Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a indiqué dimanche, à Paris que l'Algérie apportera toute sa contribution pour le succès de la conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21). Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a indiqué dimanche, à Paris que l'Algérie apportera toute sa contribution pour le succès de la conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21). Dans une déclaration à la presse à son arrivée à Paris où il doit participer aux travaux de la COP21, Lamamra a souligné que "l'Algérie apportera toute sa contribution pour assurer le succès de cette conférence et parvenir à un accord équitable entre les engagements des pays à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les besoins dictés par leurs objectifs de développement". Il a estimé que la forte présence des chefs d'Etat et de gouvernement à l'ouverture du sommet donnera "une dynamique importante" aux négociations. Lamamra a, par ailleurs, indiqué que le Premier ministre Abdelmalek Sellal exposera les idées "innovantes" de la position de l'Algérie, lors de ce sommet qui reste, selon lui, "le plus important de l'histoire de l'humanité" en matière de lutte contre les changements climatiques. L'Algérie, a-t-il ajouté, joue un rôle "efficace" dans les différentes actions de lutte contre le réchauffement climatique depuis le sommet de Rio de Janeiro (Brésil) en 1992, rappelant sa participation "active" aux réunions préparatoires du sommet de Paris (Pré-COP) ou elle a co-présidé avec les Etats-Unis, les négociations qui seront sanctionnées par un accord mondial qui sera soumis au vote à la fin du sommet de la COP21. Le ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelouahab Nouri, a affirmé de son côté que "l'Algérie connue pour sa crédibilité et sa diplomatie active oeuvrera au rapprochement des vues et des positions pour sortir avec des résolutions qui seront bénéfiques à l'humanité tout entière et permettront la sauvegarde de la planète". Il est "très difficile d'aboutir à un accord mondial pour la réduction des effets du réchauffement climatique", selon Nouri qui appelle "les Etats à agir en urgence pour sauver ce qui peut être sauvé". Il a rappelé que, lors de ce sommet, l'Algérie "réaffirmera sa volonté de poursuivre les efforts de lutte contre le réchauffement climatique, dans lesquels elle s'est engagée depuis des décennies mais elle aura besoin, a-t-il ajouté, d'un appui international en matière de financement, de la formation et du transfert des technologies". Dans une déclaration à la presse à son arrivée à Paris où il doit participer aux travaux de la COP21, Lamamra a souligné que "l'Algérie apportera toute sa contribution pour assurer le succès de cette conférence et parvenir à un accord équitable entre les engagements des pays à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les besoins dictés par leurs objectifs de développement". Il a estimé que la forte présence des chefs d'Etat et de gouvernement à l'ouverture du sommet donnera "une dynamique importante" aux négociations. Lamamra a, par ailleurs, indiqué que le Premier ministre Abdelmalek Sellal exposera les idées "innovantes" de la position de l'Algérie, lors de ce sommet qui reste, selon lui, "le plus important de l'histoire de l'humanité" en matière de lutte contre les changements climatiques. L'Algérie, a-t-il ajouté, joue un rôle "efficace" dans les différentes actions de lutte contre le réchauffement climatique depuis le sommet de Rio de Janeiro (Brésil) en 1992, rappelant sa participation "active" aux réunions préparatoires du sommet de Paris (Pré-COP) ou elle a co-présidé avec les Etats-Unis, les négociations qui seront sanctionnées par un accord mondial qui sera soumis au vote à la fin du sommet de la COP21. Le ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelouahab Nouri, a affirmé de son côté que "l'Algérie connue pour sa crédibilité et sa diplomatie active oeuvrera au rapprochement des vues et des positions pour sortir avec des résolutions qui seront bénéfiques à l'humanité tout entière et permettront la sauvegarde de la planète". Il est "très difficile d'aboutir à un accord mondial pour la réduction des effets du réchauffement climatique", selon Nouri qui appelle "les Etats à agir en urgence pour sauver ce qui peut être sauvé". Il a rappelé que, lors de ce sommet, l'Algérie "réaffirmera sa volonté de poursuivre les efforts de lutte contre le réchauffement climatique, dans lesquels elle s'est engagée depuis des décennies mais elle aura besoin, a-t-il ajouté, d'un appui international en matière de financement, de la formation et du transfert des technologies".