La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé avant-hier jeudi qu'aucune matière ne sera exclue des épreuves du baccalauréat et que les propositions examinées avec les partenaires sociaux seront soumises prochainement au Conseil des ministres. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé avant-hier jeudi qu'aucune matière ne sera exclue des épreuves du baccalauréat et que les propositions examinées avec les partenaires sociaux seront soumises prochainement au Conseil des ministres. Dans une déclaration à la presse en marge d'une rencontre avec les directeurs de l'Education nationale dans le cadre des préparatifs en prévision de la rentrée scolaire (2016/2017), prévue le 4 septembre, Mme Benghebrit a indiqué que les rumeurs faisant état de l'annulation de la matière "éducation islamique" de l'examen du baccalauréat étaient "infondées", ajoutant que "cette question n'a jamais été évoquée au niveau du ministère". Elle a précisé dans ce contexte que les points examinés avec les partenaires sociaux concernant l'examen du baccalauréat, portaient notamment sur "la non annulation d'aucune matière, le mode d'évaluation continue, la réduction des jours d'examen et l'application progressive des propositions". Ces propositions "seront réexaminées tout en tenant compte des observations soulevées lors du Conseil de gouvernement concernant cette question avant de les soumettre au Conseil des ministres", a-t-elle souligné. "On s'attend à d'autres rumeurs remettant en cause le travail accompli par le ministère d'autant plus que l'année 2017 sera marquée par des échéances politiques où certains tentent d'instrumentaliser l'école à leurs propres fins", a-t-elle déploré. "L'école doit être au-dessus de toute considération", car il s'agit, a-t-elle martelé, "d'un pari sociétal où notre seule référence sont la Constitution et le programme du président de la République". Concernant la deuxième génération des programmes scolaires à adopter à partir de la prochaine rentrée scolaire, la ministre a démenti tout retard dans le contenu qui a été révisé en 2009 et dont les objectifs avaient été présentés lors d'un symposium tenu en juillet 2015. Les "améliorations apportées aux programmes n'opèreront aucune modification profonde dans le secteur de l'Education", a insisté la ministre. Elle a annoncé une réunion avec les partenaires sociaux, mardi prochain, pour examiner des questions telles que la rentrée scolaire et le dossier de la retraite. Elle a en outre rappelé que 148.000 enseignants sur 700.000 candidats ont réussi au concours de recrutement d'enseignants, organisé en avril dernier, soulignant que les résultats du concours serviront de plateforme pour procéder au recrutement selon les besoins nationaux. Lors de sa réunion avec les directeurs de l'Education, la ministre a appelé à "réunir les conditions favorisant le travail" et à "gérer le secteur au niveau local dans la transparence en vue d'opérer le saut qualitatif escompté et de bâtir une école stable et de qualité dans un contexte de mondialisation et de mutations effrénées dans l'utilisation des technologies de l'information et de la communication". Mme Benghebrit a, par ailleurs, précisé que le cours inaugural de l'année scolaire 2016/2017 sera consacré à "La dimension humaine de certains héros de la glorieuse guerre de Libération". Dans une déclaration à la presse en marge d'une rencontre avec les directeurs de l'Education nationale dans le cadre des préparatifs en prévision de la rentrée scolaire (2016/2017), prévue le 4 septembre, Mme Benghebrit a indiqué que les rumeurs faisant état de l'annulation de la matière "éducation islamique" de l'examen du baccalauréat étaient "infondées", ajoutant que "cette question n'a jamais été évoquée au niveau du ministère". Elle a précisé dans ce contexte que les points examinés avec les partenaires sociaux concernant l'examen du baccalauréat, portaient notamment sur "la non annulation d'aucune matière, le mode d'évaluation continue, la réduction des jours d'examen et l'application progressive des propositions". Ces propositions "seront réexaminées tout en tenant compte des observations soulevées lors du Conseil de gouvernement concernant cette question avant de les soumettre au Conseil des ministres", a-t-elle souligné. "On s'attend à d'autres rumeurs remettant en cause le travail accompli par le ministère d'autant plus que l'année 2017 sera marquée par des échéances politiques où certains tentent d'instrumentaliser l'école à leurs propres fins", a-t-elle déploré. "L'école doit être au-dessus de toute considération", car il s'agit, a-t-elle martelé, "d'un pari sociétal où notre seule référence sont la Constitution et le programme du président de la République". Concernant la deuxième génération des programmes scolaires à adopter à partir de la prochaine rentrée scolaire, la ministre a démenti tout retard dans le contenu qui a été révisé en 2009 et dont les objectifs avaient été présentés lors d'un symposium tenu en juillet 2015. Les "améliorations apportées aux programmes n'opèreront aucune modification profonde dans le secteur de l'Education", a insisté la ministre. Elle a annoncé une réunion avec les partenaires sociaux, mardi prochain, pour examiner des questions telles que la rentrée scolaire et le dossier de la retraite. Elle a en outre rappelé que 148.000 enseignants sur 700.000 candidats ont réussi au concours de recrutement d'enseignants, organisé en avril dernier, soulignant que les résultats du concours serviront de plateforme pour procéder au recrutement selon les besoins nationaux. Lors de sa réunion avec les directeurs de l'Education, la ministre a appelé à "réunir les conditions favorisant le travail" et à "gérer le secteur au niveau local dans la transparence en vue d'opérer le saut qualitatif escompté et de bâtir une école stable et de qualité dans un contexte de mondialisation et de mutations effrénées dans l'utilisation des technologies de l'information et de la communication". Mme Benghebrit a, par ailleurs, précisé que le cours inaugural de l'année scolaire 2016/2017 sera consacré à "La dimension humaine de certains héros de la glorieuse guerre de Libération".