Le président de la Fédération algérienne de football (Faf), Mohamed Raouraoua, soutiendra-t-il le choix de la Confédération africaine de football (CAF) qui a appelé les associations africaines de football à voter pour cheikh Salman afin de succéder à Joseph Sepp Blatter à la tête de la Fédération internationale de football (Fifa) ? Le président de la Fédération algérienne de football (Faf), Mohamed Raouraoua, soutiendra-t-il le choix de la Confédération africaine de football (CAF) qui a appelé les associations africaines de football à voter pour cheikh Salman afin de succéder à Joseph Sepp Blatter à la tête de la Fédération internationale de football (Fifa) ? L'élection d'un nouveau président de la Fédération internationale de football (Fifa) aura lieu vendredi prochain, à l'occasion des élections qui vont avoir lieu au siège de cette instance internationale à Zurich. Cinq candidats sont en lice pour succéder à Joseph Sepp Blatter qui avait, signalons-le, jeter l'éponge en raison de nombreux scandales qui l'ont éclaboussé. Il s'agit de Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie, du Suisse Gianni Infantino, du Français Jérôme Champagne et, en fin, du Sud-Africain Tokyo Sexwale. Lors de sa dernière réunion, l'instance africaine de football a pris la décision de soutenir le Bahreïni Cheikh Salman. La Caf a même appelé les 54 associations africaines à soutenir son choix. Mais rien n'indique que ces instances continentales vont soutenir le choix de la Caf. Du côté algérien, les relations ne sont pas bonnes entre le président de la Fédération algérienne, Mohamed Raouraoua, et le président de la Confédération africaine Issa Hayatou. Cela pourrait influencer le choix algérien. Raouraoua, qui a été trahi par Hayatou l'an dernier concernant l'organisation de la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations 2017, offerte contre toute attente au Gabon, suivra-t-il le choix de la CAF ? En tout cas, rien ne s'est filtré de la maison de Délly Brahim. Le patron de l'instance fédérale n'a fait allusion à aucun candidat et compte maintenir le suspens. Le Bahreïni, rappelons-le, avait été un partisan de l'attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar, dont les conditions font actuellement l'objet d'une enquête. Selon une information donnée par le magasine Jeune Afrique, le président de la FAF pencherait pour l'Italien Gianni Infantino. Ce dernier, qui a eu tout le soutien de l'Europe, veut glaner quelques autres voix du côté africain puisque l'Asie votera pour l'un de ses représentants. Il y a lieu de signaler qu'Infantino a été étiqueté proche de Platini. La bataille des coulisses a été bel et bien lancée et les cinq candidats, chacun de son côté, tentent de convaincre les électeurs. En tout, 209 associations vont voter ce vendredi pour désigner le successeur de Josèphe Sepp Blatter, à la tête de la présidence de la Fifa, même s'il y a déjà un sérieux penchant pour Cheikh Salman. La campagne s'annonce rude entre les cinq candidats. L'Algérie, qui sera représentée lors de ces élections par Mohamed Raouraoua, a-t-elle déjà fait son choix ? Une chose est sûre, beaucoup de paramètres vont influencer le choix de certains présidents d'associations. Et puis, même l'Afrique sera devisée puisqu'il y aura un représentant sud-africain, à savoir Tokyo Sexwale. Certes, ce dernier ne fait pas l'unanimité, mais il y aura certains présidents qui vont voter pour lui. D'ici là, les cinq candidats auront encore quelques jours pour convaincre d'autres électeurs même si la plupart ont déjà fait leur choix. L'élection d'un nouveau président de la Fédération internationale de football (Fifa) aura lieu vendredi prochain, à l'occasion des élections qui vont avoir lieu au siège de cette instance internationale à Zurich. Cinq candidats sont en lice pour succéder à Joseph Sepp Blatter qui avait, signalons-le, jeter l'éponge en raison de nombreux scandales qui l'ont éclaboussé. Il s'agit de Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie, du Suisse Gianni Infantino, du Français Jérôme Champagne et, en fin, du Sud-Africain Tokyo Sexwale. Lors de sa dernière réunion, l'instance africaine de football a pris la décision de soutenir le Bahreïni Cheikh Salman. La Caf a même appelé les 54 associations africaines à soutenir son choix. Mais rien n'indique que ces instances continentales vont soutenir le choix de la Caf. Du côté algérien, les relations ne sont pas bonnes entre le président de la Fédération algérienne, Mohamed Raouraoua, et le président de la Confédération africaine Issa Hayatou. Cela pourrait influencer le choix algérien. Raouraoua, qui a été trahi par Hayatou l'an dernier concernant l'organisation de la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations 2017, offerte contre toute attente au Gabon, suivra-t-il le choix de la CAF ? En tout cas, rien ne s'est filtré de la maison de Délly Brahim. Le patron de l'instance fédérale n'a fait allusion à aucun candidat et compte maintenir le suspens. Le Bahreïni, rappelons-le, avait été un partisan de l'attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar, dont les conditions font actuellement l'objet d'une enquête. Selon une information donnée par le magasine Jeune Afrique, le président de la FAF pencherait pour l'Italien Gianni Infantino. Ce dernier, qui a eu tout le soutien de l'Europe, veut glaner quelques autres voix du côté africain puisque l'Asie votera pour l'un de ses représentants. Il y a lieu de signaler qu'Infantino a été étiqueté proche de Platini. La bataille des coulisses a été bel et bien lancée et les cinq candidats, chacun de son côté, tentent de convaincre les électeurs. En tout, 209 associations vont voter ce vendredi pour désigner le successeur de Josèphe Sepp Blatter, à la tête de la présidence de la Fifa, même s'il y a déjà un sérieux penchant pour Cheikh Salman. La campagne s'annonce rude entre les cinq candidats. L'Algérie, qui sera représentée lors de ces élections par Mohamed Raouraoua, a-t-elle déjà fait son choix ? Une chose est sûre, beaucoup de paramètres vont influencer le choix de certains présidents d'associations. Et puis, même l'Afrique sera devisée puisqu'il y aura un représentant sud-africain, à savoir Tokyo Sexwale. Certes, ce dernier ne fait pas l'unanimité, mais il y aura certains présidents qui vont voter pour lui. D'ici là, les cinq candidats auront encore quelques jours pour convaincre d'autres électeurs même si la plupart ont déjà fait leur choix.