La nuit du vendredi au samedi a été très longue pour la France et les Français. Le terrorisme a en effet frappé de manière spectaculaire au coeur même de la capitale, Paris. La nuit du vendredi au samedi a été très longue pour la France et les Français. Le terrorisme a en effet frappé de manière spectaculaire au coeur même de la capitale, Paris. La ville lumière a été le théâtre d'une série d'attentats terroristes de grande ampleur. Jamais la France n'a été touchée par un carnage d'une telle ampleur. Le bilan est lourd, très lourd puisque l'on parle de la mort de pas moins de 128 personnes. Cette liste macabre pourrait s'allonger puisqu'on déplore aussi plus de 250 blessés lors de ces attaques en série qui ont secoué la nuit parisienne dans la soirée d'avanthier vendredi. L'état d'urgence a été déclaré dans toute la France. C'est dire que l'heure est grave. Selon les autorités françaises 7 attaques ont eu lieu dans plusieurs lieux très fréquentés de la capitale française. Autant dire que Paris a vécu l'horreur cette nuit-là. Ainsi au total, 7 attaques ont été perpétrées en milieu de soirée au Stade de France, dans la salle de concert du Bataclan et à des terrasses de cafés ou de restaurants, principalement dans les 10e et 11e arrondissements de Paris. Tout a commencé aux abords du Stade de France où se déroulait une rencontre de football opposant la France à l'Allemagne en présence du président français, François Hollande. Ainsi, selon les autorités françaises une première explosion s'est produite à 21h17 à l'extérieur du stade. Deux minutes plus tard, une seconde détonation retentissait. Cependant il n'y a pas eu de panique au stade puisque les spectateurs n'ont pas entendu les détonations. La panique s'est produite à la sortie du stade après la fin du match. Il y a eu des mouvements de foule. Mais l'horreur était plus loin du stade de France, au coeur même de Paris. En effet à peu près au même moment, au Bataclan (une grande salle de spectacle), boulevard Voltaire, plusieurs hommes armés ouvraient le feu en plein concert de rock. La prise d'otages a duré plusieurs heures avant l'assaut des forces de l'ordre vers 00h30. C'est dans cette salle de spectacle qu'a eu lieu le plus grand nombre de victimes. On a dénombré en effet des dizaines de morts, une centaine selon certaines sources. Au moins 4 hommes, selon certaines informations, viennent d'ouvrir le feu en plein concert dans la salle qui abritait 1.500 personnes. Des rescapés racontent : « Ils ont tué, tué, tué, j'étais entourée de morts » confie une jeune femme. Ce cauchemar a duré presque trois heures avant que les otages ne soient délivrés. En effet, à minuit et demi, l'assaut est donné au Bataclan par les unités d'élites de la police française. Trois ou quatre kamikazes se sont alors fait exploser. A l'intérieur les policiers découvrent une scène d'horreur. Des cadavres à perte de vue, quelquefois les uns sur les autres. Selon un bilan provisoire, au moins 80 personnes ont été assassinées de sang-froid par les hordes terroristes. Presque au même moment de la prise d'otages au Bataclan, et juste à quelques centaines de mètres de là, une fusillade éclate dans la terrasse bondée du restaurant Le petit Cambodge. Les terroristes, armes au poing et sortant d'une voiture, tiraient à l'aveuglette sur les clients. Bilan : au moins 12 morts. Des témoins évoquent une nouvelle fusillade rue de Charonne toujours dans le même secteur. Deux autres fusillades se sont aussi déroulées au restaurant Casa Nostra dans le 11e arrondissement et ses abords. Autant dire que les attaques ont été nombreuses et les victimes se comptaient par dizaines. C'est la stupeur totale et la panique gagne tout Paris. La Police se déploie en grand nombre et boucle des quartiers entires. Les sirènes des ambulances et des voitures de police retentissent dans la nuit parisienne. Les autorités françaises tiennent réunion sur réunion. Le président français, François Hollande, qui a tenu une réunion de crise du Conseil des ministres, s'adresse au peuple francais à travers la télévision. Il dit toute la détermination de son gouvernement à lutter contre le terrorismes et appelle le peuple français à l'unité. Preuve de la gravité de la situation il décrète aussi l'Etat d'urgence. Du jamais vu depuis ce que les Français appellent la Guerre d'Algérie. Le déroulé exact de la série d'attaques n'était pas encore connu avec précision samedi matin. Les messages de solidarité et de soutien ont afflué de partout. L'ensemble de la communauté internationale a, en effet, manifesté sa solidarité et sa désapprobation et sa condamnation de ces lâches attentats terroristes. Ces attentats, revendiqués d'ores et déjà par le groupe Daech, interviennent, rappelons- le, après l'horrible carnage qui a ciblé l'hebdomadaire Charlie Hebdo au mois de janvier dernier. Mais cette fois c'était encore pire. En France on considère cela comme un acte de guerre. « C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daech, une armée jihadiste », a déclaré hier François Hollande à l'issue d'un Conseil de défense à l'Elysée au lendemain des attentats. La ville lumière a été le théâtre d'une série d'attentats terroristes de grande ampleur. Jamais la France n'a été touchée par un carnage d'une telle ampleur. Le bilan est lourd, très lourd puisque l'on parle de la mort de pas moins de 128 personnes. Cette liste macabre pourrait s'allonger puisqu'on déplore aussi plus de 250 blessés lors de ces attaques en série qui ont secoué la nuit parisienne dans la soirée d'avanthier vendredi. L'état d'urgence a été déclaré dans toute la France. C'est dire que l'heure est grave. Selon les autorités françaises 7 attaques ont eu lieu dans plusieurs lieux très fréquentés de la capitale française. Autant dire que Paris a vécu l'horreur cette nuit-là. Ainsi au total, 7 attaques ont été perpétrées en milieu de soirée au Stade de France, dans la salle de concert du Bataclan et à des terrasses de cafés ou de restaurants, principalement dans les 10e et 11e arrondissements de Paris. Tout a commencé aux abords du Stade de France où se déroulait une rencontre de football opposant la France à l'Allemagne en présence du président français, François Hollande. Ainsi, selon les autorités françaises une première explosion s'est produite à 21h17 à l'extérieur du stade. Deux minutes plus tard, une seconde détonation retentissait. Cependant il n'y a pas eu de panique au stade puisque les spectateurs n'ont pas entendu les détonations. La panique s'est produite à la sortie du stade après la fin du match. Il y a eu des mouvements de foule. Mais l'horreur était plus loin du stade de France, au coeur même de Paris. En effet à peu près au même moment, au Bataclan (une grande salle de spectacle), boulevard Voltaire, plusieurs hommes armés ouvraient le feu en plein concert de rock. La prise d'otages a duré plusieurs heures avant l'assaut des forces de l'ordre vers 00h30. C'est dans cette salle de spectacle qu'a eu lieu le plus grand nombre de victimes. On a dénombré en effet des dizaines de morts, une centaine selon certaines sources. Au moins 4 hommes, selon certaines informations, viennent d'ouvrir le feu en plein concert dans la salle qui abritait 1.500 personnes. Des rescapés racontent : « Ils ont tué, tué, tué, j'étais entourée de morts » confie une jeune femme. Ce cauchemar a duré presque trois heures avant que les otages ne soient délivrés. En effet, à minuit et demi, l'assaut est donné au Bataclan par les unités d'élites de la police française. Trois ou quatre kamikazes se sont alors fait exploser. A l'intérieur les policiers découvrent une scène d'horreur. Des cadavres à perte de vue, quelquefois les uns sur les autres. Selon un bilan provisoire, au moins 80 personnes ont été assassinées de sang-froid par les hordes terroristes. Presque au même moment de la prise d'otages au Bataclan, et juste à quelques centaines de mètres de là, une fusillade éclate dans la terrasse bondée du restaurant Le petit Cambodge. Les terroristes, armes au poing et sortant d'une voiture, tiraient à l'aveuglette sur les clients. Bilan : au moins 12 morts. Des témoins évoquent une nouvelle fusillade rue de Charonne toujours dans le même secteur. Deux autres fusillades se sont aussi déroulées au restaurant Casa Nostra dans le 11e arrondissement et ses abords. Autant dire que les attaques ont été nombreuses et les victimes se comptaient par dizaines. C'est la stupeur totale et la panique gagne tout Paris. La Police se déploie en grand nombre et boucle des quartiers entires. Les sirènes des ambulances et des voitures de police retentissent dans la nuit parisienne. Les autorités françaises tiennent réunion sur réunion. Le président français, François Hollande, qui a tenu une réunion de crise du Conseil des ministres, s'adresse au peuple francais à travers la télévision. Il dit toute la détermination de son gouvernement à lutter contre le terrorismes et appelle le peuple français à l'unité. Preuve de la gravité de la situation il décrète aussi l'Etat d'urgence. Du jamais vu depuis ce que les Français appellent la Guerre d'Algérie. Le déroulé exact de la série d'attaques n'était pas encore connu avec précision samedi matin. Les messages de solidarité et de soutien ont afflué de partout. L'ensemble de la communauté internationale a, en effet, manifesté sa solidarité et sa désapprobation et sa condamnation de ces lâches attentats terroristes. Ces attentats, revendiqués d'ores et déjà par le groupe Daech, interviennent, rappelons- le, après l'horrible carnage qui a ciblé l'hebdomadaire Charlie Hebdo au mois de janvier dernier. Mais cette fois c'était encore pire. En France on considère cela comme un acte de guerre. « C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daech, une armée jihadiste », a déclaré hier François Hollande à l'issue d'un Conseil de défense à l'Elysée au lendemain des attentats.