"Taper à Mossoul, taper en Irak, c'est aussi assurer notre sécurité en France, voire globalement en Europe", a affirmé Jean-Yves Le Drian. "Taper à Mossoul, taper en Irak, c'est aussi assurer notre sécurité en France, voire globalement en Europe", a affirmé Jean-Yves Le Drian. Des avions français de la coalition internationale contre le groupe djihadiste Daech ont mené de nouvelles frappes dans la nuit de lundi à mardi contre l'organisation « aux environs de Mossoul », dans le nord-ouest de l'Irak, a annoncé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. « Il y a eu des frappes françaises cette nuit à Tal Afar, pas très loin de Mossoul », a déclaré Jean-Yves Le Drian mardi sur France Info. Ces bombardements ne sont pas les premiers depuis l'attentat du 14 juillet, qui a fait 84 morts à Nice, a-t-il précisé. « Nous avons frappé hier (lundi) ; (...) On ne le dit pas tous les jours, mais depuis que nous sommes dans la coalition, nous frappons tous les jours », a ajouté le ministre. L'aviation française a mené 770 frappes en Syrie et en Irak depuis l'engagement du pays dans la coalition, « ce qui fait que la France est le deuxième pays qui contribue aux frappes aériennes » après les Etats-Unis, selon le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Cibler les « épicentres » à Mossoul et à Raqqa « Taper à Mossoul, taper en Irak, c'est aussi assurer notre sécurité en France, voire globalement en Europe », a affirmé Jean-Yves Le Drian. Pour le ministre de la Défense, les pays membres de la coalition, qui se réunissent mercredi et jeudi à Washington, doivent « pousser jusqu'au bout l'offensive qui est en cours en Irak et en Syrie » en concentrant leurs frappes sur les « épicentres » de Daech à Mossoul et Raqqa, à partir desquels « s'organisent les commandos terroristes » du groupe. Cette offensive « progresse bien, Daech a perdu 40% de son territoire, a perdu beaucoup de combattants, a perdu beaucoup de ressources », a affirmé Jean-Yves Le Drian. « Il faut, donc, continuer cette pression (...) pour aboutir à (son) éradication définitive », a-t-il dit, tout en concédant que cette lutte prendra « encore Des avions français de la coalition internationale contre le groupe djihadiste Daech ont mené de nouvelles frappes dans la nuit de lundi à mardi contre l'organisation « aux environs de Mossoul », dans le nord-ouest de l'Irak, a annoncé le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. « Il y a eu des frappes françaises cette nuit à Tal Afar, pas très loin de Mossoul », a déclaré Jean-Yves Le Drian mardi sur France Info. Ces bombardements ne sont pas les premiers depuis l'attentat du 14 juillet, qui a fait 84 morts à Nice, a-t-il précisé. « Nous avons frappé hier (lundi) ; (...) On ne le dit pas tous les jours, mais depuis que nous sommes dans la coalition, nous frappons tous les jours », a ajouté le ministre. L'aviation française a mené 770 frappes en Syrie et en Irak depuis l'engagement du pays dans la coalition, « ce qui fait que la France est le deuxième pays qui contribue aux frappes aériennes » après les Etats-Unis, selon le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Cibler les « épicentres » à Mossoul et à Raqqa « Taper à Mossoul, taper en Irak, c'est aussi assurer notre sécurité en France, voire globalement en Europe », a affirmé Jean-Yves Le Drian. Pour le ministre de la Défense, les pays membres de la coalition, qui se réunissent mercredi et jeudi à Washington, doivent « pousser jusqu'au bout l'offensive qui est en cours en Irak et en Syrie » en concentrant leurs frappes sur les « épicentres » de Daech à Mossoul et Raqqa, à partir desquels « s'organisent les commandos terroristes » du groupe. Cette offensive « progresse bien, Daech a perdu 40% de son territoire, a perdu beaucoup de combattants, a perdu beaucoup de ressources », a affirmé Jean-Yves Le Drian. « Il faut, donc, continuer cette pression (...) pour aboutir à (son) éradication définitive », a-t-il dit, tout en concédant que cette lutte prendra « encore