Le ministère de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière entamera à partir d'aujourd'hui l'application du nouveau calendrier national de vaccination infantile qui englobe le vaccin contre la poliomyélite par voie injectable, le vaccin contre la rubéole, le vaccin contre les oreillons et le vaccin contre le pneumocoque. Le ministère de la Santé, de la Population et la Réforme hospitalière entamera à partir d'aujourd'hui l'application du nouveau calendrier national de vaccination infantile qui englobe le vaccin contre la poliomyélite par voie injectable, le vaccin contre la rubéole, le vaccin contre les oreillons et le vaccin contre le pneumocoque. La mise en oeuvre de ce nouveau programme sera assurée par plus de 2.000 professionnels de la santé notamment au niveau des centres de soins de proximité, 195 établissements publics hospitaliers, 15 CHU et 31 autres centres de protection maternelle et infantile. Le ministère avait donné, la semaine dernière, le coup d'envoi de la campagne de sensibilisation sur le nouveau calendrier national de vaccination en coordination avec l'Agence nationale d'édition et de publicité (Anep). Vu l'importance accordée par les autorités publiques à la protéction des générations futures des maladies infectieuses transmissibles, il a a été débloqué une enveloppe de 10 milliards contre 3,3 milliards l'année dernière. Le nouveau calendrier concernera les enfants nés à partir du 24 avril 2016 alors que les corps médical et paramédical poursuivront l'application de l'ancien calendrier jusqu'en 2020. Le professeur Rachida Boukhari, membre de la commission d'experts ayant contribué à l'élaboration de ce nouveau calendrier, a affirmé que "le nouveau programme de vaccination contribuera à réduire le taux de mortalité infantile en Algérie estimé actuellement à 22 décès pour 1.000 naissances à 18 décès pour 1000 naissances au cours des prochaines années, outre la réduction de la durée de leur hospitalisation". Pour sa part, le professeur Abdelkrim Soukhal, épidémiologiste a salué la mise en oeuvre de cette nouvelle campagne qui intervient après celle menée en Algérie durant les années 90 qui a contribué à l'éradication de la rougeole et la poliomyélite. Le chef de service pédiatrie au CHU Franz- Fanon de Blida, le professeur Chaouki Kadache a estimé, de son côté, que l'introduction des nouveaux vaccins aura un impact positif sur la santé publique et contribuera à la réduction des prises d'antibiotiques chez les enfants. Le représentant du bureau du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef) à Alger, Marc Lucet, avait salué l'introduction par l'Algérie de quatre vaccins simultanés dans ce nouveau calendrier de vaccination en application recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l'Unicef. La mise en oeuvre de ce nouveau programme sera assurée par plus de 2.000 professionnels de la santé notamment au niveau des centres de soins de proximité, 195 établissements publics hospitaliers, 15 CHU et 31 autres centres de protection maternelle et infantile. Le ministère avait donné, la semaine dernière, le coup d'envoi de la campagne de sensibilisation sur le nouveau calendrier national de vaccination en coordination avec l'Agence nationale d'édition et de publicité (Anep). Vu l'importance accordée par les autorités publiques à la protéction des générations futures des maladies infectieuses transmissibles, il a a été débloqué une enveloppe de 10 milliards contre 3,3 milliards l'année dernière. Le nouveau calendrier concernera les enfants nés à partir du 24 avril 2016 alors que les corps médical et paramédical poursuivront l'application de l'ancien calendrier jusqu'en 2020. Le professeur Rachida Boukhari, membre de la commission d'experts ayant contribué à l'élaboration de ce nouveau calendrier, a affirmé que "le nouveau programme de vaccination contribuera à réduire le taux de mortalité infantile en Algérie estimé actuellement à 22 décès pour 1.000 naissances à 18 décès pour 1000 naissances au cours des prochaines années, outre la réduction de la durée de leur hospitalisation". Pour sa part, le professeur Abdelkrim Soukhal, épidémiologiste a salué la mise en oeuvre de cette nouvelle campagne qui intervient après celle menée en Algérie durant les années 90 qui a contribué à l'éradication de la rougeole et la poliomyélite. Le chef de service pédiatrie au CHU Franz- Fanon de Blida, le professeur Chaouki Kadache a estimé, de son côté, que l'introduction des nouveaux vaccins aura un impact positif sur la santé publique et contribuera à la réduction des prises d'antibiotiques chez les enfants. Le représentant du bureau du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (Unicef) à Alger, Marc Lucet, avait salué l'introduction par l'Algérie de quatre vaccins simultanés dans ce nouveau calendrier de vaccination en application recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l'Unicef.