Trois mois seulement après sa désignation à la tête de la barre technique des Verts, l'entraîneur serbe Milovan Rajevac quitte la sélection algérienne et ouvre grande la porte à la spéculation. Trois mois seulement après sa désignation à la tête de la barre technique des Verts, l'entraîneur serbe Milovan Rajevac quitte la sélection algérienne et ouvre grande la porte à la spéculation. La désignation de l'entraîneur serbe Milovan Rajevac à la tête de la sélection nationale de football n'a pas fait l'unanimité chez les spécialistes en la matière en Algérie, et son départ crée une divergence chez les mêmes spécialistes. Ayant succédé à Christian Gourcuff, parti à l'amiable en avril dernier à l'issue de la double confrontation face à l'Ethiopie, le technicien serbe Milovan Rajevac savait pertinemment que sa tâche allait être difficile. ‘'Le choix de la FAF a été influencé. Certains joueurs ont exercé une certaine pression sur Raouraoua. Ce que nous ne faisons pas à notre époque. On peut se passer de trois voire même quatre joueurs, mais pas au point de résilier le contrat de l'entraîneur'', a indiqué l'ancien joueur de l'équipe nationale Lakhder Beloumi. Le même son de cloche chez Mustapha Kouici qui confirme que l'instance nationale devrait donner une autre chance à cet entraîneur avant de prendre une telle décision. ‘'La sélection nationale va jouer un autre match décisif le 12 novembre prochain. Limoger l'entraîneur à un mois du prochain match ne constitue pas une décision réfléchie. La FAF devait donner une deuxième chance à cet entraîneur lors de cette rencontre face au Nigeria. A partir de là, on peut faire un quiconque jugement'', a-t-il déclaré. D'autres techniciens ont justifié leur avis par l'handicap de la langue. ‘'La Fédération algérienne de football qui avait annoncé que le critère de la langue est primordial dans son choix n'a pas respecté ce critère'', ont-ils dit. Le Cameroun, la goutte qui a fait déborder le vase Le départ du sélectionneur serbe Milovan Rajevac ne constitue pas une surprise pour la plupart. Le match nul à domicile face au Cameroun (1-1), comptant pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 en Russie, n'était que la goutte qui a fait déborder le vase. D'abord, la communication ne circule pas bien entre joueurs et le staff technique. L'interprète, selon les spécialistes, ne peut pas transmettre à la lettre le message de l'entraîneur. Même si le technicien serbe Rajevac avait indiqué lors d'un point de presse que ‘'la langue ne devrait pas constituer un handicap. J'ai un traducteur avec moi qui n'est autre que mon adjoint. J'ai appris aussi que la plupart des joueurs de la sélection algérienne comprennent l'anglais. Et puis, je vais faire un effort pour apprendre le français'', a-t-il indiqué. Mais la réalité du terrain est toute autre. Et l'absence de cet entraîneur des terrains pendant cinq longues années n'est pas à sa faveur. Certes, il a réussi une bonne expérience avec le Ghana, mais les observateurs ont qualifié de ‘'limitées'' ses qualités. L'incorporation de certains joueurs qui manquaient d'un temps de jeu flagrant à l'image de Mbolhi, Zefane, Boudebouz et autres et l'absence de Feghouli, Brahimi et autres joueurs qui affichaient la bonne forme a fait couler beaucoup d'encre. Une chose est sûre, beaucoup de paramètres ont motivé le choix de la Fédération algérienne de football pour prendre une telle décision. Neghiz et Mansouri pour préparer le match face au Nigeria La Fédération algérienne a désigné encore une fois l'entraîneur adjoint Nabil Neghiz et Yazid Mansouri pour s'occuper des affaires techniques de la sélection nationale. Ce duo est appelé à préparer l'équipe pour la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 en Russie contre le Nigeria. La sélection algérienne, qui n'a pas réussi sa première sortie face au Cameroun, est appelée à gagner cette sortie même si elle s'annonce très difficile au Nigeria. Pendant toute cette période, ce sont Mansouri et Neghiz qui vont s'occuper de l'équipe avant de designer un nouveau sélectionneur pour l'équipe. Le nouvel entraîneur pourra être désigné juste après le match face au Nigeria. Le président de la FAF Mohamed Raouraoua aura suffisamment de temps pour faire un bon choix d'entraîneur puisque les éliminatoires du Mondial russe vont se poursuivre au mois d'août 2017. La désignation de l'entraîneur serbe Milovan Rajevac à la tête de la sélection nationale de football n'a pas fait l'unanimité chez les spécialistes en la matière en Algérie, et son départ crée une divergence chez les mêmes spécialistes. Ayant succédé à Christian Gourcuff, parti à l'amiable en avril dernier à l'issue de la double confrontation face à l'Ethiopie, le technicien serbe Milovan Rajevac savait pertinemment que sa tâche allait être difficile. ‘'Le choix de la FAF a été influencé. Certains joueurs ont exercé une certaine pression sur Raouraoua. Ce que nous ne faisons pas à notre époque. On peut se passer de trois voire même quatre joueurs, mais pas au point de résilier le contrat de l'entraîneur'', a indiqué l'ancien joueur de l'équipe nationale Lakhder Beloumi. Le même son de cloche chez Mustapha Kouici qui confirme que l'instance nationale devrait donner une autre chance à cet entraîneur avant de prendre une telle décision. ‘'La sélection nationale va jouer un autre match décisif le 12 novembre prochain. Limoger l'entraîneur à un mois du prochain match ne constitue pas une décision réfléchie. La FAF devait donner une deuxième chance à cet entraîneur lors de cette rencontre face au Nigeria. A partir de là, on peut faire un quiconque jugement'', a-t-il déclaré. D'autres techniciens ont justifié leur avis par l'handicap de la langue. ‘'La Fédération algérienne de football qui avait annoncé que le critère de la langue est primordial dans son choix n'a pas respecté ce critère'', ont-ils dit. Le Cameroun, la goutte qui a fait déborder le vase Le départ du sélectionneur serbe Milovan Rajevac ne constitue pas une surprise pour la plupart. Le match nul à domicile face au Cameroun (1-1), comptant pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 en Russie, n'était que la goutte qui a fait déborder le vase. D'abord, la communication ne circule pas bien entre joueurs et le staff technique. L'interprète, selon les spécialistes, ne peut pas transmettre à la lettre le message de l'entraîneur. Même si le technicien serbe Rajevac avait indiqué lors d'un point de presse que ‘'la langue ne devrait pas constituer un handicap. J'ai un traducteur avec moi qui n'est autre que mon adjoint. J'ai appris aussi que la plupart des joueurs de la sélection algérienne comprennent l'anglais. Et puis, je vais faire un effort pour apprendre le français'', a-t-il indiqué. Mais la réalité du terrain est toute autre. Et l'absence de cet entraîneur des terrains pendant cinq longues années n'est pas à sa faveur. Certes, il a réussi une bonne expérience avec le Ghana, mais les observateurs ont qualifié de ‘'limitées'' ses qualités. L'incorporation de certains joueurs qui manquaient d'un temps de jeu flagrant à l'image de Mbolhi, Zefane, Boudebouz et autres et l'absence de Feghouli, Brahimi et autres joueurs qui affichaient la bonne forme a fait couler beaucoup d'encre. Une chose est sûre, beaucoup de paramètres ont motivé le choix de la Fédération algérienne de football pour prendre une telle décision. Neghiz et Mansouri pour préparer le match face au Nigeria La Fédération algérienne a désigné encore une fois l'entraîneur adjoint Nabil Neghiz et Yazid Mansouri pour s'occuper des affaires techniques de la sélection nationale. Ce duo est appelé à préparer l'équipe pour la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2018 en Russie contre le Nigeria. La sélection algérienne, qui n'a pas réussi sa première sortie face au Cameroun, est appelée à gagner cette sortie même si elle s'annonce très difficile au Nigeria. Pendant toute cette période, ce sont Mansouri et Neghiz qui vont s'occuper de l'équipe avant de designer un nouveau sélectionneur pour l'équipe. Le nouvel entraîneur pourra être désigné juste après le match face au Nigeria. Le président de la FAF Mohamed Raouraoua aura suffisamment de temps pour faire un bon choix d'entraîneur puisque les éliminatoires du Mondial russe vont se poursuivre au mois d'août 2017.