Les membres de la diaspora algérienne, représentée par des chercheurs, des professeurs et des universitaires établis au Canada se sont dits, hier à Alger, "disposés" à collaborer avec leurs compatriotes en Algérie pour établir des partenariats et aider par la même occasion leur pays, l'Algérie. Les membres de la diaspora algérienne, représentée par des chercheurs, des professeurs et des universitaires établis au Canada se sont dits, hier à Alger, "disposés" à collaborer avec leurs compatriotes en Algérie pour établir des partenariats et aider par la même occasion leur pays, l'Algérie. Ces Algériens qui exercent au Canada se sont exprimés dans des déclarations en marge de la première édition des Journées scientifiques et culturelles des membres de la communauté algérienne établie au Canada, organisée dans l'objectif d'établir un partenariat avec la diaspora algérienne. A ce titre, le vice-recteur de l'université de Ryerson, Mohamed Lachemi a salué l'initiative d'organiser cette rencontre qui est à même d'ouvrir, a-t-il dit, "des perspectives pour des collaborations entre chercheurs et universitaires algériens établis au Canada et leurs collègues en Algérie". Dans le même sens, Hocine Yahia, professeur en génie biomédical et directeur d'innovation et de la bio performance à l'Ecole polytechnique de Montréal, a émis le souhait de mettre en place un réseau avec les chercheurs algériens afin de collaborer avec eux. Titulaire d'un PHD en biomédical, il a estimé que "cette rencontre permet d'établir un contact direct avec le pays", réitérant son "souhait d'apporter une contribution dans la recherche médicale". Il a fait savoir que l'organisme où il exerce au Canada dispose d'un large réseau de collaborations au niveau mondial, souhaitant à cet effet d'intégrer l'Algérie dans ce réseau. Il a expliqué que le Canada est ouvert sur le monde et collabore avec plusieurs pays, relevant qu'il a déjà aidé les Tunisiens dans le cadre de la mise en place d'un institut de recherche. De son côté, M'hamed Bentourkia, professeur agrégé relevant du département de médecine nucléaire et radiologie de l'institut de pharmacologie de l'université de Sherbrooke (Canada), a indiqué qu'il est disposé à apporter toute sa contribution en faveur de la médecine en Algérie, notamment dans son domaine qui concerne, a-t-il expliqué, la détection des cancers et l'imagerie médicale moléculaire. Ces Algériens qui exercent au Canada se sont exprimés dans des déclarations en marge de la première édition des Journées scientifiques et culturelles des membres de la communauté algérienne établie au Canada, organisée dans l'objectif d'établir un partenariat avec la diaspora algérienne. A ce titre, le vice-recteur de l'université de Ryerson, Mohamed Lachemi a salué l'initiative d'organiser cette rencontre qui est à même d'ouvrir, a-t-il dit, "des perspectives pour des collaborations entre chercheurs et universitaires algériens établis au Canada et leurs collègues en Algérie". Dans le même sens, Hocine Yahia, professeur en génie biomédical et directeur d'innovation et de la bio performance à l'Ecole polytechnique de Montréal, a émis le souhait de mettre en place un réseau avec les chercheurs algériens afin de collaborer avec eux. Titulaire d'un PHD en biomédical, il a estimé que "cette rencontre permet d'établir un contact direct avec le pays", réitérant son "souhait d'apporter une contribution dans la recherche médicale". Il a fait savoir que l'organisme où il exerce au Canada dispose d'un large réseau de collaborations au niveau mondial, souhaitant à cet effet d'intégrer l'Algérie dans ce réseau. Il a expliqué que le Canada est ouvert sur le monde et collabore avec plusieurs pays, relevant qu'il a déjà aidé les Tunisiens dans le cadre de la mise en place d'un institut de recherche. De son côté, M'hamed Bentourkia, professeur agrégé relevant du département de médecine nucléaire et radiologie de l'institut de pharmacologie de l'université de Sherbrooke (Canada), a indiqué qu'il est disposé à apporter toute sa contribution en faveur de la médecine en Algérie, notamment dans son domaine qui concerne, a-t-il expliqué, la détection des cancers et l'imagerie médicale moléculaire.