Un traitement indiqué dans les infections vulvo-vaginite datant depuis plus de 40 ans était au centre de l'intérêt du 12e congrès International de l'Association algérienne des gynécologues-obstétriciens privés du Centre (l'ARGOPC) tenue avant-hier au Palais de la culture d'Alger. Un traitement indiqué dans les infections vulvo-vaginite datant depuis plus de 40 ans était au centre de l'intérêt du 12e congrès International de l'Association algérienne des gynécologues-obstétriciens privés du Centre (l'ARGOPC) tenue avant-hier au Palais de la culture d'Alger. A cet effet, deux communications, la première du Pr Mokrane Medjtoh Chef de service de gynécologie -obstétrique du CHU Nafissa Hamoud- Alger (Ex- Parnet) portant sur la résistance des champignons (mycoses) dans les vulvovaginites mycosiques et la seconde du Pr Jean-Marc Bohbot Directeur médical à l'Institut Fournier – Paris (France) relative a la sous-estimation des vaginites mixtes (mycoses + bactéries) sont au menu de cette rencontre scientifique. Le Pr Medjtoh mettra en évidence qu'il existe un traitement de choix pour le traitement des vulvo-vaginites mycosiques par rapport aux azolés et ce pour son faible taux de résistance moins de 1% par rapport aux azolés dont la résistance atteint parfois les 80%. A la question si l'utilisation d'un traitement local mixte (antibiotiques-antifongique) était justifiée, le Pr Jean-Marc Bohbot énonce qu'un traitement d'épreuve doit être prescrit en 1ère intention, soit dans l'attente de résultats, soit parce qu'un prélèvement n'a pas été pratiqué. Il en ressort de ses études que dans 34% des cas, la vaginite était exclusivement bactérienne ou bien combinée mycosique + bactérienne ce qui explique le taux élevé d'échecs thérapeutiques ou de rechutes en cas de traitement avec les azolés. L'utilisation d'un antibiotique associé à un antifongique traite efficacement les vaginites infectieuses dans le respect de la nature féminine enregistré en France et dans 73 autres pays. Ce traitement combiné sera disponible en Algérie a partir du mois prochain après une absence de plus de deux ans. Aussi, le retour en officine de ce produit est le fruit d'un partenariat réussi avec un site de production local, laisse entendre le Dr Karim Achaibou. A cet effet, deux communications, la première du Pr Mokrane Medjtoh Chef de service de gynécologie -obstétrique du CHU Nafissa Hamoud- Alger (Ex- Parnet) portant sur la résistance des champignons (mycoses) dans les vulvovaginites mycosiques et la seconde du Pr Jean-Marc Bohbot Directeur médical à l'Institut Fournier – Paris (France) relative a la sous-estimation des vaginites mixtes (mycoses + bactéries) sont au menu de cette rencontre scientifique. Le Pr Medjtoh mettra en évidence qu'il existe un traitement de choix pour le traitement des vulvo-vaginites mycosiques par rapport aux azolés et ce pour son faible taux de résistance moins de 1% par rapport aux azolés dont la résistance atteint parfois les 80%. A la question si l'utilisation d'un traitement local mixte (antibiotiques-antifongique) était justifiée, le Pr Jean-Marc Bohbot énonce qu'un traitement d'épreuve doit être prescrit en 1ère intention, soit dans l'attente de résultats, soit parce qu'un prélèvement n'a pas été pratiqué. Il en ressort de ses études que dans 34% des cas, la vaginite était exclusivement bactérienne ou bien combinée mycosique + bactérienne ce qui explique le taux élevé d'échecs thérapeutiques ou de rechutes en cas de traitement avec les azolés. L'utilisation d'un antibiotique associé à un antifongique traite efficacement les vaginites infectieuses dans le respect de la nature féminine enregistré en France et dans 73 autres pays. Ce traitement combiné sera disponible en Algérie a partir du mois prochain après une absence de plus de deux ans. Aussi, le retour en officine de ce produit est le fruit d'un partenariat réussi avec un site de production local, laisse entendre le Dr Karim Achaibou.