Le ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé de l'Economie numérique et de la Modernisation des systèmes financiers, Moutassem Boudiaf, a indiqué à Alger, que le système télépaiement, permettant aux entreprises de payer leurs impôts à distance, sera lancé avant fin 2016. Le ministre délégué auprès du ministre des Finances, chargé de l'Economie numérique et de la Modernisation des systèmes financiers, Moutassem Boudiaf, a indiqué à Alger, que le système télépaiement, permettant aux entreprises de payer leurs impôts à distance, sera lancé avant fin 2016. Cette mesure, qui entre dans le cadre de la modernisation de l'administration fiscale, sera généralisée durant le deuxième trimestre de 2017 a précisé M. Boudiaf qui intervenait au Forum d'El Moudjahid, en soulignant que la modernisation des systèmes financiers, notamment le système bancaire, est au centre des préoccupations du gouvernement. Cet intérêt, a-t-il noté, s'est traduit par la mise en place de nouveaux modes de paiement affirmant que toutes les conditions sont réunies pour que ce programme de modernisation soit engagé d'une manière "rapide". Revenant au paiement électronique ou "epaiment" lancé la semaine dernière, M. Boudiaf a souligné qu'il s'agit d'une étape dans le développement des nouveaux modes de paiement, en affirmant que la loi sur le e-commerce sera présentée prochainement à l'Assemblée populaire nationale (APN). Pour le moment, neuf entreprises (web marchands) ont ouvert le service du epaiement à leurs clients. Il s'agit de : Algérie Télécom, Mobilis, Air Algérie, Tassili Airlines, la CNAS, Société des eaux et d'assainissement d'Alger (SEAAL), Djezzy, Ooredoo et Amana Assurances, a-t-il rappelé. Il a ajouté que leur nombre devrait augmenter et que des pourparlers ont été entamés avec d'autres sociétés publiques à l'instar de Sonelgaz, et l'AADL. Ce service permet d'effectuer à distance, via internet en toute sécurité et rapidité, des opérations d'achat de biens et/ou de services auprès des sites marchands des entreprises qui acceptent le paiement en ligne par cartes interbancaires (CIB). Tout client possédant un compte bancaire, peut se rapprocher de son agence bancaire pour demander une carte CIB, s'il ne l'a pas déjà. Pour ceux qui disposent d'une carte CIB, ils doivent également se rapprocher de leur agence bancaire pour demander l'ouverture du e-paiement sur leur carte CIB. Le ministre délégué a expliqué que pour avoir sa carte, les demandes de cette carte et les mots de passe peuvent être formulés au portail BITAKATI.DZ, dédié à cet effet. "Nous avons actuellement 1.300.000 cartes de paiement en circulation. Ce portail facilite et établit le contact entre l'agence et le porteur de la carte", a-t-il dit en ajoutant que depuis le lancement de la procédure e-paiement, il y a une semaine, 260 transactions sur Internet ont été recensées. M. Boudiaf s'est montré optimiste quand au succès de ce système de paiement. Selon lui, le paiement électronique est un moyen qui facilitera la tâche aux citoyens, notamment pour le paiement des factures. Selon lui, le e-paiement commence à susciter l'intérêt, puisque treize banques dont six publiques et sept assurent à leur clientèle le service de paiement électronique. Il y avait onze banques lors du lancement de l'opération mardi passé. Outre le gain du temps, le e-paiement offre à ses utilisateurs une grande sécurité, que ce soit en terme de continuité du service, l'intégrité et l'intégralité de l'information ou la lutte contre la fraude, a assuré M. Boudiaf. Une campagne de sensibilisation sur l'intérêt du e-paiement sera lancée dans les prochains jours via les médias et les réseaux sociaux. Cette mesure, qui entre dans le cadre de la modernisation de l'administration fiscale, sera généralisée durant le deuxième trimestre de 2017 a précisé M. Boudiaf qui intervenait au Forum d'El Moudjahid, en soulignant que la modernisation des systèmes financiers, notamment le système bancaire, est au centre des préoccupations du gouvernement. Cet intérêt, a-t-il noté, s'est traduit par la mise en place de nouveaux modes de paiement affirmant que toutes les conditions sont réunies pour que ce programme de modernisation soit engagé d'une manière "rapide". Revenant au paiement électronique ou "epaiment" lancé la semaine dernière, M. Boudiaf a souligné qu'il s'agit d'une étape dans le développement des nouveaux modes de paiement, en affirmant que la loi sur le e-commerce sera présentée prochainement à l'Assemblée populaire nationale (APN). Pour le moment, neuf entreprises (web marchands) ont ouvert le service du epaiement à leurs clients. Il s'agit de : Algérie Télécom, Mobilis, Air Algérie, Tassili Airlines, la CNAS, Société des eaux et d'assainissement d'Alger (SEAAL), Djezzy, Ooredoo et Amana Assurances, a-t-il rappelé. Il a ajouté que leur nombre devrait augmenter et que des pourparlers ont été entamés avec d'autres sociétés publiques à l'instar de Sonelgaz, et l'AADL. Ce service permet d'effectuer à distance, via internet en toute sécurité et rapidité, des opérations d'achat de biens et/ou de services auprès des sites marchands des entreprises qui acceptent le paiement en ligne par cartes interbancaires (CIB). Tout client possédant un compte bancaire, peut se rapprocher de son agence bancaire pour demander une carte CIB, s'il ne l'a pas déjà. Pour ceux qui disposent d'une carte CIB, ils doivent également se rapprocher de leur agence bancaire pour demander l'ouverture du e-paiement sur leur carte CIB. Le ministre délégué a expliqué que pour avoir sa carte, les demandes de cette carte et les mots de passe peuvent être formulés au portail BITAKATI.DZ, dédié à cet effet. "Nous avons actuellement 1.300.000 cartes de paiement en circulation. Ce portail facilite et établit le contact entre l'agence et le porteur de la carte", a-t-il dit en ajoutant que depuis le lancement de la procédure e-paiement, il y a une semaine, 260 transactions sur Internet ont été recensées. M. Boudiaf s'est montré optimiste quand au succès de ce système de paiement. Selon lui, le paiement électronique est un moyen qui facilitera la tâche aux citoyens, notamment pour le paiement des factures. Selon lui, le e-paiement commence à susciter l'intérêt, puisque treize banques dont six publiques et sept assurent à leur clientèle le service de paiement électronique. Il y avait onze banques lors du lancement de l'opération mardi passé. Outre le gain du temps, le e-paiement offre à ses utilisateurs une grande sécurité, que ce soit en terme de continuité du service, l'intégrité et l'intégralité de l'information ou la lutte contre la fraude, a assuré M. Boudiaf. Une campagne de sensibilisation sur l'intérêt du e-paiement sera lancée dans les prochains jours via les médias et les réseaux sociaux.