Il y a de plus en plus d'infections au VIH en Algérie. Selon les chiffres officiels, 8.930 personnes seraient atteintes de sida en Algérie, selon les chiffres avancés par l'association Aids Algérie. Il y a de plus en plus d'infections au VIH en Algérie. Selon les chiffres officiels, 8.930 personnes seraient atteintes de sida en Algérie, selon les chiffres avancés par l'association Aids Algérie. Chaque année, "700 nouvelles contaminations sont enregistrées en Algérie et entre 15.000 et 24.000 personnes vivent avec le VIH et le transmettent sans le savoir", estime l'Onusida. Face à ces chiffres inquiétants et qui, selon plusieurs experts, sont loin de représenter la réalité, les associations algériennes de lutte contre cette maladie se sont associées, dans le cadre d'une démarche de sensibilisation massive, afin de pallier le manque d'accès à l'information, les contraintes liées au dépistage et les tabous qui empêchent de freiner cette MST. Le programme commun des Nations unies sur le sida (Onusida) a salué les efforts de l'Algérie en matière de lutte contre le sida afin d'atteindre l'objectif tracé par ce programme de l'Onu en matière de lutte contre la pandémie du VIH/SIDA. Dans un communiqué, rendu public lundi à la veille de la célébration officielle de la Journée mondiale de lutte contre le sida coïncidant avec la date du 1er décembre de chaque année, l'Onusida-Algérie a salué l'engagement de l'Algérie, à travers le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, à atteindre l'objectif de mettre fin à l'épidémie du sida d'ici à 2030. Placée sous le slogan "Pour une génération sans sida", la célébration de cette année aura lieu aujourd'hui à l'Institut Pasteur d'Algérie avec l'appui de l'Onusida, l'OMS, l'Unicef et l'UNFPA. Relevant que les avancées de la riposte au sida, au cours des 15 dernières années, "ont été extraordinaires", l'Onusida a estimé, en juin 2015, que "15,8 millions de personnes dans le monde ont accès à la thérapie antirétrovirale, contre 7,5 millions de personnes en 2010 et 2,2 millions de personnes en 2005". A la fin de 2014, l'Onusida a estimé que les nouvelles infections au VIH ont chuté de 35 % depuis le pic de 2000 et que les décès liés au sida ont diminué de 42 % depuis le pic de 2004. L'Onusida souligne, à l'occasion de la présente célébration, que "dans le cadre des objectifs de développement durable, la communauté mondiale s'est engagée à mettre fin à l'épidémie de sida à l'horizon 2030". La même source ajoute que "cet objectif - ambitieux mais tout à fait réalisable - offre une opportunité inégalée pour changer à jamais le cours de l'histoire, ce que notre génération doit faire pour les générations à venir". Pour l'Onusida, le nouvel ensemble de cibles qu'il faudrait atteindre d'ici à 2020 pour accélérer la riposte "comprend la réalisation de l'objectif 90-90-90 : 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur séropositivité, 90 % des personnes conscientes de leur séropositivité ont accès au traitement, et 90 % des personnes sous traitement atteignent des niveaux de VIH indétectables dans leur organisme". Indiquant que la communauté mondiale "dispose d'une courte fenêtre d'opportunité de cinq ans pour atteindre ceux qui restent laissés pour compte", l'Onusida plaide pour que "les systèmes de santé soient renforcés afin qu'ils puissent fournir les services essentiels nécessaires et que la société civile soit soutenue pour pouvoir continuer de jouer son rôle vital". Chaque année, "700 nouvelles contaminations sont enregistrées en Algérie et entre 15.000 et 24.000 personnes vivent avec le VIH et le transmettent sans le savoir", estime l'Onusida. Face à ces chiffres inquiétants et qui, selon plusieurs experts, sont loin de représenter la réalité, les associations algériennes de lutte contre cette maladie se sont associées, dans le cadre d'une démarche de sensibilisation massive, afin de pallier le manque d'accès à l'information, les contraintes liées au dépistage et les tabous qui empêchent de freiner cette MST. Le programme commun des Nations unies sur le sida (Onusida) a salué les efforts de l'Algérie en matière de lutte contre le sida afin d'atteindre l'objectif tracé par ce programme de l'Onu en matière de lutte contre la pandémie du VIH/SIDA. Dans un communiqué, rendu public lundi à la veille de la célébration officielle de la Journée mondiale de lutte contre le sida coïncidant avec la date du 1er décembre de chaque année, l'Onusida-Algérie a salué l'engagement de l'Algérie, à travers le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, à atteindre l'objectif de mettre fin à l'épidémie du sida d'ici à 2030. Placée sous le slogan "Pour une génération sans sida", la célébration de cette année aura lieu aujourd'hui à l'Institut Pasteur d'Algérie avec l'appui de l'Onusida, l'OMS, l'Unicef et l'UNFPA. Relevant que les avancées de la riposte au sida, au cours des 15 dernières années, "ont été extraordinaires", l'Onusida a estimé, en juin 2015, que "15,8 millions de personnes dans le monde ont accès à la thérapie antirétrovirale, contre 7,5 millions de personnes en 2010 et 2,2 millions de personnes en 2005". A la fin de 2014, l'Onusida a estimé que les nouvelles infections au VIH ont chuté de 35 % depuis le pic de 2000 et que les décès liés au sida ont diminué de 42 % depuis le pic de 2004. L'Onusida souligne, à l'occasion de la présente célébration, que "dans le cadre des objectifs de développement durable, la communauté mondiale s'est engagée à mettre fin à l'épidémie de sida à l'horizon 2030". La même source ajoute que "cet objectif - ambitieux mais tout à fait réalisable - offre une opportunité inégalée pour changer à jamais le cours de l'histoire, ce que notre génération doit faire pour les générations à venir". Pour l'Onusida, le nouvel ensemble de cibles qu'il faudrait atteindre d'ici à 2020 pour accélérer la riposte "comprend la réalisation de l'objectif 90-90-90 : 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur séropositivité, 90 % des personnes conscientes de leur séropositivité ont accès au traitement, et 90 % des personnes sous traitement atteignent des niveaux de VIH indétectables dans leur organisme". Indiquant que la communauté mondiale "dispose d'une courte fenêtre d'opportunité de cinq ans pour atteindre ceux qui restent laissés pour compte", l'Onusida plaide pour que "les systèmes de santé soient renforcés afin qu'ils puissent fournir les services essentiels nécessaires et que la société civile soit soutenue pour pouvoir continuer de jouer son rôle vital".