Le FFS préfère célébrer cette date loin des feux de la rampe et, surtout, loin de la Kabylie, sans doute pour signifier son choix de se démarquer du "particularisme régional" très prononcé qui s'est manifesté à cette occasion. Le FFS préfère célébrer cette date loin des feux de la rampe et, surtout, loin de la Kabylie, sans doute pour signifier son choix de se démarquer du "particularisme régional" très prononcé qui s'est manifesté à cette occasion. Que s'est-il donc passé ? Le premier parti de l'opposition, le FFS, n'était pas présent, comme à son habitude, à la célébration de la journée du 20 Avril, mercredi dernier. Son absence n'a pas manqué d'être remarquée, donnant l'occasion à des polémiques, jugements et condamnations. Pour certains "cette absence, dans le fonctionnement habituel de nos politiciens, est un signal clair par rapport à la population. " Pour d'autres, l'absence du FFS, qui demeure la première force politique dans la région, lors de ces festivités aura été préjudiciable à plus d'un titre, pour qui ce retrait inexpliqué encourage les "plus aventuriers" à occuper le terrain. Si l'Etat, à travers la direction de la culture, essaye de normaliser l'événement en lui octroyant un caractère officiel, la venue du ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, dans la capitale du Djurdjura, à la veille du 20 Avril, suscite maintes interrogations. Car, un tel scenario n'est pas fortuit de l'avis des observateurs avisés des questions politiques. En perte de vitesse, surtout en cette période de crise qui a secoué ses structures, le RCD, cherche à se restructurer, et n'est-ce pas là une occasion propice pour lui ? De même pour le MAK, qui tente de renforcer ses rangs. Mis à part le parti cher au défunt Aït Ahmed, tout le monde était de la partie. Le Front des forces socialistes préfère célébrer cette date loin des feux de la rampe et, surtout, loin de la Kabylie, sans doute pour signifier son choix de se démarquer du "particularisme régional" très prononcé qui s'est manifesté à cette occasion, à Béjaïa, Tizi-Ouzou et Bouira. Cette décision trouve peut-être son explication dans le propos du premier secrétaire national du parti, en joignant l'acte à la parole. Car, lors du meeting du 18 avril à la salle Atlas de Bab El-Oued, Mohammed Nebbou, avait déclaré : "Tamazight est, pour le parti, une question nationale. Elle n'est pas une revendication isolée des autres revendications démocratiques, ni une question que l'on peut confiner dans des célébrations folkloriques", cela avant de soutenir que "le combat continue". Ainsi, la direction nationale du parti s'est mobilisée pour animer, dans la journée de samedi, une série de meetings à travers plusieurs villes du pays sous le mot d'ordre évocateur : "tamazight est indissociable de la démocratie". Le premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebbou à Oum El-Bouaghi, Ali Laskri à Bouira, Ahmed Bettatache à Oran et enfin Moussa Tamadartaza à Sétif. Le FFS n'est, cependant, pas le seul parti dont l'engagement pour tamazight peut paraître en recul, voire mou ou moins visible, par rapport à ce qu'il était dans le passé. Que s'est-il donc passé ? Le premier parti de l'opposition, le FFS, n'était pas présent, comme à son habitude, à la célébration de la journée du 20 Avril, mercredi dernier. Son absence n'a pas manqué d'être remarquée, donnant l'occasion à des polémiques, jugements et condamnations. Pour certains "cette absence, dans le fonctionnement habituel de nos politiciens, est un signal clair par rapport à la population. " Pour d'autres, l'absence du FFS, qui demeure la première force politique dans la région, lors de ces festivités aura été préjudiciable à plus d'un titre, pour qui ce retrait inexpliqué encourage les "plus aventuriers" à occuper le terrain. Si l'Etat, à travers la direction de la culture, essaye de normaliser l'événement en lui octroyant un caractère officiel, la venue du ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, dans la capitale du Djurdjura, à la veille du 20 Avril, suscite maintes interrogations. Car, un tel scenario n'est pas fortuit de l'avis des observateurs avisés des questions politiques. En perte de vitesse, surtout en cette période de crise qui a secoué ses structures, le RCD, cherche à se restructurer, et n'est-ce pas là une occasion propice pour lui ? De même pour le MAK, qui tente de renforcer ses rangs. Mis à part le parti cher au défunt Aït Ahmed, tout le monde était de la partie. Le Front des forces socialistes préfère célébrer cette date loin des feux de la rampe et, surtout, loin de la Kabylie, sans doute pour signifier son choix de se démarquer du "particularisme régional" très prononcé qui s'est manifesté à cette occasion, à Béjaïa, Tizi-Ouzou et Bouira. Cette décision trouve peut-être son explication dans le propos du premier secrétaire national du parti, en joignant l'acte à la parole. Car, lors du meeting du 18 avril à la salle Atlas de Bab El-Oued, Mohammed Nebbou, avait déclaré : "Tamazight est, pour le parti, une question nationale. Elle n'est pas une revendication isolée des autres revendications démocratiques, ni une question que l'on peut confiner dans des célébrations folkloriques", cela avant de soutenir que "le combat continue". Ainsi, la direction nationale du parti s'est mobilisée pour animer, dans la journée de samedi, une série de meetings à travers plusieurs villes du pays sous le mot d'ordre évocateur : "tamazight est indissociable de la démocratie". Le premier secrétaire du FFS, Mohamed Nebbou à Oum El-Bouaghi, Ali Laskri à Bouira, Ahmed Bettatache à Oran et enfin Moussa Tamadartaza à Sétif. Le FFS n'est, cependant, pas le seul parti dont l'engagement pour tamazight peut paraître en recul, voire mou ou moins visible, par rapport à ce qu'il était dans le passé.