Un cessez-le-feu "permanent" a été accepté dimanche dans deux villes près de la frontière libanaise, et dans deux autres localités dans le nordouest du pays, a annoncé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Un cessez-le-feu "permanent" a été accepté dimanche dans deux villes près de la frontière libanaise, et dans deux autres localités dans le nordouest du pays, a annoncé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). Les parties en conflit sont parvenues à conclure un cessez-le-feu à Kafria et Fouaa dans le nord-ouest du pays et dans la ville de Zabadani et Madaya près de la frontière avec le liban voisin, a indiqué l'ONG. Au terme de ce trève permanente dont l'entrée en vigueur est prévue à midi heure locale, toutes les opérations militaires seront cessées dans ces localités situées à Idleb, a précisé dimanche Rami Abdel Rahmane, directeurdel'OSDH. Les forces du régime ont lancé en juillet une offensive pour reprendre Zabadani, dernière place forte des insurgés près de la frontière avec le Liban, poussant une alliance rebelle incluant le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, à encercler Foua et Kafraya. Lors des précédentes tractations en août, les négociations avaient achoppé sur une demande des rebelles de libérer plusieurs milliers d'insurgés détenus par le régime qui ne voulait en libérer qu'un millier, selon l'OSDH. Les parties en conflit sont parvenues à conclure un cessez-le-feu à Kafria et Fouaa dans le nord-ouest du pays et dans la ville de Zabadani et Madaya près de la frontière avec le liban voisin, a indiqué l'ONG. Au terme de ce trève permanente dont l'entrée en vigueur est prévue à midi heure locale, toutes les opérations militaires seront cessées dans ces localités situées à Idleb, a précisé dimanche Rami Abdel Rahmane, directeurdel'OSDH. Les forces du régime ont lancé en juillet une offensive pour reprendre Zabadani, dernière place forte des insurgés près de la frontière avec le Liban, poussant une alliance rebelle incluant le Front Al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, à encercler Foua et Kafraya. Lors des précédentes tractations en août, les négociations avaient achoppé sur une demande des rebelles de libérer plusieurs milliers d'insurgés détenus par le régime qui ne voulait en libérer qu'un millier, selon l'OSDH.