L'Agence nationale pour l'emploi (Anem) a enregistré durant les quatre premiers mois de l'année 2016 une progression de 23 % de l'offre d'emploi des entreprises, a annoncé, hier son directeur général, Mohamed-Tahar Challal qui était l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne. L'Agence nationale pour l'emploi (Anem) a enregistré durant les quatre premiers mois de l'année 2016 une progression de 23 % de l'offre d'emploi des entreprises, a annoncé, hier son directeur général, Mohamed-Tahar Challal qui était l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne. Durant la période précitée, l'Anem, un organisme public d'intermédiation entre les demandeurs d'emploi et les entreprises, a receptionné de la part de ces dernières 180.000 offres d'emplois, contre 145.000 à la même période en 2015, a détaillé M. Challal. Il précise, en outre, que parmi les activités dominantes proposant des emplois emergent celles des services, du bâtiment et des travaux publics, de l'industrie et enfin "avec une petite reprise" de l'agriculture. Désormais, rappelle M. Challal, le secteur de la Fonction publique n'est plus perçu comme un vecteur d'emploi, "ce sont, dit-il, les entreprises économiques qui l'ont suppléé". Il explique ce renversement de tendance par les nombreuses zones d'activités qui ont commencé à s'implanter dans de nombreuses wilayas, à l'exemple de celles de Bord-Bou-Arreridj, Sétif, Alger, Tizi-Ouzou, Bejaïa, Annaba ou bien encore Constantine. Parmi les autres raisons à l'origine de cette dynamique, l'intervenant signale la notable contribution d'opérateurs économiques, lesquels se sont mis à investir dans des créneaux monopolisés, jusqu'alors, par les importation de biens manufacturés, "qu'ils se sont mis à produire localement". Des quelque un million cent quarante mille demandeurs d'emploi recensées officiellement et non encore satisfaits, le DG de l'Anem impute cette situation au manque de formation de certains parmi eux, mais aussi à la pénibilité et aux faibles salaires proposés, notamment, dans les secteurs des travaux publics et de l'agriculture, en déficit pourtant de 500.000 et 800.000 postes à pourvoir. Durant la période précitée, l'Anem, un organisme public d'intermédiation entre les demandeurs d'emploi et les entreprises, a receptionné de la part de ces dernières 180.000 offres d'emplois, contre 145.000 à la même période en 2015, a détaillé M. Challal. Il précise, en outre, que parmi les activités dominantes proposant des emplois emergent celles des services, du bâtiment et des travaux publics, de l'industrie et enfin "avec une petite reprise" de l'agriculture. Désormais, rappelle M. Challal, le secteur de la Fonction publique n'est plus perçu comme un vecteur d'emploi, "ce sont, dit-il, les entreprises économiques qui l'ont suppléé". Il explique ce renversement de tendance par les nombreuses zones d'activités qui ont commencé à s'implanter dans de nombreuses wilayas, à l'exemple de celles de Bord-Bou-Arreridj, Sétif, Alger, Tizi-Ouzou, Bejaïa, Annaba ou bien encore Constantine. Parmi les autres raisons à l'origine de cette dynamique, l'intervenant signale la notable contribution d'opérateurs économiques, lesquels se sont mis à investir dans des créneaux monopolisés, jusqu'alors, par les importation de biens manufacturés, "qu'ils se sont mis à produire localement". Des quelque un million cent quarante mille demandeurs d'emploi recensées officiellement et non encore satisfaits, le DG de l'Anem impute cette situation au manque de formation de certains parmi eux, mais aussi à la pénibilité et aux faibles salaires proposés, notamment, dans les secteurs des travaux publics et de l'agriculture, en déficit pourtant de 500.000 et 800.000 postes à pourvoir.