Le ministère du Commerce a adressé hier une nouvelle mise en demeure aux concessionnaires automobiles pour réaliser un investissement industriel ou semi-industriel lié à l'activité automobile. Le ministère du Commerce a adressé hier une nouvelle mise en demeure aux concessionnaires automobiles pour réaliser un investissement industriel ou semi-industriel lié à l'activité automobile. Dans cette note, dont nous détenons une copie, le département de Bakhti Belaib rappelle que l'article 52 de la loi de finances 2014 exige des concessionnaires automobiles agréés «de réaliser un investissement industriel ou semiindustriel lié à leur activité automobile ». « Cet investissement doit être réalisé dans un délai de trois ans à compter du 1er janvier 2014 pour les concessionnaires en activité et à partir de la date de l'agrément définitif pour les autres concessionnaires », explique la note. Le ministère du Commerce avertit que les concessionnaires n'ayant pas réalisé une activité industrielle seront soumis au retrait de l'agrément, et de ce fait ne seront pas éligibles à l'octroi des licences d'importations véhicules, en 2017, selon le ministère du Commerce. Selon nos sources, sur la quarantaine de concessionnaires agréés, une dizaine seulement ont pu obtenir du ministère de l'Industrie et des Mines l'autorisation de lancer des usines de montage de véhicules ou de fabrication de pièces de rechange. Dans cette note, dont nous détenons une copie, le département de Bakhti Belaib rappelle que l'article 52 de la loi de finances 2014 exige des concessionnaires automobiles agréés «de réaliser un investissement industriel ou semiindustriel lié à leur activité automobile ». « Cet investissement doit être réalisé dans un délai de trois ans à compter du 1er janvier 2014 pour les concessionnaires en activité et à partir de la date de l'agrément définitif pour les autres concessionnaires », explique la note. Le ministère du Commerce avertit que les concessionnaires n'ayant pas réalisé une activité industrielle seront soumis au retrait de l'agrément, et de ce fait ne seront pas éligibles à l'octroi des licences d'importations véhicules, en 2017, selon le ministère du Commerce. Selon nos sources, sur la quarantaine de concessionnaires agréés, une dizaine seulement ont pu obtenir du ministère de l'Industrie et des Mines l'autorisation de lancer des usines de montage de véhicules ou de fabrication de pièces de rechange.