Le président de l'Autorité palestinienne a appelé jeudi les Nations unies à mettre un terme à l'occupation israélienne des territoires palestiniens en 2017. Il réclame également à Londres des excuses pour la déclaration Balfour, signée en 1917. L'année 2017 est riche en symboles pour l'Autorité palestinienne. Le président de l'Autorité palestinienne a appelé jeudi les Nations unies à mettre un terme à l'occupation israélienne des territoires palestiniens en 2017. Il réclame également à Londres des excuses pour la déclaration Balfour, signée en 1917. L'année 2017 est riche en symboles pour l'Autorité palestinienne. Cent ans plus tôt, la déclaration Balfour, établie par le ministre des Affaires étrangères britannique de l'époque, Arthur Balfour, préconisait l'établissement en Palestine d'un foyer national juif. Mahmoud Abbas a appelé, jeudi 22 septembre, les Nations unies, lors de l'Assemblée générale de l'organisation à New York, à faire de 2017 l'année de la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens. Il a également demandé au Royaume-Uni des excuses pour la signature de la déclaration Balfour ainsi que la reconnaissance par Londres de la Palestine en tant qu'Etat. Egalement présent lors de l'Assemblée générale des Nations unies, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a invité Mahoud Abbas à venir s'exprimer directement devant le parlement israélien, ajoutant que lui-même serait "ravi" de parler au parlement palestinien à Ramallah. Cent ans plus tôt, la déclaration Balfour, établie par le ministre des Affaires étrangères britannique de l'époque, Arthur Balfour, préconisait l'établissement en Palestine d'un foyer national juif. Mahmoud Abbas a appelé, jeudi 22 septembre, les Nations unies, lors de l'Assemblée générale de l'organisation à New York, à faire de 2017 l'année de la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens. Il a également demandé au Royaume-Uni des excuses pour la signature de la déclaration Balfour ainsi que la reconnaissance par Londres de la Palestine en tant qu'Etat. Egalement présent lors de l'Assemblée générale des Nations unies, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a invité Mahoud Abbas à venir s'exprimer directement devant le parlement israélien, ajoutant que lui-même serait "ravi" de parler au parlement palestinien à Ramallah.