par de grands orchestres, ces chants traditionnels acquièrent leur statut d ́universel. L'Orchestre symphonique national a déjà popularisé et fidélisé de larges couches de la population algérienne. Pour cela, il a multiplié les concerts dans la capitale et dans des tournées dans l'Algérie profonde et même à l'Etranger. Pour le reste du programme, une vingtaine de prestations sont au programme de ce festival qui met, cette année, la Tunisie à l'honneur, avec une moyenne pour chaque soir, de trois concerts qu'animeront les formations de trois pays différents. Accompagnés par l'OSN, les ténors Benabdellah Yanis (Maroc), Lagha Hamadi (Tunisie) et Ragaa Eldin (Egypte) présenteront, le 12 septembre, lors de la soirée inaugurale du festival, de grandes oeuvres de compositeurs célèbres inscrits au répertoire classique universel. En avant goût de cette 7e édition, les pièces Carmen : Prélude, Aragonaise et Toréadors de Bizet, Danse de Tarantelle de Rossini, Tosca-E Lucevan Le Stelle de Puccini, Torna a Surriento de E.Curtis, "Rigoletto : Questa o Quella, La donna e Mobile et La Traviata-Brindisi Libiamo" de Verdi ainsi que O Sole Mia de Di Capua et la Symphonie numéro 4 en fa mineur en quatre mouvements de Tchaïkovski seront interprétées par les trois ténors. Toujours dans le même sens, et en marge de ce festival, un programme assez riche et varié a été concocté, lequel comprend des conférences thématiques, des master class, et des ateliers qui seront programmés dans les salles de l'Institut national supérieur de musique. Quant à la soirée de clôture, les organisateurs prévoient, comme chaque année, un récital donné par un orchestre multinational composé de musiciens des orchestres participants, sous la coupe du maestro Amine Kouider, qui accompagnera la soprane algérienne Amel Brahim-Djelloul et le violonceliste d'origine arménienne Aram Talalian le 19 septembre lors de la cérémonie de clôture de l'évènement. La manifestation se transformera sûrement en un sommet culturel international, dont l'objectif principal est de remettre, d'une façon très forte, l'Algérie au-devant de la scène internationale, et de renforcer sa diversité culturelle. Pas moins de 19 orchestres étrangers de musique classique, sont conviés à participer, aux côtés de l'Orchestre symphonique national, à cette septième édition, dont les Pays-Bas, qui seront présents à cette manifestation pour la 1re fois pendant que la Tunisie sera invitée d'honneur. Les autres pays participants sont l'Afrique du Sud, l'Autriche, la Belgique, la Chine, l'Egypte, l'Espagne, la France, l'Italie, le Japon, le Maroc, le Mexique, la Pologne, la Russie, la Suède, la Syrie, la République Tchèque et l'Ukraine. Le commissaire du festival, Abdelkader Bouazzara, a indiqué que cette manifestation "veut être représentative de la situation et du niveau atteint par la musique universelle aussi bien chez nous, en Algérie, qu ́au-delà de nos frontières". Il a ajouté que le festival "s'inscrit dans l'ambition de renforcer la connaissance et l ́intérêt porté par nos concitoyens à la musique universelle, il représente aussi une consécration des efforts menés, jusqu ́à présent, pour inculquer la musique universelle dans la vie culturelle de nos citoyens". C'est "un domaine infiniment riche et diversifié", at- il précisé. Mieux, cet art savant est élargi à notre patrimoine musical. L'ambition est de pouvoir transformer nos chants traditionnels sous forme de musique symphonique. Ecrits sur partitions et joués par de grands orchestres, ces chants traditionnels acquièrent leur statut d ́universel. L'Orchestre symphonique national a déjà popularisé et fidélisé de larges couches de la population algérienne. Pour cela, il a multiplié les concerts dans la capitale et dans des tournées dans l'Algérie profonde et même à l'Etranger. Pour le reste du programme, une vingtaine de prestations sont au programme de ce festival qui met, cette année, la Tunisie à l'honneur, avec une moyenne pour chaque soir, de trois concerts qu'animeront les formations de trois pays différents. Accompagnés par l'OSN, les ténors Benabdellah Yanis (Maroc), Lagha Hamadi (Tunisie) et Ragaa Eldin (Egypte) présenteront, le 12 septembre, lors de la soirée inaugurale du festival, de grandes oeuvres de compositeurs célèbres inscrits au répertoire classique universel. En avant goût de cette 7e édition, les pièces Carmen : Prélude, Aragonaise et Toréadors de Bizet, Danse de Tarantelle de Rossini, Tosca-E Lucevan Le Stelle de Puccini, Torna a Surriento de E.Curtis, "Rigoletto : Questa o Quella, La donna e Mobile et La Traviata-Brindisi Libiamo" de Verdi ainsi que O Sole Mia de Di Capua et la Symphonie numéro 4 en fa mineur en quatre mouvements de Tchaïkovski seront interprétées par les trois ténors. Toujours dans le même sens, et en marge de ce festival, un programme assez riche et varié a été concocté, lequel comprend des conférences thématiques, des master class, et des ateliers qui seront programmés dans les salles de l'Institut national supérieur de musique. Quant à la soirée de clôture, les organisateurs prévoient, comme chaque année, un récital donné par un orchestre multinational composé de musiciens des orchestres participants, sous la coupe du maestro Amine Kouider, qui accompagnera la soprane algérienne Amel Brahim-Djelloul et le violonceliste d'origine arménienne Aram Talalian le 19 septembre lors de la cérémonie de clôture de l'évènement.