Les attentats terroristes perpétrés avant-hier à Paris se sont soldés par un bilan provisoire de 128 morts et plus de 250 blessés. Cette effroyable attaque qui semé une grande panique à la capitale française a jeté l'émoi et la peur parmi la population. La piste "djihadiste" reste la plus tangible en attendant le complément d'enquêtes sur un "acte de guerre"sans précédent. Les attentats terroristes perpétrés avant-hier à Paris se sont soldés par un bilan provisoire de 128 morts et plus de 250 blessés. Cette effroyable attaque qui semé une grande panique à la capitale française a jeté l'émoi et la peur parmi la population. La piste "djihadiste" reste la plus tangible en attendant le complément d'enquêtes sur un "acte de guerre"sans précédent. Décidément la France est visée en plein coeur par le terrorisme avec un mode opératoire cette fois différente. Les attaques qui sont survenues le vendredi soir sous formes de fusillades simultanées ont produit un "véritable massacre". Réparties géographiquement dans les 10e et 11e arrondissement de la capitale française, les assaillants au nombre de 8 mais dont l'identité n'a pas été révélée ont actionné au stade de France Saint-Denis, à la salle de spectacle de Bataclan, la rue Charonne, boulevard Voltaire et la rue Bichat des fusillades en tirant sur la foule et en prenant des otages. Du jamais vu dans Paris qui reste sur le choc avec un nombre élevé de morts (82 selon un bilan établi par les forces sécuritaires) alors que 99 personnes sont des blessés graves. Les 3 terroristes n'ont pas hésité à se faire exploser alors qu'un autre a été abattu par les forces de l'ordre alors que les autres terroristes ont été neutralisés. La France qui ne redoutait pas la survenue d'actes terroristes, devient un terrain propice pour un terrorisme dont la filière "djihadiste" est la plus plausible comme source de ces attentats. Dans le contexte ce ces opérations meurtrières, les terroristes ont visé des endroits à grande fréquentation comme le stade de France qui voyait un match se déroulait entre la France et l'Allemagne. Au cri "d'Allah ou Akbar", les terroristes ont fait souffler par des explosions l'enceinte sportive ainsi que celle du Bataclan. Le Président français a été évacué de justesse du stade. Et dés lors, les "scènes de guerre" ont mis Paris sur le pied d'un affrontement sans pareil entre force de sécurité et le groupe terroriste. La piste "Daech" et les réactions internationales Hier, les réactions des chefs d'Etat européens et du monde ne se sont pas faites attendre. Le Premier ministre britannique, la chancelière allemande, le président américain et celui de l'Italie ont tous condamnés unanimement "ces actes barbares". Barack Obama a promis de son côté dans un discours à la Maison-Blanche que les Etats-Unis allaient aider la France à "traduire les terroristes en justice". Moscou a dénoncé des attaques "inhumaines", alors que la chancelière allemande Angela Merkel s'est dite "choquée". Le président iranien Hassan Rohani, qui a reporté le voyage en Italie et en France qu'il devait effectuer à partir de samedi, a dénoncé des "crimes contre l'humanité". Et le ministre des AE turc, Ahmet Davutoglu, a envoyé un message où il déclarait que ces attentats sont "des crimes inhumains". De même que certains pays arabes comme la Palestine et la Syrie ont présenté leurs condoléances. Avec ces attaques cordonnés et intervenant dans un timing précis, le bloc européen et américain ne s'attendait pas à cette force de frappe par des groupes terroristes déterminés. Hier encore, le groupe terroriste Daech avait signé un communiqué où il revendiquait les attentats en considérant que « la France doit payer pour ces crimes contre les musulmans ». Experts et politiciens ont tous mis en exergue l'implication de l'EI dans ces attaques qui interviennent après ceux du 7 janvier 2015 qui avait visé l'hebdomadaire Charlie Hebdo faisant 12 morts. Selon une source policière, les premiers éléments qui corroborent la piste djiahadiste, sont le fait d'une découverte d'un passeport syrien chez l'un des terroristes mais aussi les enquêtes de la police scientifique continuent pour mieux saisir le « scénario du crime terroriste ». Le Président François Hollande avait déclaré hier matin lors du conseil de défense que "toutes les mesures seront prises pour sécuriser le territoire. Les forces de sécurité à qui je rends hommage ont pu neutraliser les terroristes. Les militaires patrouilleront dans Paris dans les jours qui suivent, l'armée est mobilisée au plus haut niveau". Dans son allocution pathétique, le Président français assure que "la France sera impitoyable envers les barbares de Daech et elle agira avec tous les moyens à l'intérieur et extérieur en concertation aces nos alliés qui sont menacés par le terrorisme". Et d'ajouter que "la France est blessée et rien ne pourra l'atteindre mais reste active et solide et triomphera de la barbarie". La France est dans l'embarras La France reste le pays le plus exposé au terrorisme. Les raisons font que le groupe Daech s'en prenne à ce pays réside dans le fait que ce dernier s'est engagé dans la guerre syrienne qui fait rage depuis 5 ans. Le bombardement des camps d'entraînement du Daech est l'argument claironné par les médias en quête de scoop. Mais cet argument reste pour le moins insuffisant du moment que les experts s'interrogent si déjà 8 personnes arrivent à déclencher cette puissante vague terroriste sans qu'il y ait d'autres complices aussi bien à l'extérieur. D'autres soutiennent que le communiqué de Daech n'est que l'arbre qui cache la forêt. Le président syrien Bachar El Assad n'a pas hésité dans la foulée de ces déclarations à rendre responsable le France. "La politique française au Moyen-Orient a contribué à l'expansion du terrorisme" comme pour dénoncer avec les Américains la politique de deux poids deux mesures qui d'un côté tente de combattre le groupe Daech mais de l'autre traîne le pas face à la détermination russe à "nettoyer les groupes criminels" dans cette partie du monde. Mais en attendant ce que vont révéler d'autres analyses, il reste crucial pour le monde européen et américain de faire changer leur vision autour du terrorisme en écoutant l'expérience des pays qui ont été les plus endeuillés comme l'Algérie. Décidément la France est visée en plein coeur par le terrorisme avec un mode opératoire cette fois différente. Les attaques qui sont survenues le vendredi soir sous formes de fusillades simultanées ont produit un "véritable massacre". Réparties géographiquement dans les 10e et 11e arrondissement de la capitale française, les assaillants au nombre de 8 mais dont l'identité n'a pas été révélée ont actionné au stade de France Saint-Denis, à la salle de spectacle de Bataclan, la rue Charonne, boulevard Voltaire et la rue Bichat des fusillades en tirant sur la foule et en prenant des otages. Du jamais vu dans Paris qui reste sur le choc avec un nombre élevé de morts (82 selon un bilan établi par les forces sécuritaires) alors que 99 personnes sont des blessés graves. Les 3 terroristes n'ont pas hésité à se faire exploser alors qu'un autre a été abattu par les forces de l'ordre alors que les autres terroristes ont été neutralisés. La France qui ne redoutait pas la survenue d'actes terroristes, devient un terrain propice pour un terrorisme dont la filière "djihadiste" est la plus plausible comme source de ces attentats. Dans le contexte ce ces opérations meurtrières, les terroristes ont visé des endroits à grande fréquentation comme le stade de France qui voyait un match se déroulait entre la France et l'Allemagne. Au cri "d'Allah ou Akbar", les terroristes ont fait souffler par des explosions l'enceinte sportive ainsi que celle du Bataclan. Le Président français a été évacué de justesse du stade. Et dés lors, les "scènes de guerre" ont mis Paris sur le pied d'un affrontement sans pareil entre force de sécurité et le groupe terroriste. La piste "Daech" et les réactions internationales Hier, les réactions des chefs d'Etat européens et du monde ne se sont pas faites attendre. Le Premier ministre britannique, la chancelière allemande, le président américain et celui de l'Italie ont tous condamnés unanimement "ces actes barbares". Barack Obama a promis de son côté dans un discours à la Maison-Blanche que les Etats-Unis allaient aider la France à "traduire les terroristes en justice". Moscou a dénoncé des attaques "inhumaines", alors que la chancelière allemande Angela Merkel s'est dite "choquée". Le président iranien Hassan Rohani, qui a reporté le voyage en Italie et en France qu'il devait effectuer à partir de samedi, a dénoncé des "crimes contre l'humanité". Et le ministre des AE turc, Ahmet Davutoglu, a envoyé un message où il déclarait que ces attentats sont "des crimes inhumains". De même que certains pays arabes comme la Palestine et la Syrie ont présenté leurs condoléances. Avec ces attaques cordonnés et intervenant dans un timing précis, le bloc européen et américain ne s'attendait pas à cette force de frappe par des groupes terroristes déterminés. Hier encore, le groupe terroriste Daech avait signé un communiqué où il revendiquait les attentats en considérant que « la France doit payer pour ces crimes contre les musulmans ». Experts et politiciens ont tous mis en exergue l'implication de l'EI dans ces attaques qui interviennent après ceux du 7 janvier 2015 qui avait visé l'hebdomadaire Charlie Hebdo faisant 12 morts. Selon une source policière, les premiers éléments qui corroborent la piste djiahadiste, sont le fait d'une découverte d'un passeport syrien chez l'un des terroristes mais aussi les enquêtes de la police scientifique continuent pour mieux saisir le « scénario du crime terroriste ». Le Président François Hollande avait déclaré hier matin lors du conseil de défense que "toutes les mesures seront prises pour sécuriser le territoire. Les forces de sécurité à qui je rends hommage ont pu neutraliser les terroristes. Les militaires patrouilleront dans Paris dans les jours qui suivent, l'armée est mobilisée au plus haut niveau". Dans son allocution pathétique, le Président français assure que "la France sera impitoyable envers les barbares de Daech et elle agira avec tous les moyens à l'intérieur et extérieur en concertation aces nos alliés qui sont menacés par le terrorisme". Et d'ajouter que "la France est blessée et rien ne pourra l'atteindre mais reste active et solide et triomphera de la barbarie". La France est dans l'embarras La France reste le pays le plus exposé au terrorisme. Les raisons font que le groupe Daech s'en prenne à ce pays réside dans le fait que ce dernier s'est engagé dans la guerre syrienne qui fait rage depuis 5 ans. Le bombardement des camps d'entraînement du Daech est l'argument claironné par les médias en quête de scoop. Mais cet argument reste pour le moins insuffisant du moment que les experts s'interrogent si déjà 8 personnes arrivent à déclencher cette puissante vague terroriste sans qu'il y ait d'autres complices aussi bien à l'extérieur. D'autres soutiennent que le communiqué de Daech n'est que l'arbre qui cache la forêt. Le président syrien Bachar El Assad n'a pas hésité dans la foulée de ces déclarations à rendre responsable le France. "La politique française au Moyen-Orient a contribué à l'expansion du terrorisme" comme pour dénoncer avec les Américains la politique de deux poids deux mesures qui d'un côté tente de combattre le groupe Daech mais de l'autre traîne le pas face à la détermination russe à "nettoyer les groupes criminels" dans cette partie du monde. Mais en attendant ce que vont révéler d'autres analyses, il reste crucial pour le monde européen et américain de faire changer leur vision autour du terrorisme en écoutant l'expérience des pays qui ont été les plus endeuillés comme l'Algérie.