Le Premier ministre du gouvernement d'union nationale libyen, Fayez al-Sarraj, a appelé à une initiative de réconciliation nationale pour mettre fin aux divisions dans son pays qui vit un chaos depuis 2011, dans une interview accordée à l'agence de presse britannique, Reuters. Le Premier ministre du gouvernement d'union nationale libyen, Fayez al-Sarraj, a appelé à une initiative de réconciliation nationale pour mettre fin aux divisions dans son pays qui vit un chaos depuis 2011, dans une interview accordée à l'agence de presse britannique, Reuters. "Nous avons besoin d'une véritable réconciliation entre les Libyens à l'intérieur et à l'étranger. Il n'y aura exclusion d'aucune faction politique" a indiqué Fayez al-Serraj à Reuters, affirmant que "la réconciliation fournira la stabilité politique, ce qui permettra une stabilité économique". A l'est du pays, les forces armées menées par le général Khalifa Haftar refusent l'autorité de Tripoli et résistent aux efforts du GNA pour les intégrer à l'armée nationale libyenne. Le Parlement basé à l'Est a rejeté à deux reprises des listes de ministres présentées par la direction du GNA, censée représenter toutes les factions politiques de la Libye. Fayez al-Serraj a déclaré dans la même interview, qu'il attendait la fin des négociations, dans les prochaines semaines, pour former un nouveau gouvernement. Fayez al-Serraj a indiqué à Reuters que la bataille contre les terroristes du groupe autoproclamé Daech est à sa fin dans leur ancien fief à Syrte, notant toutefois que les bombardements et les mines antipersonnel "posent encore un défi". Le Premier ministre libyen avait souligné, à new York, l'importance d'une armée unifiée seule à même "d'assurer la sécurité et de défendre le pays contre le terrorisme". "Nous avons besoin d'une véritable réconciliation entre les Libyens à l'intérieur et à l'étranger. Il n'y aura exclusion d'aucune faction politique" a indiqué Fayez al-Serraj à Reuters, affirmant que "la réconciliation fournira la stabilité politique, ce qui permettra une stabilité économique". A l'est du pays, les forces armées menées par le général Khalifa Haftar refusent l'autorité de Tripoli et résistent aux efforts du GNA pour les intégrer à l'armée nationale libyenne. Le Parlement basé à l'Est a rejeté à deux reprises des listes de ministres présentées par la direction du GNA, censée représenter toutes les factions politiques de la Libye. Fayez al-Serraj a déclaré dans la même interview, qu'il attendait la fin des négociations, dans les prochaines semaines, pour former un nouveau gouvernement. Fayez al-Serraj a indiqué à Reuters que la bataille contre les terroristes du groupe autoproclamé Daech est à sa fin dans leur ancien fief à Syrte, notant toutefois que les bombardements et les mines antipersonnel "posent encore un défi". Le Premier ministre libyen avait souligné, à new York, l'importance d'une armée unifiée seule à même "d'assurer la sécurité et de défendre le pays contre le terrorisme".