Abdelaziz Belkhadem, accusé mercredi 5 octobre par Amar Saâdani d'avoir été "lui et sa famille à la solde de la France durant la guerre de Libération nationale", a qualifié les propos du SG du FLN "d'ordures", selon le site d'information TSA. Abdelaziz Belkhadem, accusé mercredi 5 octobre par Amar Saâdani d'avoir été "lui et sa famille à la solde de la France durant la guerre de Libération nationale", a qualifié les propos du SG du FLN "d'ordures", selon le site d'information TSA. Le militant Rachid Nekkaz quant à lui, accusé à son tour d'avoir été "actionné par le général Toufik pour perturber les élections 2014", a affirme avant-hier sur sa page Facebook que ses avocats déposeront plainte pour diffamation. L'ancien chef du gouvernement à rejeté les accusations de Amar Saadani, qualifiant son discours de "sale". Il a déclaré que le SG du FLN "ne sait que diffamer et insulter", l'invitant à apporter des preuves de ses déclarations. "S'il met en doute mon patriotisme, allez demander aux personnes qui m'ont connu dans ma jeunesse et ma carrière", a-t-il dit. "Quant au parcours révolutionnaire de ma famille, allez demander aux habitants de ma région et ils vous en parleront". L'ultimatum de Nekkaz Dans un post publié sur sa page Facebook, Rachid Nekkaz avait d'abord exige des excuses de la part de Amar Saâdani, menaçant de recourir à la justice. Il a annoncé avant-hier avoir effectué une requête auprès de ses avocats, pour le dépôt d'une plainte contre "les déclarations diffamatoires" du SG du FLN. Dans le même post, il a répliqué à ces accusations en évoquant l'appartement de Amar Saâdani à Paris. Il a également renié avoir "rencontré ou comploté" avec le général Toufik, exigeant encore une fois des excuses avant le dépôt de la plainte, le 1er novembre. Amar Saâdani, secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) n'est pas allé de main morte dans sa conférence de presse tenue en marge de la réunion des mouhafedhs. Il est tombé à bras raccourcis sur l'ancien patron du Département du Renseignement et de la Sécurité (ex- DRS), Toufik Mediene, dit général Toufik, ne manquant pas de citer Rachid Nekkaz et Abdelaziz Belkhadem. Le militant Rachid Nekkaz quant à lui, accusé à son tour d'avoir été "actionné par le général Toufik pour perturber les élections 2014", a affirme avant-hier sur sa page Facebook que ses avocats déposeront plainte pour diffamation. L'ancien chef du gouvernement à rejeté les accusations de Amar Saadani, qualifiant son discours de "sale". Il a déclaré que le SG du FLN "ne sait que diffamer et insulter", l'invitant à apporter des preuves de ses déclarations. "S'il met en doute mon patriotisme, allez demander aux personnes qui m'ont connu dans ma jeunesse et ma carrière", a-t-il dit. "Quant au parcours révolutionnaire de ma famille, allez demander aux habitants de ma région et ils vous en parleront". L'ultimatum de Nekkaz Dans un post publié sur sa page Facebook, Rachid Nekkaz avait d'abord exige des excuses de la part de Amar Saâdani, menaçant de recourir à la justice. Il a annoncé avant-hier avoir effectué une requête auprès de ses avocats, pour le dépôt d'une plainte contre "les déclarations diffamatoires" du SG du FLN. Dans le même post, il a répliqué à ces accusations en évoquant l'appartement de Amar Saâdani à Paris. Il a également renié avoir "rencontré ou comploté" avec le général Toufik, exigeant encore une fois des excuses avant le dépôt de la plainte, le 1er novembre. Amar Saâdani, secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) n'est pas allé de main morte dans sa conférence de presse tenue en marge de la réunion des mouhafedhs. Il est tombé à bras raccourcis sur l'ancien patron du Département du Renseignement et de la Sécurité (ex- DRS), Toufik Mediene, dit général Toufik, ne manquant pas de citer Rachid Nekkaz et Abdelaziz Belkhadem.