Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé, l'engagement de l'Etat à poursuivre son soutien à l'agriculture, rassurant que la conjoncture financière difficile que connait l'Algérie "n'entamera en rien la détermination de l'Etat à promouvoir ce secteur". Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé, l'engagement de l'Etat à poursuivre son soutien à l'agriculture, rassurant que la conjoncture financière difficile que connait l'Algérie "n'entamera en rien la détermination de l'Etat à promouvoir ce secteur". Dans un message adressé au secrétaire général de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), le président Bouteflika qui a été destinataire d'une motion de l'UNPA à l'occasion du 41e anniversaire de sa création, a souligné que cette motion "traduit l'engagement des agriculteurs algériens à contribuer au processus d'édification de l'Algérie et de préservation de ses richesses". Le président de la République a tenu à exprimer aux agriculteurs sa "haute considération pour leur dévouement et leur attachement aux nobles principes unificateurs ainsi qu'aux valeurs authentiques de notre peuple, mus par une forte volonté de promouvoir ce secteur vital pour permettre à notre pays de surmonter les épreuves, tout en préservant sa stabilité et la cohésion du front interne à l'ombre des crises économiques et soubresauts politiques qui secouent le monde". "Nous n'avons eu de cesse, depuis des années, de mettre en garde contre les soubresauts qui secouent d'autres secteurs exposés, de par leur vulnérabilité et pour de multiples raisons, aux bouleversements et aux fluctuations, particulièrement le marché des hydrocarbures sur lequel repose grandement l'économie nationale", a écrit le président Bouteflika. "L'Algérie a pu se prémunir contre les répercussions de la chute des cours du pétrole grâce à une politique judicieuse et par un paiement anticipé de la dette en sus de la réalisation de projets stratégiques -infrastructures de base en tête- et la préservation des réserves nationales, autant de mesures qui ont mis l'Algérie à l'abri d'une récession dévastatrice", a poursuivi le chef de l'Etat. "Il est plus judicieux aujourd'hui de s'orienter vers d'autres secteurs générateurs de richesses et d'emplois pour nos jeunes. L'agriculture qui permet d'atteindre l'autosuffisance, voire d'aller vers l'exportation permettra à notre pays de compter avec les recettes nationales, diversifier ses sources d'investissement et de préserver le pouvoir d'achat des citoyens", a-t-il affirmé. Le président Bouteflika a, dans ce contexte, vanté les mérites de la nation qui vit de ses propres ressources, tel que recommandé par le Prophète Mohamed (QSSSL). "Nous n'avons d'autre alternative, si nous voulons trouver un substitut économique à l'énergie tarissable, que de réhabiliter et restructurer ce secteur à travers une vision stratégique moderne qui repose sur la science et les technologies, la revalorisation des expériences, la mécanisation et une bonne gestion du processus de production, de distribution, de stockage et de commercialisation", poursuit le président de la République. " Il est important de mettre un terme à la dépendance à la production étrangère soumise aux règles d'un marché instable. C'est pourquoi nous nous devons de développer notre économie et de renforcer notre indépendance et notre souveraineté en matière de prise de décision politique", a indiqué Bouteflika ajoutant qu'"outre le secteur de l'agriculture, la terre recèle des énergies renouvelables susceptibles de couvrir nos besoins croissants en hydrocarbures", a encore écrit le chef de l'Etat. Le président de la République a ainsi appelé l'UNPA à l'occasion du 41e anniversaire de sa création célébré il y a quelques jours, "à tirer les enseignements des défis et enjeux que connaît le monde économique aujourd'hui afin d'y faire face avec plus de connaissances, de travail et de mobilisation de toutes les bonnes volontés du pays. Ceci permettra de se prémunir de tout ce qui pourrait constituer une menace à notre stabilité et union et un obstacle à nos projets de développement déjà réalisés ou en voie de réalisation". Rappelant que le secteur de l'agriculture avait "occupé une importante place dans le programme de développement à travers le soutien au secteur, une distribution équitable des terres, l'effacement de la dette des agriculteurs et l'injection de plus de 800 milliards DA pour le soutien à l'activité agricole", le président de la République a affirmé que l'"Etat demeure fidèle à son engagement dans l'accompagnement de nos agriculteurs en faveur de la cristallisation du projet de développement national global". Il a, dans ce cadre, réaffirmé l'engagement de l'Etat à continuer à soutenir l'agriculture en application des mesures qu'il a annoncées personnellement en février 2009 à Biskra. "Il est vrai que l'Algérie connaît une situation financière difficile mais sachez que cette conjoncture n'entamera en rien notre détermination, ni notre effort y compris financier, à promouvoir l'agriculture et son apport à l'indépendance économique nationale", a poursuivi le président de la République à l'adresse des agriculteurs. Il a rappelé que l'Algérie avait pris, à travers la loi de finances complémentaire, de nouvelles mesures à même d'assurer la protection sociale des agriculteurs souhaitant que ceux-ci puissent contribuer, aux côtés du Gouvernement, à la mise en oeuvre de ces mesures. Dans cette optique, le président Bouteflika a appelé l'UNPA à "mobiliser les représentants des agriculteurs pour vulgariser les procédures de mise en valeur des terres agricoles, et réunir les potentialités financières des exploitants locaux, en vue de promouvoir notre rendement agricole". Il a, d'autre part, formé le voeu de voir les représentants des agriculteurs mobilisés "pour insuffler une nouvelle dynamique à la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA)". S'adressant au secrétaire général de l'UNPA et aux responsables du secteur, le président Bouteflika s'est dit confiant que leur "dévouement au service du pays, leur expertise et expérience sur le terrain, ainsi que leur attachement à honorer leurs engagements et leur sérieux, sont autant d'atouts qui les qualifieront pour mener à bien la mission qui leur incombe, notamment en cette conjoncture difficile où le pays a plus que jamais besoin de ses vaillants enfants pour concourir à son progrès et sa prospérité", conclut le chef de l'Etat. Dans un message adressé au secrétaire général de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA), le président Bouteflika qui a été destinataire d'une motion de l'UNPA à l'occasion du 41e anniversaire de sa création, a souligné que cette motion "traduit l'engagement des agriculteurs algériens à contribuer au processus d'édification de l'Algérie et de préservation de ses richesses". Le président de la République a tenu à exprimer aux agriculteurs sa "haute considération pour leur dévouement et leur attachement aux nobles principes unificateurs ainsi qu'aux valeurs authentiques de notre peuple, mus par une forte volonté de promouvoir ce secteur vital pour permettre à notre pays de surmonter les épreuves, tout en préservant sa stabilité et la cohésion du front interne à l'ombre des crises économiques et soubresauts politiques qui secouent le monde". "Nous n'avons eu de cesse, depuis des années, de mettre en garde contre les soubresauts qui secouent d'autres secteurs exposés, de par leur vulnérabilité et pour de multiples raisons, aux bouleversements et aux fluctuations, particulièrement le marché des hydrocarbures sur lequel repose grandement l'économie nationale", a écrit le président Bouteflika. "L'Algérie a pu se prémunir contre les répercussions de la chute des cours du pétrole grâce à une politique judicieuse et par un paiement anticipé de la dette en sus de la réalisation de projets stratégiques -infrastructures de base en tête- et la préservation des réserves nationales, autant de mesures qui ont mis l'Algérie à l'abri d'une récession dévastatrice", a poursuivi le chef de l'Etat. "Il est plus judicieux aujourd'hui de s'orienter vers d'autres secteurs générateurs de richesses et d'emplois pour nos jeunes. L'agriculture qui permet d'atteindre l'autosuffisance, voire d'aller vers l'exportation permettra à notre pays de compter avec les recettes nationales, diversifier ses sources d'investissement et de préserver le pouvoir d'achat des citoyens", a-t-il affirmé. Le président Bouteflika a, dans ce contexte, vanté les mérites de la nation qui vit de ses propres ressources, tel que recommandé par le Prophète Mohamed (QSSSL). "Nous n'avons d'autre alternative, si nous voulons trouver un substitut économique à l'énergie tarissable, que de réhabiliter et restructurer ce secteur à travers une vision stratégique moderne qui repose sur la science et les technologies, la revalorisation des expériences, la mécanisation et une bonne gestion du processus de production, de distribution, de stockage et de commercialisation", poursuit le président de la République. " Il est important de mettre un terme à la dépendance à la production étrangère soumise aux règles d'un marché instable. C'est pourquoi nous nous devons de développer notre économie et de renforcer notre indépendance et notre souveraineté en matière de prise de décision politique", a indiqué Bouteflika ajoutant qu'"outre le secteur de l'agriculture, la terre recèle des énergies renouvelables susceptibles de couvrir nos besoins croissants en hydrocarbures", a encore écrit le chef de l'Etat. Le président de la République a ainsi appelé l'UNPA à l'occasion du 41e anniversaire de sa création célébré il y a quelques jours, "à tirer les enseignements des défis et enjeux que connaît le monde économique aujourd'hui afin d'y faire face avec plus de connaissances, de travail et de mobilisation de toutes les bonnes volontés du pays. Ceci permettra de se prémunir de tout ce qui pourrait constituer une menace à notre stabilité et union et un obstacle à nos projets de développement déjà réalisés ou en voie de réalisation". Rappelant que le secteur de l'agriculture avait "occupé une importante place dans le programme de développement à travers le soutien au secteur, une distribution équitable des terres, l'effacement de la dette des agriculteurs et l'injection de plus de 800 milliards DA pour le soutien à l'activité agricole", le président de la République a affirmé que l'"Etat demeure fidèle à son engagement dans l'accompagnement de nos agriculteurs en faveur de la cristallisation du projet de développement national global". Il a, dans ce cadre, réaffirmé l'engagement de l'Etat à continuer à soutenir l'agriculture en application des mesures qu'il a annoncées personnellement en février 2009 à Biskra. "Il est vrai que l'Algérie connaît une situation financière difficile mais sachez que cette conjoncture n'entamera en rien notre détermination, ni notre effort y compris financier, à promouvoir l'agriculture et son apport à l'indépendance économique nationale", a poursuivi le président de la République à l'adresse des agriculteurs. Il a rappelé que l'Algérie avait pris, à travers la loi de finances complémentaire, de nouvelles mesures à même d'assurer la protection sociale des agriculteurs souhaitant que ceux-ci puissent contribuer, aux côtés du Gouvernement, à la mise en oeuvre de ces mesures. Dans cette optique, le président Bouteflika a appelé l'UNPA à "mobiliser les représentants des agriculteurs pour vulgariser les procédures de mise en valeur des terres agricoles, et réunir les potentialités financières des exploitants locaux, en vue de promouvoir notre rendement agricole". Il a, d'autre part, formé le voeu de voir les représentants des agriculteurs mobilisés "pour insuffler une nouvelle dynamique à la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA)". S'adressant au secrétaire général de l'UNPA et aux responsables du secteur, le président Bouteflika s'est dit confiant que leur "dévouement au service du pays, leur expertise et expérience sur le terrain, ainsi que leur attachement à honorer leurs engagements et leur sérieux, sont autant d'atouts qui les qualifieront pour mener à bien la mission qui leur incombe, notamment en cette conjoncture difficile où le pays a plus que jamais besoin de ses vaillants enfants pour concourir à son progrès et sa prospérité", conclut le chef de l'Etat.