Finalement, il n'y aura pas de nouvelle crise au sein du groupe parlementaire du FLN à l'APN. Le secrétaire général du parti, Amar Saadani, vient en effet de prendre une décision qui lui éviterait de s'aliéner une bonne partie des députés du vieux parti de la chambre basse du Parlement. Finalement, il n'y aura pas de nouvelle crise au sein du groupe parlementaire du FLN à l'APN. Le secrétaire général du parti, Amar Saadani, vient en effet de prendre une décision qui lui éviterait de s'aliéner une bonne partie des députés du vieux parti de la chambre basse du Parlement. Saadani a ainsi décidé d'opter, dans le cadre du renouvellement des instances de l'APN pour le vote pour la désignation des représentants du parti. Avant cette décision, prise mercredi dernier, il n'était pas question de vote, mais de désignation des représentants du vieux parti, notamment s'agissant du pourvoi des cinq postes de vice-présidents de l'APN. Le non recours à la voie des urnes était très mal perçu par une bonne partie des députés du FLN, ce d'autant que les autres groupes parlementaires qui participent aux structures de l'assemblée, à l'image du RND et des indépendants, la voie démocratique était consacrée. Avant de revenir à de meilleurs sentiments et de souscrire enfin au souhait de la majorité des députés de son parti, Amar Saadani comptait s'appuyer sur une disposition des statuts du parti pour choisir les cinq vice- présidents de l'assemblée qui allaient siéger au bureau de l'institution parlementaire pour représenter le FLN, qui permet au secrétaire général de désigner les représentants de son parti au bureau de l'assemblée durant la première année qui suit le congrès, a été , pour rappel, consacrée lors du dernier congrès qui s'est tenu les 28, 29 et 30 mai dernier. Ce congrès a permis à Amar Saadani de conforter sa mainmise sur le vieux parti puisque il a été élu pour un mandat de cinq ans. En abandonnant le droit d'user de cette prérogative le secrétaire général va permettre aux députés du parti de choisir librement tous leurs représentants à la chambre basse du Parlement. Les députés FLN vont ainsi pouvoir choisir, le jeudi prochain, leurs représentants. Le FLN, de par son statut de première force politique à l'APN, dispose, notamment, de cinq sièges de vice présidents ainsi que la présidence de huit commissions sur les douze qui existent à l ‘assemblée. Cela sans oublier les postes de vice-présidents des commissions permanentes et de rapporteurs. C'est donc le soulagement au sein des députés FLN, dont la majorité contestait la propension de Amar Saadani a dépouiller les élus du peuple de la liberté de choisir parmi leurs pairs leurs représentants. Saadani, bien conseillé, a donc éviter d'aller vers un bras de fer avec les députés ce d'autant qu'il n'est pas déjà en odeur de sainteté avec une partie d'entre eux. En effet, quelques députés affichent clairement leur opposition au secrétaire général et contestent même sa légitimité à la tète du vieux parti. Ces députés font partie de l'opposition animée par Abderrahmane Belayat. Une opposition qui ne reconnait pas les résultats du congrès du mois de mai et, par voie de conséquence, la légitimité de Saadani D'ailleurs, cette opposition à saisi la justice pour invalider le congrès. En choisissant de faire un « cadeau » aux députés Saadani cherche apparemment la voie de l'apaisement car il ne veut certainement pas que la première session du comité central qui aura lieu le 4 octobre prochain se tienne dans un climat de tension. Saadani a ainsi décidé d'opter, dans le cadre du renouvellement des instances de l'APN pour le vote pour la désignation des représentants du parti. Avant cette décision, prise mercredi dernier, il n'était pas question de vote, mais de désignation des représentants du vieux parti, notamment s'agissant du pourvoi des cinq postes de vice-présidents de l'APN. Le non recours à la voie des urnes était très mal perçu par une bonne partie des députés du FLN, ce d'autant que les autres groupes parlementaires qui participent aux structures de l'assemblée, à l'image du RND et des indépendants, la voie démocratique était consacrée. Avant de revenir à de meilleurs sentiments et de souscrire enfin au souhait de la majorité des députés de son parti, Amar Saadani comptait s'appuyer sur une disposition des statuts du parti pour choisir les cinq vice- présidents de l'assemblée qui allaient siéger au bureau de l'institution parlementaire pour représenter le FLN, qui permet au secrétaire général de désigner les représentants de son parti au bureau de l'assemblée durant la première année qui suit le congrès, a été , pour rappel, consacrée lors du dernier congrès qui s'est tenu les 28, 29 et 30 mai dernier. Ce congrès a permis à Amar Saadani de conforter sa mainmise sur le vieux parti puisque il a été élu pour un mandat de cinq ans. En abandonnant le droit d'user de cette prérogative le secrétaire général va permettre aux députés du parti de choisir librement tous leurs représentants à la chambre basse du Parlement. Les députés FLN vont ainsi pouvoir choisir, le jeudi prochain, leurs représentants. Le FLN, de par son statut de première force politique à l'APN, dispose, notamment, de cinq sièges de vice présidents ainsi que la présidence de huit commissions sur les douze qui existent à l ‘assemblée. Cela sans oublier les postes de vice-présidents des commissions permanentes et de rapporteurs. C'est donc le soulagement au sein des députés FLN, dont la majorité contestait la propension de Amar Saadani a dépouiller les élus du peuple de la liberté de choisir parmi leurs pairs leurs représentants. Saadani, bien conseillé, a donc éviter d'aller vers un bras de fer avec les députés ce d'autant qu'il n'est pas déjà en odeur de sainteté avec une partie d'entre eux. En effet, quelques députés affichent clairement leur opposition au secrétaire général et contestent même sa légitimité à la tète du vieux parti. Ces députés font partie de l'opposition animée par Abderrahmane Belayat. Une opposition qui ne reconnait pas les résultats du congrès du mois de mai et, par voie de conséquence, la légitimité de Saadani D'ailleurs, cette opposition à saisi la justice pour invalider le congrès. En choisissant de faire un « cadeau » aux députés Saadani cherche apparemment la voie de l'apaisement car il ne veut certainement pas que la première session du comité central qui aura lieu le 4 octobre prochain se tienne dans un climat de tension.