Profitant de la 18e tripartite qui a réuni récemment, à Biskra, le gouvernement, le patronat et l'UGTA, le FCE a tenu à exposer devant les présents les enjeux et les défis économiques que doit faire face notre pays, notamment durant ce contexte économique particulier, marqué par le net recul des prix du pétrole et, par ricochet, de la baisse des recettes pétrolières. Profitant de la 18e tripartite qui a réuni récemment, à Biskra, le gouvernement, le patronat et l'UGTA, le FCE a tenu à exposer devant les présents les enjeux et les défis économiques que doit faire face notre pays, notamment durant ce contexte économique particulier, marqué par le net recul des prix du pétrole et, par ricochet, de la baisse des recettes pétrolières. Reconnaissant, sans détours, que l'Algérie se retrouve aujourd'hui à "la croisée des chemins", le président du Forum des chefs d'entreprise a indiqué à ce sujet que son organisation compte apporter sa contribution à l'effort commun de clarification en soumettant à ses partenaires les résultats de la réflexion qu'il a initié et qui a trait à la mise en place d'une stratégie de développement économique pour les 30 prochaines années. "Pour nous, le chemin est tracé, la volonté existe et le plan d'action à court et moyen termes est établi. Une étude prospective inhérente à un plan d'émergence de l'Algérie 2020 – 2030 est initiée et des actions concordantes sont déjà entreprises. A ce titre on peut citer le déploiement du FCE au niveau national par l'installation de délégués de wilayas, le déploiement à l'étranger à travers des représentants du FCE pour la consultation des opérateurs économiques et organisations patronales de tous les pays développés des cinq continents pour mieux s'imprégner de leurs expériences et développer les échanges avec notre pays. Des rencontres sont programmées dans ce cadre en Algérie et chez les partenaires avec les Indiens, les Chinois, les Français, les Américains, les Britanniques et d'autres", a révélé Ali Haddad qui a insisté sur la nécessité de "clarifier" les enjeux, "d'apprécier" les alternatives, de "jauger" les solutions préconisées, pour donner aux Algériens, plus particulièrement les jeunes, des raisons "d'espérer et de croire en un avenir fait de prospérité et de bien-être partagés. En ma qualité de président du Forum des chefs d'entreprise, il m'échoit donc l'honneur de vous faire part de nos intimes convictions, de clarifier nos objectifs et de lever toute équivoque quant à nos ambitions. A l'instar de l'organisation que je représente, il n'est pas erroné d'affirmer que l'ensemble des acteurs et des décideurs de la scène politique et économique nationale sont unanimes à considérer de la même manière personne ne peut nier que tous les algériens partagent la même ambition pour leur pays. Il s'agit d'assurer le bien-être de tous et d'oeuvrer à hisser l'Algérie au rang de puissance de premier plan tant au niveau régional, que continental", expliquant que pour relancer le développement et la croissance, il faut une réelle volonté politique. "Elle est là cette volonté, elle existe et elle est maintes fois réitérée par le président de la République. Elle est illustrée par le retour à la paix et à la stabilité du pays, la consécration dans la Constitution de l'article 37 qui consacre de la liberté d'entreprendre et d'investir, la mobilisation de moyens humains et financiers considérables et l'adoption de nombreuses mesures de soutien en faveur de l'investissement, de l'entreprise et des jeunes entrepreneurs", a-t-il ajouté devant le Premier ministre et le patronat ainsi que l'UGTA. D'où son plaidoyer une stratégie de développement rénovée et consensuelle. Notant avec satisfaction les avancées réalisées dans le cadre de la loi de finance complémentaire 2015, notamment en matière d'allégements fiscaux au profit des entreprises productrices de biens et en matière de traitement systémique des activités informelles à travers la mise en conformité fiscale volontaire qui vise à intégrer les capitaux informels dans la sphère bancaire, le chef du FCE a surtout salué l'amendement du code de procédure pénale dans son volet relatif à la dépénalisation de l'acte de gestion, une décision qu'il a considéré de "première importance" pour le renforcement de la protection des cadres gestionnaires dans l'exercice de leur fonction et une "avancée considérable" dans la libération des initiatives économiques et financières. "Les menaces qui pèsent sur notre maison commune sont multiples. Celles qui sont à l'origine de cette rencontre, à savoir la crise économique, la forte baisse des recettes pétrolières ou encore l'instabilité de la région, qui peuvent mettre en péril les grands équilibres économiques et sociaux de notre société", a conclu Haddad. Reconnaissant, sans détours, que l'Algérie se retrouve aujourd'hui à "la croisée des chemins", le président du Forum des chefs d'entreprise a indiqué à ce sujet que son organisation compte apporter sa contribution à l'effort commun de clarification en soumettant à ses partenaires les résultats de la réflexion qu'il a initié et qui a trait à la mise en place d'une stratégie de développement économique pour les 30 prochaines années. "Pour nous, le chemin est tracé, la volonté existe et le plan d'action à court et moyen termes est établi. Une étude prospective inhérente à un plan d'émergence de l'Algérie 2020 – 2030 est initiée et des actions concordantes sont déjà entreprises. A ce titre on peut citer le déploiement du FCE au niveau national par l'installation de délégués de wilayas, le déploiement à l'étranger à travers des représentants du FCE pour la consultation des opérateurs économiques et organisations patronales de tous les pays développés des cinq continents pour mieux s'imprégner de leurs expériences et développer les échanges avec notre pays. Des rencontres sont programmées dans ce cadre en Algérie et chez les partenaires avec les Indiens, les Chinois, les Français, les Américains, les Britanniques et d'autres", a révélé Ali Haddad qui a insisté sur la nécessité de "clarifier" les enjeux, "d'apprécier" les alternatives, de "jauger" les solutions préconisées, pour donner aux Algériens, plus particulièrement les jeunes, des raisons "d'espérer et de croire en un avenir fait de prospérité et de bien-être partagés. En ma qualité de président du Forum des chefs d'entreprise, il m'échoit donc l'honneur de vous faire part de nos intimes convictions, de clarifier nos objectifs et de lever toute équivoque quant à nos ambitions. A l'instar de l'organisation que je représente, il n'est pas erroné d'affirmer que l'ensemble des acteurs et des décideurs de la scène politique et économique nationale sont unanimes à considérer de la même manière personne ne peut nier que tous les algériens partagent la même ambition pour leur pays. Il s'agit d'assurer le bien-être de tous et d'oeuvrer à hisser l'Algérie au rang de puissance de premier plan tant au niveau régional, que continental", expliquant que pour relancer le développement et la croissance, il faut une réelle volonté politique. "Elle est là cette volonté, elle existe et elle est maintes fois réitérée par le président de la République. Elle est illustrée par le retour à la paix et à la stabilité du pays, la consécration dans la Constitution de l'article 37 qui consacre de la liberté d'entreprendre et d'investir, la mobilisation de moyens humains et financiers considérables et l'adoption de nombreuses mesures de soutien en faveur de l'investissement, de l'entreprise et des jeunes entrepreneurs", a-t-il ajouté devant le Premier ministre et le patronat ainsi que l'UGTA. D'où son plaidoyer une stratégie de développement rénovée et consensuelle. Notant avec satisfaction les avancées réalisées dans le cadre de la loi de finance complémentaire 2015, notamment en matière d'allégements fiscaux au profit des entreprises productrices de biens et en matière de traitement systémique des activités informelles à travers la mise en conformité fiscale volontaire qui vise à intégrer les capitaux informels dans la sphère bancaire, le chef du FCE a surtout salué l'amendement du code de procédure pénale dans son volet relatif à la dépénalisation de l'acte de gestion, une décision qu'il a considéré de "première importance" pour le renforcement de la protection des cadres gestionnaires dans l'exercice de leur fonction et une "avancée considérable" dans la libération des initiatives économiques et financières. "Les menaces qui pèsent sur notre maison commune sont multiples. Celles qui sont à l'origine de cette rencontre, à savoir la crise économique, la forte baisse des recettes pétrolières ou encore l'instabilité de la région, qui peuvent mettre en péril les grands équilibres économiques et sociaux de notre société", a conclu Haddad.