La levée de l'interdiction de l'importation des véhicules de moins de trois ans n'est pas du goût des concessionnaires automobiles algériens. La levée de l'interdiction de l'importation des véhicules de moins de trois ans n'est pas du goût des concessionnaires automobiles algériens. Dans un communiqué publié hier, l'Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A) met en garde le gouvernement contre les risques d'une tellemesure notamment sur le marché du véhicule, l'emploi, l'industrie automobile, l'environnement, la traçabilité des flux financiers, etc. L'AC2A, qui plaide pour un cadre réglementaire et une concertation avec les professionnels, cite "l'absence de traçabilité technique du véhicule assurant une conformité totale et sans faille avec la normalisation algérienne et l'absence de garantie technique du véhicule et les risques sécuritaires et de santé publique induits". Les concessionnaires algériens mettent en garde aussi contre "l'absence de traçabilité des flux financiers assurant un contrôle des masses monétaires mais aussi une bancarisation évitant ainsi les écueils de l'informel, et l'absence de collection de taxes au profit de l'Etat dans l'intérêt des citoyens algériens et des générations futures". L'AC2A souligne aussi le "risque sur la préservation de l'emploi" en Algérie. "Le secteur de l'automobile organisé et structuré représente plusieurs dizaines de milliers d'emplois directs et plus de cent mille emplois indirects", explique-t-elle. Pour cette association qui regroupe une quarantaine de concessionnaires représentant les plus grands constructeurs mondiaux, un retour à l'importation des véhicules de moins de trois ans va fragiliser « l'effort de développement d'une industrie automobile structurante », au moment où le gouvernement tente d'attirer les constructeurs automobiles pour investir dans la production. L'AC2A pointe aussi les risques de "dérives attendues en opposition à la politique de quotas, nécessaire dans l'environnement actuel, laissant se développer un marché parallèle incontrôlable". Enfin, l'AC2A s'interroge "sur le contrôle des sources d'approvisionnement et de leurs prix de référence, laissant apparaître le risque de dérives multiples et nombreuses, en opposition à un secteur structuré et contrôlé assurant son rôle de créateur d'emplois et de richesses au profit de notre pays et de ses citoyens". Dans un communiqué publié hier, l'Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A) met en garde le gouvernement contre les risques d'une tellemesure notamment sur le marché du véhicule, l'emploi, l'industrie automobile, l'environnement, la traçabilité des flux financiers, etc. L'AC2A, qui plaide pour un cadre réglementaire et une concertation avec les professionnels, cite "l'absence de traçabilité technique du véhicule assurant une conformité totale et sans faille avec la normalisation algérienne et l'absence de garantie technique du véhicule et les risques sécuritaires et de santé publique induits". Les concessionnaires algériens mettent en garde aussi contre "l'absence de traçabilité des flux financiers assurant un contrôle des masses monétaires mais aussi une bancarisation évitant ainsi les écueils de l'informel, et l'absence de collection de taxes au profit de l'Etat dans l'intérêt des citoyens algériens et des générations futures". L'AC2A souligne aussi le "risque sur la préservation de l'emploi" en Algérie. "Le secteur de l'automobile organisé et structuré représente plusieurs dizaines de milliers d'emplois directs et plus de cent mille emplois indirects", explique-t-elle. Pour cette association qui regroupe une quarantaine de concessionnaires représentant les plus grands constructeurs mondiaux, un retour à l'importation des véhicules de moins de trois ans va fragiliser « l'effort de développement d'une industrie automobile structurante », au moment où le gouvernement tente d'attirer les constructeurs automobiles pour investir dans la production. L'AC2A pointe aussi les risques de "dérives attendues en opposition à la politique de quotas, nécessaire dans l'environnement actuel, laissant se développer un marché parallèle incontrôlable". Enfin, l'AC2A s'interroge "sur le contrôle des sources d'approvisionnement et de leurs prix de référence, laissant apparaître le risque de dérives multiples et nombreuses, en opposition à un secteur structuré et contrôlé assurant son rôle de créateur d'emplois et de richesses au profit de notre pays et de ses citoyens".