Le marché de la location de logements risque de connaître une flambée. La tendance à la hausse des loyers risque de mettre en difficulté les locataires qui subissent déjà le choc des prix. Le marché de la location de logements risque de connaître une flambée. La tendance à la hausse des loyers risque de mettre en difficulté les locataires qui subissent déjà le choc des prix. Le marché qui a stagné durant l'année 2015 va connaître, selon des professionnels de l'immobilier, une hausse dès le 2e semestre de l'année 2016. La raison qui explique cette tendance à la hausse est causée par l'explosion de la demande de location qui globalement est de 400.000 sur un potentiel de logements disponibles qui ne dépasse pas les 100.000. Face aux retards des programmes de l'Etat (AADL, logement social et logement locatif), les agences immobilières et certains intermédiaires guettent l'occasion pour doper le marché. Les logements F2 dont le prix à la location était en moyenne de 17.000 à 20.000 DA, coûtent à la location plus de 30.000 DA. A signaler que le coût de la location diffère d'une région à une autre, les loyers sont ainsi plus onéreux au centre-ville qu'à la périphérie. Le site professionnel de l'immobilier Lkeria.com dresse tout un inventaire sur les loyers qui subissent les aléas de l'offre et de la demande. A titre illustratif, à Alger les communes les plus chères sont celles de Hydra, Kouba, Alger-Centre et Bab Ezzouar. Les loyers grimpent inexorablement dès l'été en raison de la forte demande et en plus à l'approche de la rentrée scolaire. De Blida, à Oran en passant par Tizi-Ouzou et Béjaïa, les coûts ont été tous augmentés en 2015 alors que de 2011 à 2013, le marché était plus au moins stable. Sur une étude des experts de ce site immobilier, il ressort que la moyenne de location sur un logement F3 en prenant en considération le coût du mètre carré, oscille entre 18.000 et 40.000 DA. Et bien plus pour les locations de niveau de villa qui sont plus chères selon l'importance du site. Les transactions immobilières empruntent toujours la tendance à la hausse alors que le marché compte également des intermédiaires qui prennent leur commission sur une location à l'année. L'absence de régulation de l'Etat pour ce marché fait que les prix de la location ne sont pas établis selon un barème du mètre carré mais selon le bon vouloir des propriétaires et de l'intervention de l'agence immobilière. De plus, la location à l'année est exigée au demandeur qui doit payer rubis sur l'ongle le tarif de la location. Or, il n'existe aucune disposition juridique qui oblige une transaction de location à l'année. La classe moyenne est durement pénalisée suite à ces prix exagérément élevés et mettent en difficultés les ménages moyens et ceux dont les revenus sont modestes. Le marché connaît ainsi une anarchie due à la spéculation qui bat son plein sur un marché mal maîtrisé. Le bail mensuel n'est pas respecté, les contrats de location ne sont pas la piste privilégiée, les agences immobilières tentent de gonfler la bulle des prix et le parc locatif est rétréci. Ce sont là quelques aspects qui en disent long sur les pratiques pas tout à fait correctes sur un marché où le contrôle est le grand absent. Le marché qui a stagné durant l'année 2015 va connaître, selon des professionnels de l'immobilier, une hausse dès le 2e semestre de l'année 2016. La raison qui explique cette tendance à la hausse est causée par l'explosion de la demande de location qui globalement est de 400.000 sur un potentiel de logements disponibles qui ne dépasse pas les 100.000. Face aux retards des programmes de l'Etat (AADL, logement social et logement locatif), les agences immobilières et certains intermédiaires guettent l'occasion pour doper le marché. Les logements F2 dont le prix à la location était en moyenne de 17.000 à 20.000 DA, coûtent à la location plus de 30.000 DA. A signaler que le coût de la location diffère d'une région à une autre, les loyers sont ainsi plus onéreux au centre-ville qu'à la périphérie. Le site professionnel de l'immobilier Lkeria.com dresse tout un inventaire sur les loyers qui subissent les aléas de l'offre et de la demande. A titre illustratif, à Alger les communes les plus chères sont celles de Hydra, Kouba, Alger-Centre et Bab Ezzouar. Les loyers grimpent inexorablement dès l'été en raison de la forte demande et en plus à l'approche de la rentrée scolaire. De Blida, à Oran en passant par Tizi-Ouzou et Béjaïa, les coûts ont été tous augmentés en 2015 alors que de 2011 à 2013, le marché était plus au moins stable. Sur une étude des experts de ce site immobilier, il ressort que la moyenne de location sur un logement F3 en prenant en considération le coût du mètre carré, oscille entre 18.000 et 40.000 DA. Et bien plus pour les locations de niveau de villa qui sont plus chères selon l'importance du site. Les transactions immobilières empruntent toujours la tendance à la hausse alors que le marché compte également des intermédiaires qui prennent leur commission sur une location à l'année. L'absence de régulation de l'Etat pour ce marché fait que les prix de la location ne sont pas établis selon un barème du mètre carré mais selon le bon vouloir des propriétaires et de l'intervention de l'agence immobilière. De plus, la location à l'année est exigée au demandeur qui doit payer rubis sur l'ongle le tarif de la location. Or, il n'existe aucune disposition juridique qui oblige une transaction de location à l'année. La classe moyenne est durement pénalisée suite à ces prix exagérément élevés et mettent en difficultés les ménages moyens et ceux dont les revenus sont modestes. Le marché connaît ainsi une anarchie due à la spéculation qui bat son plein sur un marché mal maîtrisé. Le bail mensuel n'est pas respecté, les contrats de location ne sont pas la piste privilégiée, les agences immobilières tentent de gonfler la bulle des prix et le parc locatif est rétréci. Ce sont là quelques aspects qui en disent long sur les pratiques pas tout à fait correctes sur un marché où le contrôle est le grand absent.