Le Conseil d'affaires algéro-britannique (ABBC), à la Chambre des lords (Londres), a fêté le 10e anniversaire de sa création, lors d'une cérémonie organisée par la présidente de l'ABBC, Lady Olga Maitland. Le Conseil d'affaires algéro-britannique (ABBC), à la Chambre des lords (Londres), a fêté le 10e anniversaire de sa création, lors d'une cérémonie organisée par la présidente de l'ABBC, Lady Olga Maitland. Le ministre délégué britannique chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Tobias Ellwood, le représentant personnel du Premier ministre, David Cameron, pour le partenariat avec l'Algérie, Lord Risby, l'ambassadeur d'Algérie à Londres, Amar Abba, ainsi que de nombreux chefs d'entreprise travaillant avec l'Algérie, ont pris part à cette cérémonie. Les deux représentants du gouvernement britannique et M. Abba ont, tous, souligné la qualité des relations entre le Royaume-Uni et l'Algérie et le saut qualitatif qu'elles ont enregistré durant cette décennie. Abordant la situation économique de l'Algérie, née de la chute des prix des hydrocarbures, l'ambassadeur d'Algérie a souligné "la détermination du gouvernement à appréhender cette nouvelle situation, autant comme un défi que comme une opportunité". Il a, à cette occasion, lancé un message aux entreprises britanniques pour qu'elles "privilégient l'investissement au commerce" et qu'elles "ciblent les secteurs contribuant à la diversification de notre économie et à la substitution à l'importation". Pour rappel, de nombreuses entreprises britanniques n'ont pas attendu la chute des cours du pétrole pour investir en Algérie dans ces secteurs, telles "HSBC" dans la finance, "GSK" et "Astrazeneca" dans l'industrie pharmaceutique, "Unilever" dans la production des détergents et "Eire Mazraa" dans l'élevage pour la production de lait. Depuis sa création en 2005, le Conseil d'Affaires algéro-britannique a encadré de nombreuses missions économiques en Algérie et effectué un travail très appréciable qui a permis d'apporter une meilleure visibilité du marché algérien au Royaume-Uni. Le ministre délégué britannique chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, Tobias Ellwood, le représentant personnel du Premier ministre, David Cameron, pour le partenariat avec l'Algérie, Lord Risby, l'ambassadeur d'Algérie à Londres, Amar Abba, ainsi que de nombreux chefs d'entreprise travaillant avec l'Algérie, ont pris part à cette cérémonie. Les deux représentants du gouvernement britannique et M. Abba ont, tous, souligné la qualité des relations entre le Royaume-Uni et l'Algérie et le saut qualitatif qu'elles ont enregistré durant cette décennie. Abordant la situation économique de l'Algérie, née de la chute des prix des hydrocarbures, l'ambassadeur d'Algérie a souligné "la détermination du gouvernement à appréhender cette nouvelle situation, autant comme un défi que comme une opportunité". Il a, à cette occasion, lancé un message aux entreprises britanniques pour qu'elles "privilégient l'investissement au commerce" et qu'elles "ciblent les secteurs contribuant à la diversification de notre économie et à la substitution à l'importation". Pour rappel, de nombreuses entreprises britanniques n'ont pas attendu la chute des cours du pétrole pour investir en Algérie dans ces secteurs, telles "HSBC" dans la finance, "GSK" et "Astrazeneca" dans l'industrie pharmaceutique, "Unilever" dans la production des détergents et "Eire Mazraa" dans l'élevage pour la production de lait. Depuis sa création en 2005, le Conseil d'Affaires algéro-britannique a encadré de nombreuses missions économiques en Algérie et effectué un travail très appréciable qui a permis d'apporter une meilleure visibilité du marché algérien au Royaume-Uni.