Le Haut comité des négociations (HCN), qui rassemble les groupes-clés de l'opposition syrienne, a annoncé, vendredi 11 mars, dans un communiqué distribué à la presse, qu'il participerait aux négociations indirectes avec le régime demain 14 mars à Genève, Le Haut comité des négociations (HCN), qui rassemble les groupes-clés de l'opposition syrienne, a annoncé, vendredi 11 mars, dans un communiqué distribué à la presse, qu'il participerait aux négociations indirectes avec le régime demain 14 mars à Genève, sous l'égide de l'Organisation des Nations unies (Onu), sur la base de son "engagement à coopérer avec les efforts internationaux visant à mettre fin à l'effusion de sang et à trouver une solution politique" au conflit en Syrie. Le régime de Damas a déjà annoncé qu'il enverrait une délégation à Genève. Uneélection présidentielle et des législatives doivent être organisées en Syrie sous l'égide de l'Onu dans les dixhuit mois à compter de lundi 14 mars, a annoncé vendredi l'envoyé spécial de l'Onu pour la Syrie, Staffan de Mistura, dans une interview à l'agence de presse russe RIA Novosti. Le médiateur de la paix a déclaré que le prochain cycle de discussions intersyriennes programmé à partir de lundi marquerait le point de départ de ce calendrier. Un précédent round de négociations avait tourné court La tenue d'"élections libres et régulières (...) qui seraient conduites sous la supervision de l'Onu" dans un délai de dix-huit mois figure dans la résolution 2254 adoptée en décembre par le Conseil de sécurité des Nations unies pour appuyer le plan de paix préparé par les puissances du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS). Staffan de Mistura insiste sur la nécessité d'un processus en trois points tel qu'il a été "défini par le Conseil de sécurité et que la Fédération de Russie a adopté". Le premier, rappelle l'émissaire, est un nouveau gouvernement incluant toutes les parties en présence, le deuxième est une nouvelle Constitution, et le troisième, la tenue d'élections – présidentielle et législatives – dans un délai de dix-huit mois à compter du début des discussions. Un précédent round de négociations organisé à Genève en février avait tourné court en raison d'une intensification des frappes aériennes en Syrie par la Russie, alliée de Damas. Depuis, un accord de cessation des hostilités a été négocié par Washington et Moscou, et la trêve instaurée le 27 février semble tenir bon, malgré quelques incidents. sous l'égide de l'Organisation des Nations unies (Onu), sur la base de son "engagement à coopérer avec les efforts internationaux visant à mettre fin à l'effusion de sang et à trouver une solution politique" au conflit en Syrie. Le régime de Damas a déjà annoncé qu'il enverrait une délégation à Genève. Uneélection présidentielle et des législatives doivent être organisées en Syrie sous l'égide de l'Onu dans les dixhuit mois à compter de lundi 14 mars, a annoncé vendredi l'envoyé spécial de l'Onu pour la Syrie, Staffan de Mistura, dans une interview à l'agence de presse russe RIA Novosti. Le médiateur de la paix a déclaré que le prochain cycle de discussions intersyriennes programmé à partir de lundi marquerait le point de départ de ce calendrier. Un précédent round de négociations avait tourné court La tenue d'"élections libres et régulières (...) qui seraient conduites sous la supervision de l'Onu" dans un délai de dix-huit mois figure dans la résolution 2254 adoptée en décembre par le Conseil de sécurité des Nations unies pour appuyer le plan de paix préparé par les puissances du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS). Staffan de Mistura insiste sur la nécessité d'un processus en trois points tel qu'il a été "défini par le Conseil de sécurité et que la Fédération de Russie a adopté". Le premier, rappelle l'émissaire, est un nouveau gouvernement incluant toutes les parties en présence, le deuxième est une nouvelle Constitution, et le troisième, la tenue d'élections – présidentielle et législatives – dans un délai de dix-huit mois à compter du début des discussions. Un précédent round de négociations organisé à Genève en février avait tourné court en raison d'une intensification des frappes aériennes en Syrie par la Russie, alliée de Damas. Depuis, un accord de cessation des hostilités a été négocié par Washington et Moscou, et la trêve instaurée le 27 février semble tenir bon, malgré quelques incidents.