En visite à Tizi-Ouzou, hier, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, est revenue une fois de plus sur la fraude au Bac 2016. "C'était une tentative terroriste pour abattre la société mais la société a relevé le défi. En visite à Tizi-Ouzou, hier, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, est revenue une fois de plus sur la fraude au Bac 2016. "C'était une tentative terroriste pour abattre la société mais la société a relevé le défi. C'était une mauvaise expérience que nous avons su transformer en victoire", a déclaré Mme Benghebrit. S'agissant des fraudeurs, la ministre a expliqué que "si les quatre personnes impliquées dans cette fraude ont été placées en détention provisoire et que si l'instruction suit toujours son cours, concernant les autres personnes qui ont partagé les sujets et les réponses sur les réseaux sociaux, il y a lieu de souligner que la fraude virtuelle n'existe pas dans le code pénal". Pour lutter contre ce genre de fraude, la ministre promet de nouvelles mesures. "À la rentrée, nous allons demander l'introduction de nouvelles dispositions dans le code pénal pour adapter ainsi la loi aux nouvelles technologies de l'information et surtout sanctionner les fraudeurs à tous les examens de l'éducation nationale". "Celui qui photographie un sujet et l'introduit sur un réseau social dix minutes après sa distribution doit être inquiété, même sévèrement sanctionné", soutient-elle. Mme Benghebrit a assuré ne pas avoir annoncé l'enseignement des matières scientifiques en langues étrangères, comme le prétend la rumeur. "L'enseignement se poursuivra dans la langue arabe mais la terminologie scientifique, en anglais et français notamment, sera introduite dans les manuels scolaires et dans des glossaires pour permettre aux élèves de participer aux tournois et concours à l'étranger et pour mieux les préparer pour les études universitaires". C'était une mauvaise expérience que nous avons su transformer en victoire", a déclaré Mme Benghebrit. S'agissant des fraudeurs, la ministre a expliqué que "si les quatre personnes impliquées dans cette fraude ont été placées en détention provisoire et que si l'instruction suit toujours son cours, concernant les autres personnes qui ont partagé les sujets et les réponses sur les réseaux sociaux, il y a lieu de souligner que la fraude virtuelle n'existe pas dans le code pénal". Pour lutter contre ce genre de fraude, la ministre promet de nouvelles mesures. "À la rentrée, nous allons demander l'introduction de nouvelles dispositions dans le code pénal pour adapter ainsi la loi aux nouvelles technologies de l'information et surtout sanctionner les fraudeurs à tous les examens de l'éducation nationale". "Celui qui photographie un sujet et l'introduit sur un réseau social dix minutes après sa distribution doit être inquiété, même sévèrement sanctionné", soutient-elle. Mme Benghebrit a assuré ne pas avoir annoncé l'enseignement des matières scientifiques en langues étrangères, comme le prétend la rumeur. "L'enseignement se poursuivra dans la langue arabe mais la terminologie scientifique, en anglais et français notamment, sera introduite dans les manuels scolaires et dans des glossaires pour permettre aux élèves de participer aux tournois et concours à l'étranger et pour mieux les préparer pour les études universitaires".