La production des traitements contre le diabète a été lancée avant-hier à l'usine de Merck en Algérie. L'unité produira 500 millions de comprimés antidiabète dans ses différents dosages. Une meilleure disponibilité et un meilleur accès au traitement du diabète pour les patients algériens sera désormais assuré. La production des traitements contre le diabète a été lancée avant-hier à l'usine de Merck en Algérie. L'unité produira 500 millions de comprimés antidiabète dans ses différents dosages. Une meilleure disponibilité et un meilleur accès au traitement du diabète pour les patients algériens sera désormais assuré. Le laboratoire Merck, entreprise pharmaceutique de pointe spécialisée dans les sciences et les technologies, installée à Bou Ismaïl, à l'ouest d'Alger, a annoncé lors d'un point de presse l'entrée en activité de son unité de production de médicaments destinés au traitement du diabète dans un premier temps et de l'hypertension artérielle dans un deuxième temps. Après la concrétisation d'un projet de joint-venture entre la compagnie et son partenaire, le laboratoire algérien Novapharm. Grâce à une capacité annuelle de production de 500 millions de comprimés destinés au marché algérien afin de contribuer à augmenter les capacités de production nationale. La valeur de l'investissement s'élève à 5 millions d'euros et va permettre à l'Algérie de réduire la facture d'importation de médicaments. "Notre partenariat avec Novapharm optimisera nos services pour les patients algériens. Il mettra en place un meilleur accès aux médicaments de qualité", a déclaré Bernd Reckmann, membre du conseil d'administration et président du directoire de Life Science et Performance Materials chez Merck. "A travers le partage des bonnes pratiques de fabrication, de transfert de technologie et de savoir-faire, cette alliance entre Merck et Novapharm aura un impact positif sur les capacités de production et l'avenir de l'industrie pharmaceutique en Algérie. Nous sommes fiers qu'aujourd'hui, nos médicaments soient produits par des Algériens pour des Algériens, avec un procédé de fabrication et de contrôle identique à celui utilisé par nos sites en Europe" a déclaré Moncef Meklati, directeur général de Merck en Algérie. Ce partenariat envisage d'améliorer la prise en charge des patients à travers une meilleure disponibilité des médicaments sur le marché local. Il permettra également à terme de créer 200 postes de travail. Pour sa part, Yassine Benamara, directeur général de Novapharm Production, rappelle que ce partenariat s'est traduit par un transfert de technologie et de savoir-faire au profit de l'Algérie. "Cette joint-venture répond aux orientations du gouvernement qui compte satisfaire les besoins nationaux à hauteur de 70 % grâce à la production locale pharmaceutique en 2016." Le laboratoire Merck, entreprise pharmaceutique de pointe spécialisée dans les sciences et les technologies, installée à Bou Ismaïl, à l'ouest d'Alger, a annoncé lors d'un point de presse l'entrée en activité de son unité de production de médicaments destinés au traitement du diabète dans un premier temps et de l'hypertension artérielle dans un deuxième temps. Après la concrétisation d'un projet de joint-venture entre la compagnie et son partenaire, le laboratoire algérien Novapharm. Grâce à une capacité annuelle de production de 500 millions de comprimés destinés au marché algérien afin de contribuer à augmenter les capacités de production nationale. La valeur de l'investissement s'élève à 5 millions d'euros et va permettre à l'Algérie de réduire la facture d'importation de médicaments. "Notre partenariat avec Novapharm optimisera nos services pour les patients algériens. Il mettra en place un meilleur accès aux médicaments de qualité", a déclaré Bernd Reckmann, membre du conseil d'administration et président du directoire de Life Science et Performance Materials chez Merck. "A travers le partage des bonnes pratiques de fabrication, de transfert de technologie et de savoir-faire, cette alliance entre Merck et Novapharm aura un impact positif sur les capacités de production et l'avenir de l'industrie pharmaceutique en Algérie. Nous sommes fiers qu'aujourd'hui, nos médicaments soient produits par des Algériens pour des Algériens, avec un procédé de fabrication et de contrôle identique à celui utilisé par nos sites en Europe" a déclaré Moncef Meklati, directeur général de Merck en Algérie. Ce partenariat envisage d'améliorer la prise en charge des patients à travers une meilleure disponibilité des médicaments sur le marché local. Il permettra également à terme de créer 200 postes de travail. Pour sa part, Yassine Benamara, directeur général de Novapharm Production, rappelle que ce partenariat s'est traduit par un transfert de technologie et de savoir-faire au profit de l'Algérie. "Cette joint-venture répond aux orientations du gouvernement qui compte satisfaire les besoins nationaux à hauteur de 70 % grâce à la production locale pharmaceutique en 2016."