L'ambassadeur canadien, David Drake, a souligné hier à Alger l'importance de mettre en place "un mécanisme d'intervention prévisible" fondé sur la primauté du droit dans le cadre d'une approche plus vaste de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent. L'ambassadeur canadien, David Drake, a souligné hier à Alger l'importance de mettre en place "un mécanisme d'intervention prévisible" fondé sur la primauté du droit dans le cadre d'une approche plus vaste de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent. Il est "important de se doter d'un mécanisme d'intervention prévisible fondé sur la primauté du droit pour avoir un effet dissuasif dans le cadre d'une approche plus vaste de lutte contre l'extrémisme violent", a déclaré David Drake à l'ouverture de l'atelier d'experts sur le "Rôle de la justice pénale dans la lutte contre le terrorisme au Sahel", organisé par les groupes de travail sur le renforcement des capacités des pays de la région du Sahel. L'ambassadeur canadien, qui co-préside les travaux de l'atelier avec l'ambassadeur- conseiller algérien, Houas Ayache, a mis en relief la nécessité de travailler en commun pour atteindre des résultats "plus intégrés, coordonnés et efficaces" dans la lutte contre le terrorisme. Dans ce sens, il a affirmé que "les interventions robustes sur le plan de la justice pénale est une composante essentielle de nos efforts collectifs pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme violent". "La criminalisation des terroristes et la prévention contre les actes préparatoires ainsi que le financement, la complicité et la sollicitation aux actes terroristes", ont été également évoqué par le diplomate, qui insistait sur le renforcement de la lutte contre ce phénomène transnational. "La coopération en matière de justice pénale repose sur notre capacité à travailler ensemble en prenant appui sur les lois semblables afin de permettre des poursuites judiciaires et des extraditions des personnes soupçonnées de terrorisme", a-t-il poursuivi. David Drake a réaffirmé, dans ce cadre, l'attention partagée de son pays avec l'Algérie de "faire en sorte de passer aux actes les plus concrets dans le contexte des deux Etats" pour lutter de façon plus efficace contre ce phénomène. L'Algérie ne ménage aucun effort pour renforcer par diverses initiatives et actions la lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel, a affirmé mercredi à Alger l'ambassadeur-conseiller auprès du Ministère des Affaires étrangères, Houas Ayache. "L'Algérie ne ménage aucun effort pour renforcer, par diverses initiatives et actions, la lutte contre le terrorisme dans le Sahel et oeuvre (sans cesse) pour l'avènement dans cette région, comme dans les autres parties du monde, de la paix, de la stabilité et de la prospérité", a affirmé M. Ayache à l'ouverture de l'Atelier d'experts sur le "Rôle de la justice pénale dans la lutte contre le terrorisme au Sahel" organisé par les groupes de travail sur le renforcement des capacités des pays de la région du Sahel. A cette occasion M. Ayache qui a coprésidé l'Atelier avec l'ambassadeur canadien David Drake, a affirmé que la lutte contre le terrorisme "par des moyens conformes au droit et la légalité internationale est une préoccupation permanente dans les efforts que déploie la communauté internationale à cette fin". Dans ce sens, Le diplomate algérien a souligné que "la réalité du terrain prouve que les groupes terroristes reculent devant des Etats forts et qu'ils savent exploiter à leur avantage et au bénéfice de leurs propres objectifs des éventuelles faiblesses institutionnelles matérielles qui pourraient exister ici et là". Dans le même sillage, M. Ayache a estimé que la limitation de ces faiblesses à défaut de pouvoir les éliminer constitue "un défi auquel sont confrontés les pays concernés en premier lieu et toute la communauté internationale en deuxième lieu, qui est ainsi appelée à promouvoir davantage la coopération et la complémentarité des actions entreprises dans le cadre de la lutte anti-terroriste". Il a toutefois insisté sur la nécessité d'entreprendre ces actions "dans le plein respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale des Etats". Pour le diplomate algérien, l'importance et l'impact réels de l'arsenal normatif de lutte contre le terrorisme restent très relatifs s'"ils ne sont pas soutenus par des institutions capables et par de ressources adéquates". Il a rappelé, par ailleurs, que la menace terroriste dans la région du Sahel reste présente et cause régulièrement des drames aux populations civiles ainsi qu'aux biens des individus et des collectivités. "Grâce à leur grande connexion avec le crime organisé transnational, ces groupes se renforcent, élargissent leur espace d'action, accèdent à plus de ressources financières et parviennent à contrôler des territoires et populations", a-t-il soutenu. L'Algérie abrite sur deux jours les travaux de cet atelier sur rôle de la justice pénale pour combattre le terrorisme dans le cadre de sa participation aux travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme (FGCT) dont elle est membre fondateur, co-présidé avec le Canada. Outre la participation des pays membres du FGCT et le Conseil de sécurité de l'ONU, l'atelier regroupe des représentants d'une dizaine d'organisations internationales et régionales, dont l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE), la Ligue arabe, l'Organisation de la coopération islamique (OCI), ainsi que des pays de la région du Sahel. Les travaux de la première journée se poursuivaient à huis-clos. Il est "important de se doter d'un mécanisme d'intervention prévisible fondé sur la primauté du droit pour avoir un effet dissuasif dans le cadre d'une approche plus vaste de lutte contre l'extrémisme violent", a déclaré David Drake à l'ouverture de l'atelier d'experts sur le "Rôle de la justice pénale dans la lutte contre le terrorisme au Sahel", organisé par les groupes de travail sur le renforcement des capacités des pays de la région du Sahel. L'ambassadeur canadien, qui co-préside les travaux de l'atelier avec l'ambassadeur- conseiller algérien, Houas Ayache, a mis en relief la nécessité de travailler en commun pour atteindre des résultats "plus intégrés, coordonnés et efficaces" dans la lutte contre le terrorisme. Dans ce sens, il a affirmé que "les interventions robustes sur le plan de la justice pénale est une composante essentielle de nos efforts collectifs pour lutter contre le terrorisme et l'extrémisme violent". "La criminalisation des terroristes et la prévention contre les actes préparatoires ainsi que le financement, la complicité et la sollicitation aux actes terroristes", ont été également évoqué par le diplomate, qui insistait sur le renforcement de la lutte contre ce phénomène transnational. "La coopération en matière de justice pénale repose sur notre capacité à travailler ensemble en prenant appui sur les lois semblables afin de permettre des poursuites judiciaires et des extraditions des personnes soupçonnées de terrorisme", a-t-il poursuivi. David Drake a réaffirmé, dans ce cadre, l'attention partagée de son pays avec l'Algérie de "faire en sorte de passer aux actes les plus concrets dans le contexte des deux Etats" pour lutter de façon plus efficace contre ce phénomène. L'Algérie ne ménage aucun effort pour renforcer par diverses initiatives et actions la lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel, a affirmé mercredi à Alger l'ambassadeur-conseiller auprès du Ministère des Affaires étrangères, Houas Ayache. "L'Algérie ne ménage aucun effort pour renforcer, par diverses initiatives et actions, la lutte contre le terrorisme dans le Sahel et oeuvre (sans cesse) pour l'avènement dans cette région, comme dans les autres parties du monde, de la paix, de la stabilité et de la prospérité", a affirmé M. Ayache à l'ouverture de l'Atelier d'experts sur le "Rôle de la justice pénale dans la lutte contre le terrorisme au Sahel" organisé par les groupes de travail sur le renforcement des capacités des pays de la région du Sahel. A cette occasion M. Ayache qui a coprésidé l'Atelier avec l'ambassadeur canadien David Drake, a affirmé que la lutte contre le terrorisme "par des moyens conformes au droit et la légalité internationale est une préoccupation permanente dans les efforts que déploie la communauté internationale à cette fin". Dans ce sens, Le diplomate algérien a souligné que "la réalité du terrain prouve que les groupes terroristes reculent devant des Etats forts et qu'ils savent exploiter à leur avantage et au bénéfice de leurs propres objectifs des éventuelles faiblesses institutionnelles matérielles qui pourraient exister ici et là". Dans le même sillage, M. Ayache a estimé que la limitation de ces faiblesses à défaut de pouvoir les éliminer constitue "un défi auquel sont confrontés les pays concernés en premier lieu et toute la communauté internationale en deuxième lieu, qui est ainsi appelée à promouvoir davantage la coopération et la complémentarité des actions entreprises dans le cadre de la lutte anti-terroriste". Il a toutefois insisté sur la nécessité d'entreprendre ces actions "dans le plein respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale des Etats". Pour le diplomate algérien, l'importance et l'impact réels de l'arsenal normatif de lutte contre le terrorisme restent très relatifs s'"ils ne sont pas soutenus par des institutions capables et par de ressources adéquates". Il a rappelé, par ailleurs, que la menace terroriste dans la région du Sahel reste présente et cause régulièrement des drames aux populations civiles ainsi qu'aux biens des individus et des collectivités. "Grâce à leur grande connexion avec le crime organisé transnational, ces groupes se renforcent, élargissent leur espace d'action, accèdent à plus de ressources financières et parviennent à contrôler des territoires et populations", a-t-il soutenu. L'Algérie abrite sur deux jours les travaux de cet atelier sur rôle de la justice pénale pour combattre le terrorisme dans le cadre de sa participation aux travaux du Forum global de lutte contre le terrorisme (FGCT) dont elle est membre fondateur, co-présidé avec le Canada. Outre la participation des pays membres du FGCT et le Conseil de sécurité de l'ONU, l'atelier regroupe des représentants d'une dizaine d'organisations internationales et régionales, dont l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE), la Ligue arabe, l'Organisation de la coopération islamique (OCI), ainsi que des pays de la région du Sahel. Les travaux de la première journée se poursuivaient à huis-clos.