Le chef du FCE donne rendez-vous à la justice au général à la retraite Benhadid. Se sentant diffamé, Ali Haddad a décidé en effet d'ester en justice l'ancien officier supérieur qui a indiqué dans une interview accordée à un site d'information électronique que le chef du FCE a été « imposé » comme président du Forum des chefs d'entreprise. Le chef du FCE donne rendez-vous à la justice au général à la retraite Benhadid. Se sentant diffamé, Ali Haddad a décidé en effet d'ester en justice l'ancien officier supérieur qui a indiqué dans une interview accordée à un site d'information électronique que le chef du FCE a été « imposé » comme président du Forum des chefs d'entreprise. Estimant être « gravement » mis en cause par le général Benhadid à titre personnel et en sa qualité de président du FCE, Haddad tient à préciser dans un communiqué de presse que « ni lui-même ni l'association qu'il a l'honneur de présider n'ont jamais contesté à quiconque le droit d'exprimer ses opinions » et considère qu'il est tout à fait « légitime » de recourir à la justice lorsque ces opinions « sont diffamatoires et de nature à nourrir la confusion et à jeter le discrédit » aussi bien sur les personnes que sur les institutions nationales et sur les entreprises en général « comme sur notre association en particulier » . A l'adresse de l'opinion publique, le chef du FCE a rappelé que le Forum des chefs d'entreprise n'a d'autre ambition que celle de « travailler » à se hisser au rang de « promoteur du développement et de la croissance au sein de notre économie », une ambition qui, certes, a-t-il ajouté, « exige de nous encore d'énormes progrès pour la réaliser mais dont nous n'avons certainement pas à rougir et, surtout, que personne ne doit nous contester ». « S'il est légitime pour tout un chacun de relever nos insuffisances, ce que nous acceptons volontiers car nous considérons toute critique constructive comme un bienfait, il n'est cependant ni juste ni sain que la critique dérive vers l'amalgame et vers l'invective, voire vers l'insulte pure et simple», a affirmé Haddad qui tient à répéter que l'action du FCE a pour objectifs « la promotion » de l'entreprise algérienne, son « développement » et la « défense » de ses intérêts, pour « servir l'intérêt général de la collectivité nationale et le bien être des Algériens ». A ce titre, le FCE se considère légitimement « fondé » à proposer au gouvernement des mesures permettant « d'assurer la croissance » de notre économie et de « créer les emplois » dont notre population a besoin. Aussi, il s'engage « à assumer loyalement les missions qui sont les siennes », en tant qu'association d'entreprises citoyennes, en contribuant au chantier « immense du renouveau de l'Algérie », aux côtés des autorités publiques. « En agissant ainsi, le FCE est tout à fait dans son rôle », notera le chef du FCE qui souligne que travailler avec les ministres du gouvernement n'est pas« se substituer » au gouvernement. Le FCE a toujours, depuis sa création en 2000, considéré que le dialogue et la concertation sont des « vertus » de tout Etat « moderne » et expliqué qu'en recevant les chefs d'entreprise, « nos ministres ne font que traduire ces vertus dans les faits et c'est tout à leur honneur ». « Notre pays gagnerait beaucoup à ce que ceux qui pensent avoir une opinion à formuler fassent leurs de telles vertus. C'est de ceux-là qu'a besoin notre pays, c'est de ceux-là qu'a besoin l'Algérie qui travaille, et c'est celle-là l'Algérie d'aujourd'hui. En tout état de cause, le FCE reste déterminé à travailler avec le gouvernement, à solliciter son implication et à apporter sa contribution active sur les questions économiques intéressant directement ou indirectement les entreprises, leur environnement national ou international, et tous les aspects du développement économique et social national », a conclu le chef du FCE. Estimant être « gravement » mis en cause par le général Benhadid à titre personnel et en sa qualité de président du FCE, Haddad tient à préciser dans un communiqué de presse que « ni lui-même ni l'association qu'il a l'honneur de présider n'ont jamais contesté à quiconque le droit d'exprimer ses opinions » et considère qu'il est tout à fait « légitime » de recourir à la justice lorsque ces opinions « sont diffamatoires et de nature à nourrir la confusion et à jeter le discrédit » aussi bien sur les personnes que sur les institutions nationales et sur les entreprises en général « comme sur notre association en particulier » . A l'adresse de l'opinion publique, le chef du FCE a rappelé que le Forum des chefs d'entreprise n'a d'autre ambition que celle de « travailler » à se hisser au rang de « promoteur du développement et de la croissance au sein de notre économie », une ambition qui, certes, a-t-il ajouté, « exige de nous encore d'énormes progrès pour la réaliser mais dont nous n'avons certainement pas à rougir et, surtout, que personne ne doit nous contester ». « S'il est légitime pour tout un chacun de relever nos insuffisances, ce que nous acceptons volontiers car nous considérons toute critique constructive comme un bienfait, il n'est cependant ni juste ni sain que la critique dérive vers l'amalgame et vers l'invective, voire vers l'insulte pure et simple», a affirmé Haddad qui tient à répéter que l'action du FCE a pour objectifs « la promotion » de l'entreprise algérienne, son « développement » et la « défense » de ses intérêts, pour « servir l'intérêt général de la collectivité nationale et le bien être des Algériens ». A ce titre, le FCE se considère légitimement « fondé » à proposer au gouvernement des mesures permettant « d'assurer la croissance » de notre économie et de « créer les emplois » dont notre population a besoin. Aussi, il s'engage « à assumer loyalement les missions qui sont les siennes », en tant qu'association d'entreprises citoyennes, en contribuant au chantier « immense du renouveau de l'Algérie », aux côtés des autorités publiques. « En agissant ainsi, le FCE est tout à fait dans son rôle », notera le chef du FCE qui souligne que travailler avec les ministres du gouvernement n'est pas« se substituer » au gouvernement. Le FCE a toujours, depuis sa création en 2000, considéré que le dialogue et la concertation sont des « vertus » de tout Etat « moderne » et expliqué qu'en recevant les chefs d'entreprise, « nos ministres ne font que traduire ces vertus dans les faits et c'est tout à leur honneur ». « Notre pays gagnerait beaucoup à ce que ceux qui pensent avoir une opinion à formuler fassent leurs de telles vertus. C'est de ceux-là qu'a besoin notre pays, c'est de ceux-là qu'a besoin l'Algérie qui travaille, et c'est celle-là l'Algérie d'aujourd'hui. En tout état de cause, le FCE reste déterminé à travailler avec le gouvernement, à solliciter son implication et à apporter sa contribution active sur les questions économiques intéressant directement ou indirectement les entreprises, leur environnement national ou international, et tous les aspects du développement économique et social national », a conclu le chef du FCE.