Le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, ambitionne apparemment de donner une nouvelle impulsion à son initiative politique visant à créer un large front de soutien au programme du président de la République en vue d'asseoir la stabilité du pays. Le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, ambitionne apparemment de donner une nouvelle impulsion à son initiative politique visant à créer un large front de soutien au programme du président de la République en vue d'asseoir la stabilité du pays. C'est dans cette optique qu'il faut comprendre l'inauguration, hier en début d'après midi, du siège de cette initiative politique. Une initiative qui a, depuis son lancement, fait couler beaucoup d'encre et que d'aucuns ont d'ailleurs voués à l'échec. C'est donc dans cet esprit, celui de vouloir redynamiser cette initiative que le chef de file du FLN, Amar Saâdani, a organisé la cérémonie d'hier en présence de nombreux partis politiques, d'organisations et d'associations, de la société civile ainsi que de quelques personnalités ayant annoncé leur adhésion à cette démarche politique. Amar Saâdani voulait prouver à ses détracteurs que leurs réticences critiques ou opposition son initiative politique ne vont pas altérer sa détermination à aller de l'avant. D'ailleurs il arborait hier un large sourire qui en disait long sur sa satisfaction. Dans une brève allocution il a annoncé l'installation officielle d'une commission technique d'où seront issues quatre sous commissions chargées des affaires économiques, politiques, sociales et sécuritaires. Il dira en outre que son parti, le FLN en l'occurrence, aura juste une voix comme chaque membre adhérent à cette initiative. Comme quoi le FLN n'ambitionne pas d'être hégémonique puisque les autres membres seront sur le même pied d'égalité que lui. De nombreux petits partis politiques étaient représentés à la cérémonie d'hier et leurs interventions étaient davantage axées sur la nécessité de préserver la stabilité du pays. Ils n'ont pas aussi manqué d'apporter leur soutien au programme au président de a république, Abdelaziz Bouteflika. Cela dit il a été remarqué l'absence de poids lourds de la scène politique nationale. En effet à l'exception du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, et du président du parti TAJ, Amar Ghoul, toutes les autres figures de proue du camp des alliés du chef de l'Etat ont en effet brillé par leur absence. Il n' y avait en effet ni Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du RND, ni Amara Benyounès, le secrétaire général du MPA. Il faut dire que ces deux derniers partis politiques ont d'emblée affiché leur scepticisme, voire même leur opposition à l'initiative de Amar Saâdani. "Le FLN est un allié stratégique dans le soutien au président et dans la défense des intérêts du courant nationaliste. Mais, le mode proposé par le parti ne nous convient pas" a en effet déclaré il y a quelques semaines le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, signifiant par là une fin de non recevoir de la proposition de Saâdani. Amara Benyounès du MPAest resté certes quelque peu en retrait, mais il n'en a pas moins laissé entrevoir son opposition. D'ailleurs pas plus tard qu'hier il a égratigné le FLN. "Je suis l'un des premiers à défendre la stabilité du pays, mais la stabilité ne veut pas dire le retour au parti unique" a déclaré hier Amara Benyounès à partir d'Aïn El- Hammam dans la wilaya de Tizi-Ouzou où il a animé un meeting. Autant dire qu'il s'agit bel et bien d'un non catégorique. Inutile de dire aussi que tous les partis de l'opposition ont rejeté l'initiative de Saâdani. Mais malgré cela ce dernier est passé hier à l'offensive. C'est dans cette optique qu'il faut comprendre l'inauguration, hier en début d'après midi, du siège de cette initiative politique. Une initiative qui a, depuis son lancement, fait couler beaucoup d'encre et que d'aucuns ont d'ailleurs voués à l'échec. C'est donc dans cet esprit, celui de vouloir redynamiser cette initiative que le chef de file du FLN, Amar Saâdani, a organisé la cérémonie d'hier en présence de nombreux partis politiques, d'organisations et d'associations, de la société civile ainsi que de quelques personnalités ayant annoncé leur adhésion à cette démarche politique. Amar Saâdani voulait prouver à ses détracteurs que leurs réticences critiques ou opposition son initiative politique ne vont pas altérer sa détermination à aller de l'avant. D'ailleurs il arborait hier un large sourire qui en disait long sur sa satisfaction. Dans une brève allocution il a annoncé l'installation officielle d'une commission technique d'où seront issues quatre sous commissions chargées des affaires économiques, politiques, sociales et sécuritaires. Il dira en outre que son parti, le FLN en l'occurrence, aura juste une voix comme chaque membre adhérent à cette initiative. Comme quoi le FLN n'ambitionne pas d'être hégémonique puisque les autres membres seront sur le même pied d'égalité que lui. De nombreux petits partis politiques étaient représentés à la cérémonie d'hier et leurs interventions étaient davantage axées sur la nécessité de préserver la stabilité du pays. Ils n'ont pas aussi manqué d'apporter leur soutien au programme au président de a république, Abdelaziz Bouteflika. Cela dit il a été remarqué l'absence de poids lourds de la scène politique nationale. En effet à l'exception du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Said, et du président du parti TAJ, Amar Ghoul, toutes les autres figures de proue du camp des alliés du chef de l'Etat ont en effet brillé par leur absence. Il n' y avait en effet ni Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du RND, ni Amara Benyounès, le secrétaire général du MPA. Il faut dire que ces deux derniers partis politiques ont d'emblée affiché leur scepticisme, voire même leur opposition à l'initiative de Amar Saâdani. "Le FLN est un allié stratégique dans le soutien au président et dans la défense des intérêts du courant nationaliste. Mais, le mode proposé par le parti ne nous convient pas" a en effet déclaré il y a quelques semaines le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, signifiant par là une fin de non recevoir de la proposition de Saâdani. Amara Benyounès du MPAest resté certes quelque peu en retrait, mais il n'en a pas moins laissé entrevoir son opposition. D'ailleurs pas plus tard qu'hier il a égratigné le FLN. "Je suis l'un des premiers à défendre la stabilité du pays, mais la stabilité ne veut pas dire le retour au parti unique" a déclaré hier Amara Benyounès à partir d'Aïn El- Hammam dans la wilaya de Tizi-Ouzou où il a animé un meeting. Autant dire qu'il s'agit bel et bien d'un non catégorique. Inutile de dire aussi que tous les partis de l'opposition ont rejeté l'initiative de Saâdani. Mais malgré cela ce dernier est passé hier à l'offensive.