Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé avant-hier à Alger, un Conseil restreint consacré à l'examen de l'avant-projet de révision de la Constitution, marquant ainsi l'étape de sa finalisation. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a présidé avant-hier à Alger, un Conseil restreint consacré à l'examen de l'avant-projet de révision de la Constitution, marquant ainsi l'étape de sa finalisation. Le Conseil restreint a regroupé autour du président Bouteflika, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre d'Etat directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, le ministre d'Etat, conseiller spécial auprès du président de la République, Tayeb Belaïz, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, et Boualem Bessaïeh, conseiller auprès du président de la République. "D'autres rencontres seront consacrées à la finalisation de cet avant-projet sous la direction du chef de l'Etat", a indiqué la présidence de la République dans un communiqué. Cette réunion amorce l'étape de la finalisation du projet de la révision de la loi fondamentale du pays, pour laquelle des consultations ont été menées avec des acteurs politiques, associatifs et du monde universitaire. La révision "vise à garantir les libertés et instaurer une démocratie plus apaisée dans tous les domaines", avait affirmé le président Bouteflika, à la veille de la célébration du 61e anniversaire du déclenchement de la Révolution du premier novembre. Le chef de l'Etat avait indiqué que "des réalisations restent à consolider ou parachever, y compris dans les domaines politiques et de la gouvernance, et le projet de révision constitutionnelle qui sera bientôt rendu public, se projette dans cette direction". Pour le président Bouteflika, cette révision aspire à "consolider l'unité nationale autour de notre histoire, de notre identité et de nos valeurs spirituelles et civilisationnelles" et "promouvoir la place et le rôle de la jeunesse face aux défis du millénaire". Il avait souligné que la révision de la loi fondamentale ambitionne également, à travers "les garanties nouvelles" proposées de "conforter le respect des droits et libertés des citoyens ainsi que l'indépendance de la justice". Le président de la République avait relevé que la "même approche" guide aussi "l'approfondissement de la séparation et de la complémentarité des pouvoirs, en même temps que l'opposition parlementaires sera dotée des moyens d'assumer un rôle plus actif, y compris par la saisine du Conseil constitutionnel". Il avait relevé également que la dynamisation des institutions constitutionnelles de contrôle, tout comme la mise en place d'un mécanisme indépendant de surveillance des élections, "participent d'une même volonté d'affirmer et de garantir la transparence dans tout ce qui est relatif aux grands enjeux économiques, juridiques, et politiques dans la vie nationale. J'espère que cette révision constitutionnelle contribuera à l'affirmation d'une démocratie plus apaisée dans tous les domaines, ainsi qu'à davantage d'épanouissement des énergies des acteurs politiques, économiques et sociaux du pays, au service des intérêts de notre peuple, avait affirmé le chef de l'Etat. Chargé par le président de la République de mener les consultations autour de la révision consensuelle de la Constitution, Ouyahia, avait eu 114 rencontres entre juin et juillet 2014 avec des personnalités nationales, des partis politiques, des organisations et des universitaires. En plus de ces rencontres, une trentaine de contributions écrites ont été adressées dans le cadre de la révision constitutionnelle. Le 15 mai 2014, la présidence de la République avait adressé des invitations à 150 partenaires pour des consultations en vertu de la décision du président Bouteflika prise le 7 mai en Conseil des ministres. Selon la lettre adressée aux partenaires politiques et sociaux, cette action décidée par le chef de l'Etat, s'inscrit dans le cadre de "la poursuite du processus des réformes politiques". Elle vise, explique la même lettre, à "adapter la loi fondamentale aux exigences constitutionnelles suscitées par l'évolution rapide de notre société et les mutations profondes actuellement en cours à travers le monde". Le président de la République avait annoncé, début mai 2014 en Conseil des ministres, la décision portant entame des concertations avec les différentes formations politiques, personnalités nationales et associations sur la révision constitutionnelle.. Le Conseil restreint a regroupé autour du président Bouteflika, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le ministre d'Etat directeur de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, le ministre d'Etat, conseiller spécial auprès du président de la République, Tayeb Belaïz, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire, le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, et Boualem Bessaïeh, conseiller auprès du président de la République. "D'autres rencontres seront consacrées à la finalisation de cet avant-projet sous la direction du chef de l'Etat", a indiqué la présidence de la République dans un communiqué. Cette réunion amorce l'étape de la finalisation du projet de la révision de la loi fondamentale du pays, pour laquelle des consultations ont été menées avec des acteurs politiques, associatifs et du monde universitaire. La révision "vise à garantir les libertés et instaurer une démocratie plus apaisée dans tous les domaines", avait affirmé le président Bouteflika, à la veille de la célébration du 61e anniversaire du déclenchement de la Révolution du premier novembre. Le chef de l'Etat avait indiqué que "des réalisations restent à consolider ou parachever, y compris dans les domaines politiques et de la gouvernance, et le projet de révision constitutionnelle qui sera bientôt rendu public, se projette dans cette direction". Pour le président Bouteflika, cette révision aspire à "consolider l'unité nationale autour de notre histoire, de notre identité et de nos valeurs spirituelles et civilisationnelles" et "promouvoir la place et le rôle de la jeunesse face aux défis du millénaire". Il avait souligné que la révision de la loi fondamentale ambitionne également, à travers "les garanties nouvelles" proposées de "conforter le respect des droits et libertés des citoyens ainsi que l'indépendance de la justice". Le président de la République avait relevé que la "même approche" guide aussi "l'approfondissement de la séparation et de la complémentarité des pouvoirs, en même temps que l'opposition parlementaires sera dotée des moyens d'assumer un rôle plus actif, y compris par la saisine du Conseil constitutionnel". Il avait relevé également que la dynamisation des institutions constitutionnelles de contrôle, tout comme la mise en place d'un mécanisme indépendant de surveillance des élections, "participent d'une même volonté d'affirmer et de garantir la transparence dans tout ce qui est relatif aux grands enjeux économiques, juridiques, et politiques dans la vie nationale. J'espère que cette révision constitutionnelle contribuera à l'affirmation d'une démocratie plus apaisée dans tous les domaines, ainsi qu'à davantage d'épanouissement des énergies des acteurs politiques, économiques et sociaux du pays, au service des intérêts de notre peuple, avait affirmé le chef de l'Etat. Chargé par le président de la République de mener les consultations autour de la révision consensuelle de la Constitution, Ouyahia, avait eu 114 rencontres entre juin et juillet 2014 avec des personnalités nationales, des partis politiques, des organisations et des universitaires. En plus de ces rencontres, une trentaine de contributions écrites ont été adressées dans le cadre de la révision constitutionnelle. Le 15 mai 2014, la présidence de la République avait adressé des invitations à 150 partenaires pour des consultations en vertu de la décision du président Bouteflika prise le 7 mai en Conseil des ministres. Selon la lettre adressée aux partenaires politiques et sociaux, cette action décidée par le chef de l'Etat, s'inscrit dans le cadre de "la poursuite du processus des réformes politiques". Elle vise, explique la même lettre, à "adapter la loi fondamentale aux exigences constitutionnelles suscitées par l'évolution rapide de notre société et les mutations profondes actuellement en cours à travers le monde". Le président de la République avait annoncé, début mai 2014 en Conseil des ministres, la décision portant entame des concertations avec les différentes formations politiques, personnalités nationales et associations sur la révision constitutionnelle..