Rachid Nekkaz reprend encore une fois son bâton de pèlerin, en annonçant la couleur sur son compte Facebook, et ce, en joignant l'acte à la parole. Rachid Nekkaz reprend encore une fois son bâton de pèlerin, en annonçant la couleur sur son compte Facebook, et ce, en joignant l'acte à la parole. Cette fois-ci, ce n'est pas une action pour dénoncer les «déboires» de telle ou telle personnalité, comme il a l'habitude d'occuper le terrain, tout en appelant la société civile de prendre acte, mais cette fois-ci, c'est le revers de la médaille, les rôles se sont inversés, l'homme qui veut incarner le changement doit prouver son innocence et défendre sa crédibilité en tant que telle et mettre son adversaire devant le fait accompli. Donc, le président du Mouvement pour la jeunesse et le changement, qui attend toujours son agrément, a décidé d'ester en justice l'exsecrétaire général du FLN, Amar Saâdani. Le motif qui l'a poussé à se manifester est qu'un certain 5 octobre de l'année en cours, Amar Saâdani a accusé devant les cadres du FLN et des ministres, que Rachid Nekkaz a été recruté par l'ex-patron du DRS, le général Toufik, dans le but de chahuter les élections présidentielles de 2014. Des propos très graves, suite auxquels Rachid Nekkaz avait fait la promesse d'entamer des poursuites, si Saâdani ne se rétractait pas avant le 1er novembre. Cet activiste politique et ex-candidat à la présidentielle 2014 dit avoir donné suffisamment de temps pour Amar Saâdani afin qu'il présente ses excuses. Tout en le mettant au défi de fournir «une once de preuve» de ses accusations. Mais, Amar Saâdani, ne l'entend pas de cette oreille. Il semble être pris par les événements au sein de la famille du Front, ou peut être, il n'y a même pas donné d'importance. L'ultimatum lancé par Rachid Nekkaz à Amar Saâdani a pris fin hier mercredi. L'ex-secrétaire général du FLN n'a pas présenté ses excuses pour ses accusations graves proférées à l'encontre de Rachid Nekkaz. Et ce dernier décide ainsi de faire valoir ses droits devant la justice au tribunal de Bir Mourad Raïs à Alger», a assuré Rachid Nekkaz sur sa page Facebook. Que faut-il retenir de cette action de Nekkaz ? D'abord l'homme, en dépit de sa brève expérience dans le domaine politique, a compris rapidement que l'opposition des communiqués et des salons ne mène à rien en Algérie. Que ce chemin pris par la plupart des partis de l'opposition, sinon tous, est sans issue et arrange surtout parfaitement le pouvoir. Ce dernier peut toujours exhiber les communiqués de l'opposition pour dire à la communauté internationale : « Regardez, nous avons une opposition très virulente ! ». Pour cette énième action, Rachid Nekkaz va-t-il réussir à traîner devant les tribunaux l'ex-secrétaire général du FLN ? Sa plainte sera-t-elle acceptée ? Connaîtra-t-elle une suite normale ? On le saura bientôt. En tout cas, Rachid Nekkaz, ne compte pas baisser les bras et se dit déterminé à aller jusqu'au bout de son action. Cette fois-ci, ce n'est pas une action pour dénoncer les «déboires» de telle ou telle personnalité, comme il a l'habitude d'occuper le terrain, tout en appelant la société civile de prendre acte, mais cette fois-ci, c'est le revers de la médaille, les rôles se sont inversés, l'homme qui veut incarner le changement doit prouver son innocence et défendre sa crédibilité en tant que telle et mettre son adversaire devant le fait accompli. Donc, le président du Mouvement pour la jeunesse et le changement, qui attend toujours son agrément, a décidé d'ester en justice l'exsecrétaire général du FLN, Amar Saâdani. Le motif qui l'a poussé à se manifester est qu'un certain 5 octobre de l'année en cours, Amar Saâdani a accusé devant les cadres du FLN et des ministres, que Rachid Nekkaz a été recruté par l'ex-patron du DRS, le général Toufik, dans le but de chahuter les élections présidentielles de 2014. Des propos très graves, suite auxquels Rachid Nekkaz avait fait la promesse d'entamer des poursuites, si Saâdani ne se rétractait pas avant le 1er novembre. Cet activiste politique et ex-candidat à la présidentielle 2014 dit avoir donné suffisamment de temps pour Amar Saâdani afin qu'il présente ses excuses. Tout en le mettant au défi de fournir «une once de preuve» de ses accusations. Mais, Amar Saâdani, ne l'entend pas de cette oreille. Il semble être pris par les événements au sein de la famille du Front, ou peut être, il n'y a même pas donné d'importance. L'ultimatum lancé par Rachid Nekkaz à Amar Saâdani a pris fin hier mercredi. L'ex-secrétaire général du FLN n'a pas présenté ses excuses pour ses accusations graves proférées à l'encontre de Rachid Nekkaz. Et ce dernier décide ainsi de faire valoir ses droits devant la justice au tribunal de Bir Mourad Raïs à Alger», a assuré Rachid Nekkaz sur sa page Facebook. Que faut-il retenir de cette action de Nekkaz ? D'abord l'homme, en dépit de sa brève expérience dans le domaine politique, a compris rapidement que l'opposition des communiqués et des salons ne mène à rien en Algérie. Que ce chemin pris par la plupart des partis de l'opposition, sinon tous, est sans issue et arrange surtout parfaitement le pouvoir. Ce dernier peut toujours exhiber les communiqués de l'opposition pour dire à la communauté internationale : « Regardez, nous avons une opposition très virulente ! ». Pour cette énième action, Rachid Nekkaz va-t-il réussir à traîner devant les tribunaux l'ex-secrétaire général du FLN ? Sa plainte sera-t-elle acceptée ? Connaîtra-t-elle une suite normale ? On le saura bientôt. En tout cas, Rachid Nekkaz, ne compte pas baisser les bras et se dit déterminé à aller jusqu'au bout de son action.