Mohamed Nebbou, premier secrétaire du Front des forces socialistes a soutenu que son parti a "sa stratégie" pour bloquer la loi de finances 2016, sans dévoiler le contenu de cette même stratégie. Mohamed Nebbou, premier secrétaire du Front des forces socialistes a soutenu que son parti a "sa stratégie" pour bloquer la loi de finances 2016, sans dévoiler le contenu de cette même stratégie. Pourquoi le projet de loi de finances 2016 concentre-t-il tant de critiques et de peurs au sein des partis d'opposition et aussi au sein de la population ? Pour ces derniers, ce qui a été décidé au niveau de l'APN, ne répond pas vraiment aux préoccupations des citoyens. Car, disent-ils, "ce texte peut générer des situations qui risquent de porter grandement préjudice à l'économie et à la paix sociale". Le FFS dit encore une fois non au projet de loi de finances 2016. S'exprimant en marge d'une cérémonie d'hommage aux anciens militants du parti de 1963, le responsable du FFS, Mohamed Nebbou, est revenu, en le dénonçant, sur le processus d'adoption de cette loi qu'il a qualifiée d'"antinationale, antisociale et anticonstitutionnelle"». Le premier secrétaire du FFS a relevé que la loi de finances a été adoptée avec "violence" en rappelant que certains articles de ladite loi notamment l'article 66 ont été réintroduits en plénière malgré leur abrogation au cours des travaux de la commission en usant de "méthodes dictatoriales" de la part des députés de la majorité parlementaire. Pour le plus vieux parti de l'opposition, la loi de finances 2016, consacre l'abandon du caractère social de l'Etat et ouvre la voie à la privatisation et à la cession des domaines de l'Etat et du peu qui reste du secteur public et de nos richesses au profit de l'oligarchie financière. "La loi de finances 2016 adoptée par la majorité parlementaire, que nous avons rejetée dans le fond et dans la forme, est antisociale et même anticonstitutionnelle", a-t-il articulé. Pour lui, certains articles tel que l'article 66 ont été abrogés lors du travail des commissions puis réintégré en plénière : "Ils ont usé de méthodes dictatoriales, eux qui disent détenir la majorité parlementaire", a-t-il expliqué tout en promettant que le FFS poursuivra son combat. Mohamed Nebbou, a soutenu que son parti a "sa stratégie" pour bloquer cette même loi sans dévoiler le contenu de cette même stratégie. Abordant la situation du pays, le responsable du FFS a indiqué que l'Algérie est confrontée aussi à une crise politique en plus de celles sociale et économique avant de prôner comme solution à une sortie de crise, le "consensus national". Dans le même sillage, le premier secrétaire du FFS a indiqué que la proposition du FLN portant sur la création d'un front national pour le soutien du président de la République est toujours à l'étude et la réponse sera connue dans les prochains jours. Dans le même contexte, nombreux sont les Algériens interrogés qui appellent unanimement le chef de l'Etat à leur rendre justice et à ne pas les sacrifier à la faveur de l'austérité. Ils ont lancé des appels au président Abdelaziz Bouteflika de ne pas apposer sa signature sur le texte portant loi de finances (LF-2016), adoptée officiellement par la Chambre basse du Parlement, laquelle pourrait d'après eux mener le pays à la dérive. Pourquoi le projet de loi de finances 2016 concentre-t-il tant de critiques et de peurs au sein des partis d'opposition et aussi au sein de la population ? Pour ces derniers, ce qui a été décidé au niveau de l'APN, ne répond pas vraiment aux préoccupations des citoyens. Car, disent-ils, "ce texte peut générer des situations qui risquent de porter grandement préjudice à l'économie et à la paix sociale". Le FFS dit encore une fois non au projet de loi de finances 2016. S'exprimant en marge d'une cérémonie d'hommage aux anciens militants du parti de 1963, le responsable du FFS, Mohamed Nebbou, est revenu, en le dénonçant, sur le processus d'adoption de cette loi qu'il a qualifiée d'"antinationale, antisociale et anticonstitutionnelle"». Le premier secrétaire du FFS a relevé que la loi de finances a été adoptée avec "violence" en rappelant que certains articles de ladite loi notamment l'article 66 ont été réintroduits en plénière malgré leur abrogation au cours des travaux de la commission en usant de "méthodes dictatoriales" de la part des députés de la majorité parlementaire. Pour le plus vieux parti de l'opposition, la loi de finances 2016, consacre l'abandon du caractère social de l'Etat et ouvre la voie à la privatisation et à la cession des domaines de l'Etat et du peu qui reste du secteur public et de nos richesses au profit de l'oligarchie financière. "La loi de finances 2016 adoptée par la majorité parlementaire, que nous avons rejetée dans le fond et dans la forme, est antisociale et même anticonstitutionnelle", a-t-il articulé. Pour lui, certains articles tel que l'article 66 ont été abrogés lors du travail des commissions puis réintégré en plénière : "Ils ont usé de méthodes dictatoriales, eux qui disent détenir la majorité parlementaire", a-t-il expliqué tout en promettant que le FFS poursuivra son combat. Mohamed Nebbou, a soutenu que son parti a "sa stratégie" pour bloquer cette même loi sans dévoiler le contenu de cette même stratégie. Abordant la situation du pays, le responsable du FFS a indiqué que l'Algérie est confrontée aussi à une crise politique en plus de celles sociale et économique avant de prôner comme solution à une sortie de crise, le "consensus national". Dans le même sillage, le premier secrétaire du FFS a indiqué que la proposition du FLN portant sur la création d'un front national pour le soutien du président de la République est toujours à l'étude et la réponse sera connue dans les prochains jours. Dans le même contexte, nombreux sont les Algériens interrogés qui appellent unanimement le chef de l'Etat à leur rendre justice et à ne pas les sacrifier à la faveur de l'austérité. Ils ont lancé des appels au président Abdelaziz Bouteflika de ne pas apposer sa signature sur le texte portant loi de finances (LF-2016), adoptée officiellement par la Chambre basse du Parlement, laquelle pourrait d'après eux mener le pays à la dérive.