Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aïssa, a présidé avant-hier à M'sila une cérémonie de signature d'une convention portant sur l'affectation, dans les mosquées, de spécialistes en langage des signes. Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aïssa, a présidé avant-hier à M'sila une cérémonie de signature d'une convention portant sur l'affectation, dans les mosquées, de spécialistes en langage des signes. Au titre de cette convention signée entre les directions des affaires et religieuses et de l'action sociale, les spécialistes en question auront pour mission principale de traduire instantanément les prêches de la prière du vendredi à l'intention des sourds et des malentendants. Cette initiative sera prochainement élargie à d'autres wilayas, a-t-on ajouté, faisant également état du lancement, à travers la wilaya de M'sila, d'actions portant sur l'aménagement d'accès spéciaux aux mosquées pour les handicapés moteurs. M. Aïssa qui a inauguré, au cours de sa tournée deux écoles coraniques à M'sila et Boussaâda, a fait savoir qu'une convention a été signée entre son département et le ministère de l'Education nationale pour l'exploitation des écoles coraniques et autres structures du secteur pour les cours d'alphabétisation. Sur le chantier de réalisation d'une mosquée à la cité An-Nasr, la plus grande de la wilaya, et dont les travaux, entamés durant les années 1990, nécessitent une rallonge de 450 millions de dinars pour être achevés, le ministre a indiqué que la conjoncture économique ne permettait pas, pour l'heure, de mobiliser ce montant. Il a cependant recommandé de ‘‘prioriser les travaux'' en commençant d'abord par la salle de prière, sans écarter la possibilité du financement des travaux de construction de lieu du culte en cas d'embellie financière dans le pays. Le ministre s'est également enquis du projet d'extension, pour 200 millions de dinars, de la zaouïa Rahmania Kacimia de la ville d'El Hamel. Il a notamment exprimé sa satisfaction quant à la qualité de l'architecture adoptée pour l'expansion. Le cheikh de la zaouïa a indiqué que l'opération de restauration d'une partie des vieux bâtiments de la zaouïa tiendra compte de la préservation de son identité architecturale par l'utilisation de matériaux locaux identiques à ceux utilisés lors de sa première construction durant les années 1920. Le ministre qui devait présider une séance de travail avec les cadres locaux de son département a pris part, en outre, à une cérémonie de mariage collectif de 50 couples, initiée par le conseil de bienfaisante de la zaouïa d'El Hamel. Au titre de cette convention signée entre les directions des affaires et religieuses et de l'action sociale, les spécialistes en question auront pour mission principale de traduire instantanément les prêches de la prière du vendredi à l'intention des sourds et des malentendants. Cette initiative sera prochainement élargie à d'autres wilayas, a-t-on ajouté, faisant également état du lancement, à travers la wilaya de M'sila, d'actions portant sur l'aménagement d'accès spéciaux aux mosquées pour les handicapés moteurs. M. Aïssa qui a inauguré, au cours de sa tournée deux écoles coraniques à M'sila et Boussaâda, a fait savoir qu'une convention a été signée entre son département et le ministère de l'Education nationale pour l'exploitation des écoles coraniques et autres structures du secteur pour les cours d'alphabétisation. Sur le chantier de réalisation d'une mosquée à la cité An-Nasr, la plus grande de la wilaya, et dont les travaux, entamés durant les années 1990, nécessitent une rallonge de 450 millions de dinars pour être achevés, le ministre a indiqué que la conjoncture économique ne permettait pas, pour l'heure, de mobiliser ce montant. Il a cependant recommandé de ‘‘prioriser les travaux'' en commençant d'abord par la salle de prière, sans écarter la possibilité du financement des travaux de construction de lieu du culte en cas d'embellie financière dans le pays. Le ministre s'est également enquis du projet d'extension, pour 200 millions de dinars, de la zaouïa Rahmania Kacimia de la ville d'El Hamel. Il a notamment exprimé sa satisfaction quant à la qualité de l'architecture adoptée pour l'expansion. Le cheikh de la zaouïa a indiqué que l'opération de restauration d'une partie des vieux bâtiments de la zaouïa tiendra compte de la préservation de son identité architecturale par l'utilisation de matériaux locaux identiques à ceux utilisés lors de sa première construction durant les années 1920. Le ministre qui devait présider une séance de travail avec les cadres locaux de son département a pris part, en outre, à une cérémonie de mariage collectif de 50 couples, initiée par le conseil de bienfaisante de la zaouïa d'El Hamel.