Le bureau national de l'ADDH observe que « durant cette année diverses manifestations ont été interdites et plusieurs autres réprimées avec recours à l'emprisonnement parfois de manifestants », en citant à tire d'exemple que « des dizaines de jeunes rassemblés dimanche devant le Parlement à Alger pour dénoncer la précarité de leur emploi ont été matraqués par la police et sept d'entre eux ont été arrêtés, selon le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) Ahmed Betatache. qui affirme avoir subi le même sort). Le bureau national de l'ADDH observe que « durant cette année diverses manifestations ont été interdites et plusieurs autres réprimées avec recours à l'emprisonnement parfois de manifestants », en citant à tire d'exemple que « des dizaines de jeunes rassemblés dimanche devant le Parlement à Alger pour dénoncer la précarité de leur emploi ont été matraqués par la police et sept d'entre eux ont été arrêtés, selon le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) Ahmed Betatache. qui affirme avoir subi le même sort). Deux militants, Tedjani Ben Darech et Adel Ayach, n'ont plus été vus depuis dimanche 15 novembre 2015, après s'être présentés au Commissariat central d'Alger pour accompagner une camarade qui était convoquée. La veille de leur disparition, samedi 14 novembre, les deux militants avaient participé à un rassemblement pacifique devant la Maison de la presse en guise de soutien au journaliste Hassan Bourass, arbitrairement emprisonné depuis le 4 octobre 2015. Plusieurs dizaines de policiers des brigades anti-émeute sont intervenus en force le mardi le 24 février 2015 contre des dirigeants de l'opposition qui voulaient manifester à Alger contre l'exploitation du gaz de schiste, où les manifestations restent interdites ». Deux militants, Tedjani Ben Darech et Adel Ayach, n'ont plus été vus depuis dimanche 15 novembre 2015, après s'être présentés au Commissariat central d'Alger pour accompagner une camarade qui était convoquée. La veille de leur disparition, samedi 14 novembre, les deux militants avaient participé à un rassemblement pacifique devant la Maison de la presse en guise de soutien au journaliste Hassan Bourass, arbitrairement emprisonné depuis le 4 octobre 2015. Plusieurs dizaines de policiers des brigades anti-émeute sont intervenus en force le mardi le 24 février 2015 contre des dirigeants de l'opposition qui voulaient manifester à Alger contre l'exploitation du gaz de schiste, où les manifestations restent interdites ».