Annoncée dimanche 18 septembre, l'enquête pour connaître les causes de la putréfaction de la viande de moutons sacrifiés à l'occasion de l'Aïd el-Adha, se poursuit. Annoncée dimanche 18 septembre, l'enquête pour connaître les causes de la putréfaction de la viande de moutons sacrifiés à l'occasion de l'Aïd el-Adha, se poursuit. Des échantillons sont actuellement en cours d'analyse au niveau du laboratoire spécialisé de la Gendarmerie nationale. Les résultats ne sont pas encore connus. Mais les enquêteurs sont sur des pistes, a-t-on appris de source proche de l'enquête. La piste la plus privilégiée concerne l'utilisation d'hormones de croissance, une pratique interdite en Algérie. Le phénomène a été signalé notamment à Alger, Boumerdès, Chlef, Constantine et Blida. Les soupçons s'orientent vers des éleveurs de la région de l'Ouest. Selon nos sources, le nombre de moutons concernés n'est pas élevé : sur 4,5 millions de bêtes sacrifiées durant l'Aïd, seules "quelques centaines ou milliers" sont concernées par l'anomalie. Des échantillons sont actuellement en cours d'analyse au niveau du laboratoire spécialisé de la Gendarmerie nationale. Les résultats ne sont pas encore connus. Mais les enquêteurs sont sur des pistes, a-t-on appris de source proche de l'enquête. La piste la plus privilégiée concerne l'utilisation d'hormones de croissance, une pratique interdite en Algérie. Le phénomène a été signalé notamment à Alger, Boumerdès, Chlef, Constantine et Blida. Les soupçons s'orientent vers des éleveurs de la région de l'Ouest. Selon nos sources, le nombre de moutons concernés n'est pas élevé : sur 4,5 millions de bêtes sacrifiées durant l'Aïd, seules "quelques centaines ou milliers" sont concernées par l'anomalie.