L'affaire, qui a éclaté ces derniers jours, fait suite aux accusations contre Aït Hamouda selon lesquelles il "aurait soutenu le candidat FFS lors des élections sénatoriales". Dans une 1re réaction le fils du colonel Amirouche a accusé le parti d'être "en voie d'allégeance au FLN"... L'affaire, qui a éclaté ces derniers jours, fait suite aux accusations contre Aït Hamouda selon lesquelles il "aurait soutenu le candidat FFS lors des élections sénatoriales". Dans une 1re réaction le fils du colonel Amirouche a accusé le parti d'être "en voie d'allégeance au FLN"... Nouveau rebondissement dans le conflit interne qui agite le RCD depuis quelques jours. Nouredine Aït Hamouda, le fils du martyr colonel Amirouche, tombé en disgrâce, soutient mordicus, une fois de plus, qu'il est toujours organiquement militant du parti et met au défi la direction du RCD de le traduire devant la commission de discipline. Fait nouveau aussi, la direction nationale du RCD, par le biais de son chargé de communication, Athmane Maazouz, prend le relais du bureau régional de Tizi-Ouzou pour charger le fils du colonel Amirouche lui déniant la qualité de militant. C'est dire que l'affaire prend de l'ampleur et le deux parties menacent de recourir à la justice. "Au jour d'aujourd'hui, je suis organiquement militant puisqu'aucune sanction disciplinaire n'a été prononcée à mon encontre", indique, en effet, Nouredine Aït Hamouda, dans un communiqué rendu public avant-hier jeudi. Cet ex-député met au défi la direction du RCD "d'appliquer le règlement intérieur du parti et de (me) convoquer en Commission de discipline ou commission nationale des conflits". Car, dira-t-il encore dans son communiqué, "je suis certain qu'ils n'auront pas le courage d'être confrontés à leurs propres défaillances auxquelles ils savent que j'apporterai les preuves éclatantes de leurs magouilles". Il cite comme preuve une correspondance envoyée par le président de la section d'Iboudraren, Achour Abcha, au président du bureau régional du parti à Tizi- Ouzou dans laquelle il atteste que Nouredine Aït Hamouda "figure sur le fichier organique de cette section et sur la liste des militants pour l'année 2015 et qu'il a payé ses cotisations et signé son bulletin d'adhésion". Par conséquent, note le chef de cette section, "une carte provisoire lui a été délivré". Une version balayé d'un revers de la main par le bureau régional du RCD de Tizi-Ouzou, mais aussi par la direction nationale du parti. Le chef de section d'Iboudrenane est ainsi accusé "d'usurpation de fonction". "Dans cette missive, l'individu en question (Achour Abcha) nous apprend qu'en attendant la délivrance d'une carte définitive, Nouredine Aït Hamouda a eu le privilège de bénéficier d'une carte provisoire de militant ?", indique le bureau régional de Tizi-Ouzou dans un communiqué en précisant que "l'ensemble du collectif militant du parti sait pertinemment que le RCD ne délivre jamais de carte provisoire et que depuis le 1er janvier 2015 les cartes de militants sont numérisées et gérées par la seule direction nationale du parti". Cette structure du parti considère que "cette usurpation de fonction dont le seul objet est de justifier les contrevérités du sieur Aït Hamouda Amrane dit Nordine" fera l'objet d'une poursuite judiciaire. Sur sa page Facebook le chargé de communication du parti, Athmane Mazouz, a diffusé une photo de la carte provisoire accordée à Nordine Aït Hamouda et la photo de la nouvelle carte numérisée donnée aux militants du parti depuis janvier 2015 tout en indiquant que la carte "est un faux". "Nous sommes bien devant une affaire délictueuse et elle se traitera au tribunal, puisque il y a usurpation de fonction, faux et usage de faux" indique le bureau régional de Tizi-Ouzou en rappelant que "le logiciel du fichier organique, numérisé depuis 2013, est infalsifiable et le nom de M. Aït Hamouda n'y figure pas. En fait, Aït Hamouda est pris la main dans le sac". L'ex- député du RCD, qui invoque sa qualité de membre fondateur du parti, annonce à son tour son intention "d'ester en justice le maire de Tizi-Ouzou". Cette affaire, qui a éclaté ces derniers jours, fait suite aux accusations contre Aït Hamouda selon lesquelles il "aurait soutenu le candidat du FFS lors des élections sénatoriales". Dans une première réaction le fils du colonel Amirouche a accusé le parti d'être "en voie d'allégeance au FLN". Il n'a pas manqué aussi de décocher des fléchettes à l'adresse de l'ancien président du RCD, Said Sadi, sans l'avoir cité cependant. C'est dire qu'après une association d'une trentaine d'années la rupture semble irrémédiable entre les deux hommes. Nouveau rebondissement dans le conflit interne qui agite le RCD depuis quelques jours. Nouredine Aït Hamouda, le fils du martyr colonel Amirouche, tombé en disgrâce, soutient mordicus, une fois de plus, qu'il est toujours organiquement militant du parti et met au défi la direction du RCD de le traduire devant la commission de discipline. Fait nouveau aussi, la direction nationale du RCD, par le biais de son chargé de communication, Athmane Maazouz, prend le relais du bureau régional de Tizi-Ouzou pour charger le fils du colonel Amirouche lui déniant la qualité de militant. C'est dire que l'affaire prend de l'ampleur et le deux parties menacent de recourir à la justice. "Au jour d'aujourd'hui, je suis organiquement militant puisqu'aucune sanction disciplinaire n'a été prononcée à mon encontre", indique, en effet, Nouredine Aït Hamouda, dans un communiqué rendu public avant-hier jeudi. Cet ex-député met au défi la direction du RCD "d'appliquer le règlement intérieur du parti et de (me) convoquer en Commission de discipline ou commission nationale des conflits". Car, dira-t-il encore dans son communiqué, "je suis certain qu'ils n'auront pas le courage d'être confrontés à leurs propres défaillances auxquelles ils savent que j'apporterai les preuves éclatantes de leurs magouilles". Il cite comme preuve une correspondance envoyée par le président de la section d'Iboudraren, Achour Abcha, au président du bureau régional du parti à Tizi- Ouzou dans laquelle il atteste que Nouredine Aït Hamouda "figure sur le fichier organique de cette section et sur la liste des militants pour l'année 2015 et qu'il a payé ses cotisations et signé son bulletin d'adhésion". Par conséquent, note le chef de cette section, "une carte provisoire lui a été délivré". Une version balayé d'un revers de la main par le bureau régional du RCD de Tizi-Ouzou, mais aussi par la direction nationale du parti. Le chef de section d'Iboudrenane est ainsi accusé "d'usurpation de fonction". "Dans cette missive, l'individu en question (Achour Abcha) nous apprend qu'en attendant la délivrance d'une carte définitive, Nouredine Aït Hamouda a eu le privilège de bénéficier d'une carte provisoire de militant ?", indique le bureau régional de Tizi-Ouzou dans un communiqué en précisant que "l'ensemble du collectif militant du parti sait pertinemment que le RCD ne délivre jamais de carte provisoire et que depuis le 1er janvier 2015 les cartes de militants sont numérisées et gérées par la seule direction nationale du parti". Cette structure du parti considère que "cette usurpation de fonction dont le seul objet est de justifier les contrevérités du sieur Aït Hamouda Amrane dit Nordine" fera l'objet d'une poursuite judiciaire. Sur sa page Facebook le chargé de communication du parti, Athmane Mazouz, a diffusé une photo de la carte provisoire accordée à Nordine Aït Hamouda et la photo de la nouvelle carte numérisée donnée aux militants du parti depuis janvier 2015 tout en indiquant que la carte "est un faux". "Nous sommes bien devant une affaire délictueuse et elle se traitera au tribunal, puisque il y a usurpation de fonction, faux et usage de faux" indique le bureau régional de Tizi-Ouzou en rappelant que "le logiciel du fichier organique, numérisé depuis 2013, est infalsifiable et le nom de M. Aït Hamouda n'y figure pas. En fait, Aït Hamouda est pris la main dans le sac". L'ex- député du RCD, qui invoque sa qualité de membre fondateur du parti, annonce à son tour son intention "d'ester en justice le maire de Tizi-Ouzou". Cette affaire, qui a éclaté ces derniers jours, fait suite aux accusations contre Aït Hamouda selon lesquelles il "aurait soutenu le candidat du FFS lors des élections sénatoriales". Dans une première réaction le fils du colonel Amirouche a accusé le parti d'être "en voie d'allégeance au FLN". Il n'a pas manqué aussi de décocher des fléchettes à l'adresse de l'ancien président du RCD, Said Sadi, sans l'avoir cité cependant. C'est dire qu'après une association d'une trentaine d'années la rupture semble irrémédiable entre les deux hommes.